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Yngwie Malmsteen
Perpetual Flame
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le 23 Décembre 2008 par TONTON MICK


Malmsteen sur cet album pousse le bouchon encore plus loin et durcit sa musique, n'en déplaisent à certains qui trouvent cela trop hard.
L'arrivée de l'ex Judas Priest / Iced Earth Tim "Ripper" Owens permet incontestablement à Yngwie de pondre l'album le plus metal qu'il ait jamais fait.

C'est un disque "schuss" avec peu de temps mort, ça joue sévère, que ce soit le principal intéressé où les autres membres du groupe. On peut certes avoir une impression de redites mais Malmsteen fait du Malmsteen comme AC/DC fait du AC/DC. Et c'est ce que les true fans attendent.
Une fois l'album passé 4-5 fois, on oublie les redondances et on prend en pleine tête ce monstre heavy speed qu'est Perpetual Flame.
Malmsteen ne s'est pas posé de questions existentielles ou de ce qui est tendance en ce moment, il a fait la musique qu'il a envie de faire. On sent qu'il s'est fait plaisir à enfoncer le clou encore plus profondément.
Donc, on a le droit à un Death dealer "in your face" qui va bien bastonner en concert, Un Red devil bien entrainant et qui rappellerait un peu le style de On the run again. En dehors de ce titre moins sombre et plus enjoué, les autres chansons conservent cette patte malmsteenienne gothico-épique qui lui est chère. Damnation Game ou Priest of the unholy sont dans cette veine Viking metal et on en redemande. Encore une fois tous ces titres devraient bien le faire en concert et vous faire headbanguer comme jamais!
Un album de Malmsteen sans instrumentaux, ce serait comme un album de Scorpions sans ballades. Y'en a 3. Comme d'habitude, ils sont très impressionnants, en particulier Capricci di diablo où Malmsteen envoie tout ce qu'il a dans les doigts et ce de manière magistrale. Un Far Beyond the sun dans l'esprit, version 2008.
Quelques surprises ressortent de ce disque: Magic city qui est en quelque sorte la suite de Cherokee warrior, une power-ballade poignante avec des sonorités nouvelles et inédites à ce jour chez lui. Titre intéressant qui pourrait présager de ce que serait l'avenir de Malmsteen s'il se décidait à chanter sur un album entier.
Mention particulière pour l'excellent Eleventh hour et son intro classico-arabe fabuleuse.

En résumé un album intense et passionné, avec des guitares qui se déchainent et un chanteur screamer qui amène les titres du Suédois à un cran supérieur.

le 23 Décembre 2008 par AES


Ahaha, Pyngwie Malmsteen, après le massacre de Bach et des compositeurs classiques, le revoilà, plus pédant, prétentieux et infoutu que jamais ! Chronique tout ce qu'il y a de plus juste, il n'y a rien à tirer de cet album qui sombre dans le kitsch, la facilité et exsude d'un je m'en foutisme assumé.

1/5, et encore ...

le 23 Décembre 2008 par STEPHEN PAGE


je trouve la chronique un tantinet injuste, certes il n'y a rien de révolutionnaire mais de là à dire que l'album est ridicule.....bref, ça n'est ni plus ni moins qu'un autre album de Malmsteen qui continue de faire ce qui lui plait.....

le 22 Décembre 2008 par SYLYOSHI


Après un Bon Attack et un merveilleux Unleash the Fury, voici Perpetual Flame, qui comme War To End All Wars est une horreur monumentale. Un son mal introduit, très mal mixé et le clone de Rob Halford qui chante sur du.... Metal Néo classique comme si c'était Jugulator (bien naze en passant). Bref... le chant ne vas pas du tout avec la musique. Dès le premier titre j'ai frissonné d'horreur en entendant ce cri aigu qui n'avait rien à faire ici..

Bref 1/5 et c'est très cher payé.

le 21 Décembre 2008 par CAMEROUN_AIS


Très bonne chronique !

J'y mets toutefois un bémol : Owens chante, certes, de manière plus "encadrée" que d'usage, mais cela lui va bien. Attendons le prochain disque que Malmsteen "Unleash the beast" pour assister... à un massacre ou une tuerie ?

La production est (encore une fois) déséquilibrée : les 3 premiers morceaux sont déstabilisants tellement la guitare est mis en avant, beaucoup plus que le reste de l'album.

Au-delà, musicalement, les morceaux les moins originaux sont les plus efficaces ("Red Devil", "Damnation Game") et les rares tentatives de sortir des sentiers battus crèvent dans l'œuf par leur médiocrité ("11th Hour") ou leur manque de "jusqu'au boutisme" ("Magic city").

Malmsteen en roue libre ? Oui, encore !
Mais à 45 ans, il faudra penser sérieusement à trouver autre chose pour les 25 ans de carrière.













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