Que je comprends Lip666 et surtout que je l'envie de découvrir maintenant cet album !
Les portes du paradis bodomien ne se refermeront pour lui qu'après avoir épuisé aussi les deux albums précédents qui forment avec ce "Hate Crew Deathroll" une trilogie sans égal.
Tout comme ses aînés, on est ici servi de mélodies ultimes à la guitare et au clavier, des hits en pagaille, de l'irrésistibilité à tous les étages, c'est juste magique.
En cette année 2003, CHILDREN OF BODOM était tel le Mike Tyson de 1989, le champion invaincu et incontesté des poids super lourds.
Et tout comme Iron Mike, même motif (sex, drugs and alcohol), même punition, la première défaite n'était pas loin.