Quelle claque cet album, on est à des kilomètre du précédent et ce pour deux bonnes raisons. La présence de Russel Allen est un plus monumental à la musique de Symphony X et la production est nettement meilleure.
De plus, ce Damnation Game a encore cette petite touche bien caractéristique présente sur leurs trois premiers albums mais qui a disparue avec Twilight in Olympus. Et cette petite touche, ces contretemps dans la mélodie, cet étonement sur l'originalité dans les riffs, je trouve que c'est sur cet album qu'elle rend le mieux, même si celui-ci peut par la suite manquer des titres épiques qui apparaitront sur les albums suivants...
Mention spéciale "A winter's dream", un pur moment de bonheur :)
