Le 26 Septembre 2022 par KA AH

MACHINE HEAD, je suis resté bloqué sur "Burn My Eyes". Les incursions du groupe dans le Nu (Neo ?) m’ont éloigné d’eux. Ainsi le petit dernier suivrait le même chemin que les autres. Miracle des écoutes en mode aléatoire proposées par les plateformes en ligne, mon appli me crache "Become The Firestone". J’étais alors en bagnole, coincé entre la voiture de devant et celle de derrière qui flirte avec mon pare-chocs quand je me fais ratatiner la tronche par un mur de grattes avec son riff en tremoli, ses blast beats. Derrière ça klaxonne! Moi je suis hébété, hagard et là dessus Robb m’achève. Klaxons et appels de phares, il me faut repartir ; c’est le moment choisi par Robb et son orchestre pour y aller de son break pachydermique ! Je monte le volume, j’accélère jusqu’au premier bas côté pour revoir la playlist. Je tombe sur cet artwork magnifique et fébrilement, mon doigt caresse la touche Ecouter.
Depuis, il tourne en boucle! A part les 3 interludes dont l’intérêt est très limité, c’est dantesque! Le titre d’ouverture et sa longue et lancinante intro sont un pari osé mais réussi haut la main. Tous les instruments trouvent leur écrin pour s’exprimer avec une préférence pour ces murs de grattes. Et quel chant! Mais quel chant! J’ai vieilli, je suis moins réceptif quand ça beugle sauf quand c’est bien fait et là, c’est très bien fait. Quelle rage, quelle émotion!
La recette est pas foncièrement différente de "BME" : de gros riffs s’appuyant sur des harmoniques naturelles ou artificielles, des breaks qui tuent, des roulements de batterie à tout va. Le plus avec le petit dernier : les vocaux. Vraiment.
Quatre étoiles bien tassées (parce que les interludes, c’est con, ça apporte rien).

Le 26 Septembre 2022 par SWISSIDOL

Le dernier grand album de MAIDEN, qui clôt une série étourdissante de sept merveilles. Les claviers ont dérangé les puristes à l'époque mais il reste de très bonnes compos ("Moonchild", "Seventh Son...", "The Evil That Men Do"...) réunis en un concept et sous une pochette un peu moins réussie que les précédentes.

Le 26 Septembre 2022 par ESKAPEESKAPE

Si le film est raté ce sera plutôt faute au héros qui n'a pas le physique de l'emploi, on s'attendait à Guy L'éclair, c'est à dire un athlète fin et svelte et on a droit à un catcheur aux cheveux longs (...) alors que le reste du casting est prestigieux (la belle Ornella Muti, l'excellent Max Von Sydow, le futur et shaespearien James Bond Timothy Dalton) mais pour moi cet album est une vraie réussite qui est à la hauteur des besoins du film et de son cahier des charges: du kitsch avec dorures et vaisseaux spatiaux des années 30/40.
Donc QUEEN compose ce qui correspond.
Certains reprocheront les dialogues qui viennent parasiter les chansons de QUEEN mais c'est un parti-pris pour replacer à tout jamais cet album comme bande-son du film Flash Gordon et non pas comme album à part.

La production gros rock et bien précise, les nappes de synthétiseurs sont maîtrisées et on retrouve sans effort le toucher QUEEN avec ces mélanges de piano voix-batterie et grosses guitares.


L'album s'écoute sans problème, mes titres préférés sont "Flash's Theme", "Football Fight", "The Kiss", "Vultan's Theme", "Battle Theme", soit 3/4 du disque !

Le 26 Septembre 2022 par DARK SCHNEIDER

@ Fredian : comme tu en reparles dans la section question/réponse, je me permets quand même de faire une petite rectification concernant ton propos sur le "Unleashed In The East", je te cite : "Leur "Live In Japan" s'est vu affublé du sobriquet (très exagéré) "Unleashed In The Studio etc".

