Un joli, mais tellement imparfait, brouillon. Comme une mayonnaise qui ne prend pas.
L'album suivant sera un chef d'oeuvre, mais-est-ce pour autant qu'il faut tresser des louanges à cet LP eponyme. Je vais vous la faire courte : non.
2 tubes à sauver (18 & Life, Youth Gone Wild, même si évidents), le reste, tout le reste à oublier. D'ailleurs, je n'ai aucun souvenir des autres titres, malgré mes multiples écoutes à l'époque. Pas désagréable, mais franchement pas marquant.
Qui aurait pu prévoir, à l'écoute de cet album, de la mandale que nous collera SKID ROW avec le cultissime SLAVE TO THE GRIND ? Avant de céder à l'opportunisme d'un son plus moderne, mais aussi moins intéressant sur SUBHUMAN RACE. Puis l'oubli. Oblivion.