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In Flames
Sounds Of A Playground Fading
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le 17 Février 2024 par NES MAX
"Deliver Us" et "Ropes" - deux superbes morceaux pour les fans qui aiment les deux premières époques d'IN FLAMES - puis "Fear Is The Weakness" et "A New Dawn", on passe vraiment un bon moment avec ce disque quand on a terminé par en revenir de la transition que le groupe a su opérer en 2002.
À titre personnel, j'aime beaucoup cette époque 2002-2014 d'IN FLAMES, et "Sounds Of A Playground Fading" en est un bon représentant, même s'il est aujourd'hui rarement mentionné.
Un très solide 3,5 sur 5.
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le 04 Septembre 2015 par JOHN-BOB
Après des années de désintéressement total envers IN FLAMES, j'ai eu la mauvaise idée d'écouter cette purge sur insistance de mon frère. Et alors, j'ai vomi...
Plus sérieusement, IN FLAMES sans Jesper Strömblad qui se met à jouer du "Metal" à la NICKELBACK, ça intéresse quelqu'un ? Ceci dit, j'aurais dû me méfier en voyant leurs dégaines de hipsters. Mais bon, troquer les dreads et les baggys contre des barbes et des chemises à carreaux, après tout... N'empêche qu'en repensant à la glorieuse époque de "Colony" et "The Jester Race", c'est triste, même si je suis un vieux con.
Le pire sur cet album reste quand même le chant en mousse d'Anders. Cela passait quand il ne faisait que growler, mais là...
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le 01 Décembre 2013 par LUCAS
Salut Chroniqueurs aux oreilles infatigables !
Tout d'abord, merci de nous offrir un site de qualité, clair, intuitif et pro. Ça fait du bien. La critique de "Sounds Of A Playground Fading" m'a apporté un point de vue complémentaire fort appréciable. En ce qui me concerne, c'est le meilleur du groupe. Peut être pas pour les fans de la première heure, mais il comporte tout ce que j'ai toujours recherché dans le Metal : Un gros son avec de bons riffs bien lourds mais diablement accrocheurs, une mélodie qui reste dans la tête et une voix puissante et rageuse mais claire (ce n'est pas tous les jours qu'on comprend les paroles d'Anders à la première écoute). Je n'ai jamais accroché avec les anciens albums d'avant "Clayman". Seul quelques musiques me plaisaient. Forcément, un tel album ne pouvait que me satisfaire :D Quelque chose me choque cependant à la lecture de l'article. Le passage sur "The Jester's Door" et sa traduction :
"Jesper nous dit donc au revoir, reconnaissant ne pas oser le dire en face et se retrouver au fond du trou, on apprend également qu’ayant à se justifier celui-ci a préféré quitter le bâtiment alors que les fondations s’écroulaient et disparaît à présent à travers la porte du Jester."
Voici les paroles SANS interprétation :
I say goodbye to you all at once
Don’t dare to face you all alone
I went from wreckage to world class
With a box of T-shirts and some records to sell
But times have changed
I have to defend my actions
The foundation crumbles and I have to leave
Thanks for everything
I couldn’t ask for more
I say “I love you all” as I vanish through the Jester’s door
Je vous dis au revoir à tous en une fois
N'osant pas vous faire face seul à seul
Je suis allé d'épave à la classe mondiale
Avec une boîte de T-shirts et quelques enregistrements à vendre
Mais les temps ont changés
Je dois défendre (assumer ?) mes actes
Les fondations tremblent, je dois partir
Merci pour tout
Je ne pouvais pas demander plus
Je dis "Je vous aime tous" alors que je disparais à travers la porte du bouffon ("Jester's Door").
La conclusion du chroniqueur :
"Un texte dur, amer, qui donne la sensation que le chanteur n’a pas évacué la frustration liée à une défection qu’il semble vivre comme une trahison, celle-ci lui restant en travers de la gorge il a, semble-t-il, décidé de laver son linge sale en public. La violence du propos (...) si on regarde de plus près le texte qui évoque le départ un peu lâche de Jesper, selon Anders, on peut imaginer qu'il s'agit du bruit de ses pas alors qu'il essaie de se défiler discrètement..."
Cela me paraît un peu excessif pour ce qui inspire, sans préjugés, une note laissée sur une table, un mot pour le groupe. Les fondations tremblent oui, mais sans doute celles de Jesper qui ne sent plus d'assumer les tournées (défection à la dernière minute lors de la dernière, remplacement au pied levé) et doit faire face à ses problèmes. Les paroles terminent bien par un "je vous aime" et dans le livret de l'album "Jesper - Good luck and all the best to you on your musical journeys". Je n'y vois pas d'amertume, seulement des regrets, du malaise mais aussi de l'amitié. Ce n'est jamais facile quand on perd un membre du groupe, surtout Jesper le fondateur. L'amertume se ressent plus dans cette conclusion que dans la chanson elle-même, même si dans les interviews elle se ressent un peu plus. Cependant le groupe semble avoir mit tout son savoir dans la composition d'un album très léché ne laissant pas la place aux détails. Beaucoup de précision, mais moins de passion... Espérons que le prochain album sera une nouvelle bonne surprise et emmènera les pères du Death Mélodique toujours plus loin !
Longue vie à vous, et IN FLAMES we trust (still).
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le 16 Juillet 2013 par SEB
Je vais faire fi des critiques et me concentrer uniquement sur l'album.
Et bien il est bon ! Rien à jeter, on l'écoute de bout en bout. Il sonne résolument moderne, mais pourquoi faire dans le old school ?
IN FLAMES a toujours un temps d'avance et même si pour beaucoup c'est trop teenager, ça à le mériter de s'écouter avec plaisir et d'être mélodique contrairement aux dernières bouses tHrashcore de CHILDREN OF BODOM par exemple.
Que lui manque-t-il à cet album ? Un ou deux titres renversant qui nous ferait chavirer car l'ensemble est homogène, trop peut être ?
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le 11 Octobre 2011 par TUCO
Je dois être un cas à part ; j'aime tous les albums d'IN FLAMES, du premier au dernier !
Peu importe leur style du moment, j'y retrouve toujours ce qui leur donne une longueur d'avance sur les autres : ils ont toujours le souci de la mélodie, du p'tit truc qui fait accrocher à un morceau, que ce soit du Death bien lourd ou du "Néo"...
Bref, pas le meilleur d'IF, mais une suite cohérente à "Sense Of Purpose", même orientation musicale en plus expérimentale.
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