Alors il faut quand même savoir, que contrairement à ce qui a été dit pendant des années, que c'est bien l'intégralité de la prestation d'Halford qui a été entièrement refaite en studio en Angleterre, et n'ont pas quelques overdubs. Rob Halford s'est exprimé clairement à ce sujet, il n'évoque même pas de grippe pour expliquer sa sous-performance lors des concerts au Japon, mais uniquement une énorme fatigue à cause du jetlag et le fait que le management les avait prévenus au dernier moment que les concerts étaient enregistrés, le groupe n'était donc pas préparé. Donc le sobriquet de "Unleashed In The Studio" n'est en fait pas exagéré. Halford met cependant un point d'honneur à affirmer que sa prise live est réelle : c'est à dire qu'il a posé ses lignes de chant en une seule prise, en une session, mais en studio, en Angleterre. D'où le mix tout de même étrange de ce Live, notamment le bruit du public (là pour le coup, le groupe ne s'est pas prononcé là dessus, mais qu'est ce que ça sonne fake !).
D'ailleurs, étrangement, le côté studio ressort encore plus sur l'EP bonus spécial pour le marché japonais, avec ce surcroit bien foireux de reverb sur le chant.

On ressent beaucoup moins cela sur ce "Priest... Live !", qui tend finalement à avoir ma préférence avec le temps.

Le 26 Septembre 2022 par QUELQUEDEUX

La première moitié des années 90s était incontestablement dominée par GUNS N' ROSES, METALLICA et NIRVANA, qui se sont hélas tous trois effondrés à peu près au même moment pour des raisons très diverses. Cet album en particulier fut un monument dont les hymnes peuplaient quotidiennement les ondes FM, et moi comme les autres gamins qui découvraient la brutalité musicale avec ce groupe (ça fait sourire après être passé au Death Metal) en redemandaient à l'époque.

Aujourd'hui, je vois cette pochette qui me rappelle tant de souvenirs, mais bizarrement je n'ai aucune envie de le réécouter car j'ai le sentiment d'en avoir fait le tour plusieurs fois. Sa simplicité fait que je peux me repasser mentalement la plupart des morceaux connus rien qu'en regardant la tracklist, et ceux dont le titre ne me dit plus rien ne m'incitent pas à la curiosité. Je n'ai jamais été grand fanatique du groupe non plus, mais à choisir, je crois que je m'enverrais plutôt l'Unplugged maintenant.

Le 26 Septembre 2022 par JAY JAY 91

La chanson "S.O.S" est une reprise du groupe ABBA.

	Par Nightfall In Metal Earth Merci Jay Jay 91 pour cette précision. La chronique est corrigée. Bien à toi, John Duff

Le 26 Septembre 2022 par SWISSIDOL

J'ai découvert MAIDEN avec cet album et, à l'époque, j'ai pris "Powerslave" comme un cadeau du ciel tant tout était merveilleux : les compos, le chant, la complicité des guitaristes, la pochette, l'audace (un titre de treize minutes)... Même si "Losfer Words" ("Lost for words", en anglais correct) ne m'a jamais plu, je donne 5 étoiles à ce bijou.

Le 26 Septembre 2022 par BLUEMASK

Nul n'a besoin de mon avis sur ce disque (sur les autres aussi d'ailleurs, certainement), tant il est archi connu, archi célébré, archi iconique...
Et pourtant, je viens de le réécouter donc je me fends d'un commentaire.
Cet album est le premier par qui tout est arrivé et il sera forcément toujours particulier pour moi... Jeune ado dans ma cambrousse, la pochette m'a d'abord fascinée, elle était en poster à l'intermarché, entre deux posters de canassons et j'allais faire les courses exprès pour le mater. Bien avant l'écoute. J'avais l'impression d'être au bord d'un monde, de braver un truc vaguement interdit... Et quand j'ai passé la K7 (ben oui...), putain, mais qu'est ce que c'est ? Ca ne ressemblait à rien de ce qui passait sur les radios, à rien de ce qu'écoutait la grande frangine, mais cela m'a embarquée tout de suite. Je ne savais pas distingué le son d'une guitare d'une basse, je ne connaissais pas ce qu'était un 'solo' et donc vraiment naïvement je me suis pris cette musique en pleine gueule, ces refrains à hurler, cette énergie brutale, cette voix agressive, mélodique, mélancolique par moments... Ce disque a été ma boîte de Pandore...

