Autant l'ère Mark Free m'avait laissé totalement indifférent, autant je trouve que l'ère Paul Shortino est enthousiasmante. Certes la galette ne révolutionne rien mais cela est plus que sympathique (tout comme son successeur nommé maladroitement II - comme si l'ère Mark Free n'avait jamais existé). Et puis, en prêtant une oreille appliquée à l'écoute de ce CD, je trouve que la tessiture de voix de Paul Shortino est très proche de celle de Joe Lynn Turner - que j'adore au passage.