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Ayreon
The Human Equation
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le 05 Novembre 2020 par MR TINKERTRAIN


Le seul truc qui cloche sur cet album c'est Townsend qui passe son temps à gueuler alors qu'il sait si bien chanter. Mais le voir donner la réplique à Labrie et voir sur le même Cd M. Åkerfeldt... Enfin bref, c'est un must du Prog pour moi.

le 02 Septembre 2014 par MAITRE KUROSAWA


Etant fan absolu de la voix de M.Akerfeldt, du dieu Townsend (pas que sa voix!) et dans une moindre mesure de celle de Labrie, j'ai donc acheté cet album. Faut dire que je possède le 0101 machin et l'édition double de "Universal Migrator", et je m'extasie régulièrement sur ces 3 albums. Mais ici je pense qu'on a affaire à un ersatz des 3 cités, avec quand même des chansons sublimes et une prod aux petits oignons. Mais pas indispensable. Bizarre qu'il n'ai jamais collaboré avec Ian Astbury qui a une voix quand même assez incroyable...

le 14 Avril 2013 par WENDEK


Tiens donc, j'aurais oublié de commenter cet album ? Une honte étant donné que c'est mon préféré du groupe.
Le concept est simple mais superbement exécuté, l'émotion est palpable dans de nombreux titres ("Love", "Memories", "Sign", "Pain"), les ambiances sont très réussies, que ce soient des morceaux positifs ("Hope" qui est certes un peu mièvre mais qui tombe à pic entre deux morceaux plutôt lourds) ou sombres ("Childhood" et la terrifiante "Trauma" qui est sûrement un des meilleurs morceaux de l'album).
Les chanteurs/chanteuses sont utilisés à bon escient, on appréciera le petit passage Death d'Akerfeldt superbement placé, la douceur d'Heather Findlay et de Marcela Bovio ou encore la hargne de Magnus Ekwall. Il est effectivement dommage que "Father" (Mike Baker) n'ait pas été plus utilisé, on aurait facilement pu imaginer une apparition sur un titre comme "Childhood".

De plus et ce n'est pas rien, cet album a permis à Lucassen de découvrir le talent de Marcela Bovio et de lui offrir une place dans STREAM OF PASSION, et quand on voit la qualité de leur dernier album, on ne peut que remercier monsieur Lucassen de l'avoir permise. (même s'il ne fait plus techniquement partie du groupe depuis longtemps).

le 19 Octobre 2012 par SORAKA FULLCRIT


Il y a des albums qui pour certains, alors que la plupart les trouvent bons mais sans plus, font partie des plus belles oeuvres du XXIe siècle. "The Human Equation" est mon album à moi.

Cette fois, l'inspiration sans limite d'Arjen Lucassen nous emmène dans la tête d'un homme dans le coma suite à un accident de voiture, sujet à mystère... aidé par ses émotions personnifiées, il va se plonger dans son passé et tenter de résoudre le puzzle.

Dans cet univers fabuleux mais douloureux, des chansons comme "Pain", "Love" et "Betrayal" sont d'incroyables chefs d’œuvre, tout comme les deux dernières, "Disclosure" et surtout "Confrontation", dont l'accélération finale puis le twist ont laissé une marque indélébile dans mon cœur.

Vous avez été surpris en voyant la fin de Saw? Vous avez halluciné devant les fins des films de M. Night Shyamalan? Bah c'est rien à côté de ce qui vous tombe sur la tête à la fin de cet album merveilleux.

Tout l'album est en harmonie parfaite, déroulant l'histoire simple mais profonde, qui ne cesse de m'émouvoir à chaque écoute. Avec sa musique, Lucassen parvient à s'adresser à notre cœur et à notre âme, qui se donnent tout volontiers à la musique du Néerlandais.

Si je devais ne garder qu'un album d'AYREON, ce serait celui là. Tant pis pour "Y" et "The Dream Sequencer".

le 01 Mars 2011 par ALBIRéO


Difficile de donner un avis ; l'album est tellement varié.

Premier constat : sur la durée, les moments lassants ou inintéressants sont relativement rares, mais sont bien là.

Deuxième constat dont la chronique fait état : il y a des éléments qui gâchent tout. D'ailleurs, ces 2 constats possèdent des adhérences, des relations de cause à effet. Je trouve que faire long pour faire long provoque des.... longueurs, justement.
D'autre part, faire des breaks surprenants pour bien surprendre provoque des changements d'atmosphère ou de direction parfois carrément réussis (couplet / refrain de "Day Eight : School"), souvent agaçants car coupant un moment de pur bonheur ("Day Two : Isolation" et son break spacio-temporel que je trouve vilain, improbable et trop ressemblant à "On The Run" des Pink Floyd - "Day Sisteen : Loser" et son solo de clavier franchement décalé et pénible, pour ne citer que ceux-là ; il y en a d'autres). Et enfin, ce n'est pas parce que "Day Twelve : Trauma" s'appelle comme cela qu'il faut nous traumatiser avec cette voix growlée qui, de mon point de vue, n'apporte rien d'autre que le saccage d'un des titres les plus réussis de l'album. L'atmosphère sombre apportée par le style Doom du titre et par le chant grave (dans tous les sens du terme) du chanteur masculin était parfaite. L'ajout d'un loup garou qui fume clopes sur clopes me semble totalement inutile.

Voilà pour le négatif.

Côté points positifs : l'unité de l'album. Elle est exceptionnelle sur une telle durée et avec une telle variété de styles développés. L'écoute en devient un vrai bonheur !
Les mélodies sont presque toutes des pépites d'inspiration et d'émotions. Certaines sont vraiment géniales et embarquent tout sur leur passage. A ce propos, la justesse de l'adéquation des mélodies avec les atmosphères est remarquable !

Les points négatifs relèvent du détail ; les positifs emportent largement la décision !

De la grande musique !













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