Plus de trente ans, je l'écoute rarement finalement, mais à chaque fois comme un bijou que l'on ressort.
Objectivement, je crois que c'est quand même un putain de Live, le meilleur de Maiden, avec "Maiden England". Mais c'est bien autre chose, c'est le son de notre enfance, de notre émancipation. Sans cet album, pas de Hard Rock, pas de Metal, puis pas de Punk, puis pas d'indie, pas de Rock, pas de Blues, pas de Jazz, pas de Funk, pas de Rap, pas de classique... J'ai environ 6500 disques chez moi, il a été le premier. Hallowed by thy name!

Le 26 Septembre 2022 par SWISSIDOL

À ranger aux côtés des "Machine head", "Paranoid" ou "Master Of Puppets" dans la rubrique "légendes du Metal". À part "Gangland" et peut-être "Invaders", on a que de la grande qualité : la pochette merveilleuse, les intros mythiques de "Prisoner" et "Number Of The Beast", la géniale "Hallowed Be Thy Name" et le chant du nouveau venu (ce cri à la fin de "Run To The Hills" !). En un mot, inoubliable.

Le 26 Septembre 2022 par SWISSIDOL

La bonne époque; celle où Harris avait dix idées à la seconde alors qu'aujourd'hui, il rabâche des plans éculés. Belle entrée en matière que cet album de Heavy à l'esprit Punk. Quelques grands classiques pointent déjà le bout du nez même si, au risque de surprendre, je ne suis pas un adorateur de la chanson "Iron Maiden". Mais globalement fort réussi, surtout pour un premier jet.
3,5/5.

Le 26 Septembre 2022 par SWISSIDOL

Un très bon album, resté dans la légende du Heavy, mais est-ce du vrai BLACK SABBATH ? On sent en tous cas la grosse personnalité de RJ Dio sur ce disque pas éloigné de ce qu'il fera plus tard avec son propre groupe. "Heaven & Hell" est très réussi, donc, mais il faudra attendre 2013 pour réentendre le vrai son Sabbathien.

Le 25 Septembre 2022 par MR G

Groupe totalement méconnu en France, SECRET DISCOVERY n'en demeure pas moins génial et son Gothic Rock a tout pour séduire les amateurs de ce style ! Bien au dessus de RAMMSTEIN car plus mélodique et moins martial, il n'a pas manqué grand chose au groupe à l'époque pour avoir un peu plus de notoriété, ce qui aurait été amplement mérité ! Cet album est excellent de bout en bout, tous les titres sont super efficaces à l'instar de l'excellent morceau qui ouvre les festivités "I Don't Care" qui prouve que le groupe, en rajoutant quelques touches Indus à sa musique, a visé juste ! D' autres morceaux sont plus atmosphériques dans leur approche comme le superbe "New Generation" ! Il me semble que le groupe s'est reformé il y a peu et c'est tant mieux ! Si vous êtes curieux, jetez une oreille a cet album, vous pourriez être conquis !

Le 25 Septembre 2022 par FRED

Kurt Cobain de NIRVANA "avait plus de feeling et de personnalité" à la guitare "que la moitié des shredders", selon Nuno Bettencourt (source MetalZone -septembre 2022).
Cela doit expliquer pourquoi je m'emmerde tellement à l'écoute de ce disque, par ailleurs fort mal produit, ce qui le rend vite insupportable.

	Par Nightfall In Metal Earth Oui effectivement, il a dit ça. Faudrait-il encore qu'il inclue Malmsteen dans cette "moitié", ce que je doute fort ne serait-ce que parcequ'il a tourné plusieurs années avec lui et ont partagé plusieurs fois ensemble la même scène... Très récemment d'ailleurs. Ca te plairait toi de partager la même scène avec un gars dont tu ne penses pas du bien ? Un coup c'est trop technique, un coup ça ne l'est pas assez ("Master Of Puppets", ahahah), trop de feeling, pas assez de feeling, faudrait savoir. DS.

Le 25 Septembre 2022 par ESKAPEESKAPE

Pas mal... pas mal du tout
C'est ce qui vient à l'esprit quand on écoute "Return To Metalopolis" de Chris POLAND.

Et pourtant on parle bien du Chris POLAND de MEGADETH (!).
Il y a plusieurs raisons à cela.
Tout d'abord l'étonnement (ou la déception pour certains) d'un style très éloigné de son groupe: nous sommes ici, non pas sur du Thrash, encore moins sur le Thrash alambiqué de Jazz Metal auquel nous ont introduit les trois premiers albums de MEGADETH, mais plutôt sur un Speed Metal mélodique mâtiné de quelques fulgurances Jazz Rock que j'appellerai "fraiches".

