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Bruce Dickinson
The Chemical Wedding
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le 27 Février 2007 par ROY


Pour info la pochette est une peinture de William Blake l'un des plus grands peintres Anglais de tous les temps!!!!!Et moi je la trouve plus que magnifique!!A l'image de l'album qui est pour bien le plus grand album de métal du monde devant Bristish Steel de Priest et The Number of The Beast Bruce nuance la musique par la poésie de William Blake tout bonnement exceptionnelle l'intelligence et la classe de Dickinson sont parfaitement représenter ici je suis content qu'il est quitté Maiden car il à réussi à élever sa musique à un point à se jours jamais dépassé à mon gout The Gate of Urizen qui est un hommage à l'œuvre de Blake, plonge l'auditeur au delà des frontières musicales au cœur d'un voyage poétique , à chaque écoute on peut ressentir l'ombre d'Urizen plané autour de soit cela est fantastique !! , magistrale pour moi la plus grande création musicale de l'homme!!!!!!!!!!!!!!! Bravo à Bruce ce type est au dessus de tout, je fini mon commentaire les larmes aux yeux car cet album me procure un flot d’émotions insensé.

le 05 Septembre 2006 par MEGATHERION


Cet album est tout simplement un chef-d'oeuvre! Un pur Joyau. Dès les premieres secondes, on est captivé par la puissance et la lourdeur des riffs du premier morceau King In Crimson. Bruce n'est pas là pour plaisanter! Cette bonne impression ne fait que se confirmer par l'enchaînement des morceaux. Chemical Wedding est véritable hymne à la fois inspiré et atmosphérique, au refrain entrainant. The Tower est morceau énergique avec un côté épique qui donnerait envie à une arméee de mort-vivants de sortir de leur tombe pour headbanger, le soir, au clair de lune! Killing Floor, une intro lourde et pesante, voire obsédante, rythmiquement fort élaboré et avec un côté sombre et inquiétant. Book of Thel, le morceau qui tue: Une intro douce, une rythmique d'enfer, un refrain terrible qui évoque en moi à chaque fois que je l'écoute, une charge de cavalerie qui ravage tout sur son passage, un Bruce polyphonique au sommet de sa forme, un batteur qui se déchaîne, une conclusion au piano et narrative...Vous ne pouvez pas vivre en sachant que vous n'avez pas écouter au moins une fois ce brûlot! Gates of Urizen vient calmer l'atmosphère après la fureur du précédent morceau, mais Bruce y déploie une fois de plus son immense talent. Jérusalem, après un début fort calme, s'avère un morceau plus tranquille mais toujours original, une pause avant un autre grand coup dans la tronche: Trumpets of Jéricho. Rarement un titre ne m'a secoué à ce point. Le genre de chose que l'on écoute le matin avant d'aller au boulot, et qui vous donne une pêche d'enfer pour le reste de la journée! Bruce y donne sa pleine mesure, et domine magistralement l'ensemble. Machine Men vient enfoncer le clou, excellent lui aussi avec une rythmique efficace, un refrain sombre et un Bruce toujours au sommet de sa forme. The Alchemist parachève cet album de la plus brillante des façons.
On se demande vraiment, face à la qualité de cet album, pourquoi Bruce Dickinson s'est laissé persuader de revenir dans Iron Maiden. Certes, il y avait connu ses heures de gloire, mais j'ai vraiment l'impression que Bruce est bridé dans Maiden et qu'il ne pourra jamais vraiment donner tout son potentiel tant qu'il en fera partie. Pourquoi s'obstiner à faire des albums moyens avec Maiden, alors qu'il est capable de faire 100 fois mieux tout seul?




le 18 Avril 2006 par NEOW


De très loin le meilleur album de Bruce Dickinson, et même meilleur que, j'ose le dire, tous les albums d'Iron Maiden post-Seventh Son. Certes c'est assez différent car très sombre, parfois inquiétant.
Rien n'est laissé au hasard, les riffs sont énormes, Bruce chante divinement bien et rien qu'un titre comme The Book of Thel fait mériter la note maxiamle à l'album ;)
La prod Roy Z (que je hais d'habitude) donne ici un côté malsain du plus bel effet.
Magnifique et indispensable.

