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2025 1 The Darkest Place I'Ll Ever...

LANDMVRKS - The Darkest Place I'll Ever Been (2025)
Par KOL le 31 Juillet 2025          Consultée 278 fois

Voilà ce qu’il se passe quand on laisse un gentil béotien chroniquer un disque de Metalcore : il se vautre royalement ! Je veux dire, quand Beagle vous recommande un disque Vintage, vous pouvez y aller les yeux fermés. Je le cite : "quoi, tu ne connais pas SEVEN RIVERFALLS THUNDERBIRDS ? C'est un pourtant un groupe culte des 70s ! Fonce, c’est génial !"
Mais le Metalcore, c’est une affaire sérieuse, Môôôssieur Beagle, de gens qui ont un goût douteux, qui aiment Vuillemin (le dessinateur, pas le famille vosgienne). Décidément, la ligne éditoriale de NIME fout le camp, comme tout le reste ma bonne dame. Déjà qu’il paraît qu’il n’y a plus que du Black Metal sur le site…
Il était donc de mon devoir de tâcheron auto-proclamé spécialiste ès-Metalcore de venir corriger les choses pour ce quatrième opus des Marseillais les plus fameux depuis JUL, j’ai nommé LANDMVRKS. Il est grand temps de rétablir la vérité : cet album n’est pas bon, il est excellent !

J’en aurais mis du temps à entrer dans leur discographie. J’en ai presque honte aujourd’hui. J’avoue avoir toujours apprécié leur musique, mais sans jamais me laisser totalement convaincre. Une disco à trois étoiles. Solide mais pas folle. Mais là… Là… On touche à la perfection dans le genre. D’une grande variété brassant du Hip-Hop, moderne ou old school, au Deathcore ("Requiem"), en passant par une très grosse influence LINKIN PARK totalement assumée (comment ne pas penser à Chester et sa bande en écoutant "The Great Unknown" ?), parfois même au sein de la même piste ("Deep Inferno"), sans oublier les salades de mandales de riffs ("Sulfur", "Creatures", "Requiem") tout du long ou l’intégration du piano comme du trois-temps ("La Valse Du Temps"), "The Darkest Place I’ve Ever Been" brasse tellement large que c’en dévient abject de facilité et d’efficacité.

D’une accessibilité folle pour un disque aussi extrême, sans jamais oublier les émotions et ce mélange viscéral de colère et de noirceur qu’ARCHITECTS avait su retranscrire si justement en son temps ("Holy Hell", "All Our Gods Have Abandoned Us"), LANDMVRKS réussit ici un exploit rare. De ceux qui vous font entrer dans la classe des grands sans discussion.

Ouais, Beagle s’est planté en beauté : ce disque méritait une sélection sans discussion.

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   DARK BEAGLE

 
   KOL

 
   (2 chroniques)



- Florent Salfati (chant)
- Nicolas Exposito (guitare)
- Paul Cordebard (guitare)
- Rudy Purkart (basse)
- Kevin D'adostino (batterie)


1. The Darkest Place I've Ever Been
2. Creature
3. A Line In The Dust
4. Blood Red
5. Sulphur
6. Sombre 16
7. The Great Unknown
8. La Valse Du Temps
9. Deep Inferno
10. Requiem
11. Funeral



             



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