On est certes très loin de la musique d'ascenseur, de la démo "montée descente de manche" ou du shred à la Satriani ou Vai, mais on on saluera le (réel) talent de Chris POLAND, sans pour autant le féliciter sur cet album, dommage.
Faute à un son pas forcément à la hauteur et manquant de punch sur certains titres , faute à des compositions parfois un peu simplistes venant d'un membre de MEGADETH (on est plus exigeant), faute au manque d'un deuxième guitariste pour soutenir le tout et surtout de la batterie (certes très performante) que je trouve pas toujours à propos et trop envahissante.

Ainsi, "Return To Metalopolis" reste sympathique et agréable à écouter, même plusieurs fois et mérite un 3/5.

Le 25 Septembre 2022 par ALEX F

Album sorti en pleine période shredders. Et c'est, je crois, mon préféré dans ce style que je n'affectionne qu'avec modération. Il s'agit d'un très bon album dans l'ensemble. J'ai parfois le sentiment d'écouter du MEGADETH sans le chant de Mustaine... ce qui n'est pas plus mal ! En plus on a droit à davantage de solos de la part de Poland. Je ne suis pas du tout d'accord avec le fait que Poland aurait besoin d'un groupe pour exprimer tout son talent. Au-delà de "Return To Metalopolis", il faut écouter son album solo "Chasing The Sun" qui contient quelques véritables pépites, et son groupe OHM (les deux premiers albums, principalement) dont il est le principal compositeur, pour se rendre compte qu'il n'est pas simplement un super soliste, mais également un formidable mélodiste et un très bon compositeur... bien plus que Mustaine à mon avis, mais ça vous allez me dire que c'est une question de goût. En tout cas Poland vieillit finalement bien mieux que Mustaine qui de mon point de vue n'a pas sorti un vrai bon album depuis plus de 25 ans (30 même peut-être ?) et est devenu, à l'instar de METALLICA, le gérant d'une entreprise nommée MEGADETH, autrefois entreprise artisanale de qualité tout à fait respectable, qui vend désormais du Thrash en conserve, bien calibré, et qui respecte la norme ISO 9000 ne vous inquiétez pas chers consommateurs. Finalement, ne pourrait-on pas dire plutôt que Mustaine a besoin d'un Poland ou d'un Friedman pour exprimer tout son talent ?

Le 24 Septembre 2022 par CLEM

On peut discuter sa place sur NIME effectivement. On est parfois à la limite du Metal. Mais il y a du riff, de l'énergie.
Je n'écoute quasiment que du Metal, un peu de classique, Johnny Cash, QUEEN et MUSE.
Je trouve cet album très bon pour ma part. Que des tubes. Ils ont résumé tout ce qu'ils ont fait de bon depuis leurs début, en 10 titres et moins de 40 minutes. Une leçon que beaucoup de groupes Metal devraient suivre. Pourquoi vouloir faire des albums de 14 titres de plus d'une heure, et ne pas garder que l'essentiel ?
Bref, moi j'adore ce disque, comme le précédent, que j'ai trouvé très réussi dans son esprit électro, parce qu'il y a de la mélodie.
Titre préféré : "Ghosts".
5/5.
Si tu n'aimes pas MUSE, passe ton chemin.

Le 24 Septembre 2022 par GROS PIERRE

Après s’être complétement vautré avec leur précédent opus (en toc), les mecs de MUSE ont eu l’idée consternante de coller (encore) avec l’air du temps. En se conformant au renouveau du Nu Metal qui revient nous revient en grande pompe (les actus sur Deezer sont très parlantes). Et de la pompe il y en a. Ce fait est d’autant plus souligné dans la chronique (je dis bravo mec), avec ces péteux du Rock (toujours en toc) qui singent sans vergogne des groupes aussi vendus qu’eux tels que KORN et MARYLIN MANSON en sus… pléonasme (lol).
La synthwave du précèdent album était une vilaine parure à leur Rock mou (dixit la Lamborghini présente sur la pochette avec tous néons dehors), le METAL encore moins (dans une vision bien réduite du style) sauf pour leur fan base de crédules applaudissant numériquement et aveuglement ces gros commerciaux du Rock en toc dans une multitude likes sur Facebook (ah le changement… c’est important), voilà.
Zéro sur cinq forcément.