le 23 Février 2004 par ULTIMA RATIO


C'est un album difficile et osé que nous sort Bruce Dickinson en 1998. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il prend le risque de ne pas rencontrer le succès avec un disque ambitieux à tous les niveaux.
Tout d'abord, la musique est vraiment heavy et sombre. En effet, Bruce et ses acolytes ont décidé d'ajouter des cordes de basses aux guitares ce qui confère ce son si particulier et oppressant aux compositions. Celles-ci sont d'ailleurs relativement mid-tempo hormis quelques chansons. Ce qui est aussi étonnant, c'est que la musique n'est pas un support à la voix de Bruce (magistrale sur cet album, sa meilleure performance à l'époque), elle est très bien construite car même si on a souvent une structure couplet-refrain, d'autres chansons montrent des subtilités dans la construction conférant aux compositions une originalité bienvenue (Book of Thel ou Trumpets of Jericho). Différents effets ont aussi été ajoutées pour renforcer cette impression de noirceur (le clavecin sur Killing Floor, la voix distordue de Bruce sur ce même morceau, des sons de guitares particuliers...).
Ces musiques sont ici pour appuyer un "concept" original : celui de l'alchimie et des forces occultes. En effet, Bruce s'est inspiré des oeuvres de William Blake (poète, peintre du XIXième siècle) pour créer les morceaux d'où des paroles un peu étrange par moment, mais très belle. En tout cas cela constitue non seulement une belle introduction mais aussi un bel hommage à l'univers de Blake (qui n'a pas à se retourner dans sa tombe). Cela m'a personnellement amené à découvrir cet artiste maudit que je ne connaissais pas.
Enfin, à noter que la pochette et les illustrations (sauf une) sont de William Blake, donc, en effet, la pochette peut paraître repoussante mais ce n'est pas une oeuvre "métallistique", elle tranche avec les canons du metal. La majorité des tableaux peuvent d'ailleurs être vus à la célèbre Tate Gallery de Londres.
Pour toutes ces raisons, the Chemical Wedding est une oeuvre qui me touche et entre dans le panthéon de mes oeuvres préférées.

le 11 Février 2003 par PHILIPPE


Difficile après "Accident of birth" de faire mieux. Bruce allait-il expérimenter à nouveau ou refaire un album "maidenien"? Le chanteur est pourtant toujours à la recherche de nouvelles expériences. Et c'est finalement son meilleur album solo (en tout cas selon moi :-) que Bruce nous offre en 1998, une sorte d'accomplissement après le retour au metal effectué sur l'album précédent. Certes, "The chemical wedding" est beaucoup moins facile d'accès que son prédécesseur mais il se révèle bien plus original et personnel (car plus éloigné de Maiden) une fois que l'auditeur perce la carapace. En effet, ici, tout est plus rugueux: le son des guitares est énorme et l'ambiance se révèle relativement lourde, malsaine, presque gothique. Bon, ce n'est pas du "dark metal" ou autre mais c'est du heavy-metal sacrément plombé, avec des riffs que n'aurait pas renié Black Sabbath. Le travail de composition et de production est phénoménal, Adrian Smith et Roy Z épaulant toujours Dickinson avec brio. Précisons que le reste du groupe n'est pas en reste et la basse d'Eddie Casillas est venimeuse à souhait. Bâti autour du concept mystérieux des alchimistes, tout l'album (musique et livret) est fait pour vous plonger dans les méandres d'un monde étrange... tout simplement passionnant. Si finalement l'histoire pouvait avoir un sens, ce serait peut-être celui-ci: Bruce a quitté Maiden pour expérimenter de nouvelles choses et après bien des détours, il nous a livré l'un des albums de heavy-metal les plus réussis de la décennie 90. Du beau boulot... juste avant de rempiler chez Maiden!!













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