Le 24 Septembre 2022 par FRED

Un album révolutionnaire en son temps, mais qui a mal vieilli.
Ce qui m'ennuie le plus, c'est la pauvreté des structures de la plupart de morceaux, ces riffs mécaniques et binaires joués en aller simple sur deux cordes.
Ça ne fait pas riche et je dois avouer m'emmerder à l'écoute de ce disque.
Cela est d'autant plus dommageable que le tempo est globalement bien moins rapide que celui des concurrents Thrash du groupe à la même époque, qui pouvaient faire illusion en mettant l'accent sur la vitesse (SLAYER...).
On est également très loin d'atteindre le niveau technique et d'inventivité du MEGADETH de l'époque.
"Orion" est ici l'exception, car on y remarque sans difficulté la "Burton touch", Burton dont les capacités et connaissances musicales étaient bien supérieures à celles de ses trois autres camarades. Dommage qu'on ne l'entende pratiquement pas sur les autres morceaux.
Un beau gâchis.
La confirmation, finalement, que ce groupe a totalement été surcoté.
Mais en même temps, ils ont inventé un style... Ou plutôt ont été pompés par 350 000 tâcherons sans imagination. Sachons rendre à César...

Le 24 Septembre 2022 par PHILIPPE

Album d'une platitude affligeante...Je ne comprends effectivement pas une chronique sur NIME...c'est une pure hérésie !! C'est mou, c'est chiant, c'est du déjà entendu...tout et je dis bien tout est à jeter !! Amis métalleux ne vous fourvoyez pas dans l'écoute de cet album absolument immonde. Voilà...Quant à la chronique ma foi...dictée peut être par le label ??
1/5 parce que je ne peux pas mettre 0...

	Par Nightfall In Metal Earth @PHILIPPE, Aucun label ni maison de disque ne dicte quelque note que ce soit aux chroniqueurs de NIME. Déjà parce que nous sommes un site bénévole. Ensuite, que l'on ne retire aucun bénéfice publicitaire puisqu'on ne fait pas de pub. Enfin, parce que nous sommes maîtres de notre propre timing de publication - souvent lent admettons-le - et que le label aurait beau nous menacer de ne plus envoyer de disques promo, on n'aurait de toute façon qu'à attendre que l'album sorte ou soit dispo sur les plateformes de streaming. Tout cela pour dire que si la note de cet album est de 4/5 pour Stephen Page, c'est parce que l'album lui a plu et qu'en plus, il explique pourquoi. Dont acte. Il est parfois utile de rappeler que NIME a les coudées 100% franches. Metalliquement. T-Ray

Le 24 Septembre 2022 par INKOLOR

Le guitariste que je préfère avec Michael Lee Firkins, c'est album je l'écoute depuis sa sortie, au départ j'ai eu du mal avec la batterie surtout les roulements, il accompagne souvent la guitare et tous les morceaux sont abordés sur le même ton donc un peu trop linéaire, mais on finit par s'habituer et ça finit par en faire une signature, pas vraiment de morceaux qui se démarque à part peut-être "The Fall Of Babylon" et "Khazad Dûm" qui sont un peu plus longs et travaillés comme pour marquer les fins de face A et B du 33 tours, parler des morceaux "30 Day Due" et "The Heavy Guitar Jam" ne sert à rien ; ils ne font pas partie de cet album un morceau et une impro fait avec son groupe OHM donc pas du tout fait à la même époque. J'avais acheté le CD en 1990 et il y avait "Heinous Interruptus" en bonus, un son abordé de façon bluesy. Quand j'ai été à la Fnac à l'époque je me suis jeté sur le CD étant fan de "Peace Sells..." de MEGADETH, enfin un album qui pouvait avoir cette touche que je n'ai jamais ressentie après et ben pas été déçue du tout à part un peu au début je m'attendais à quelque chose de plus énervé. Moi qui n'aimait pas SATRIANI dont tout le monde parlait j'avais enfin un gratteux dont je pouvait parler fièrement. Aujourd'hui Chris Poland continue son chemin sur OHM très bon groupe de Jazz Fusion surtout le premier album avec le batteur David Eagle !