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Blaze Bayley
The Man Who Would Not Die
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le 14 Janvier 2017 par JULIENB


J'adore "Blood & Belief", le précédent album, mais il faut reconnaître que ce "The Man..." le surpasse. C'est une bombe. Une énergie incroyable, une violence qui lorgne vers le Thrash voire le Death. Il faut juste s'habiter au son un peu sale qui tranche avec les productions des albums précédents, mais une fois ce petit cap franchi, c'est l'éclate.

le 20 Mars 2016 par TED


Vraiment d'accord avec les commentaires de Clansman57 au sujet des albums de Blaze. Les 5 premiers sont de très très bons albums de Heavy Metal. C'est à dire meilleurs que la plupart des autres productions, même issues des plus grands groupes (...). Quant au dernier, "The King Of Metal", il est hélas loupé (je l'ai en fait peu écouté, et justement le hic est que je n'ai pas envie d'y retourner).

"The Man Who Would Not Die" possède une piste exceptionnelle: "While You Were Gone". Il m'arrive fréquemment de l'écouter 4 ou 5 fois de suite. Ce titre, c'est la quintessence du Heavy Metal.

le 19 Mars 2016 par CLANSMAN57


Changement de personnel et punaise, ça pulse, c'est le moins qu'on puisse dire!
Du Heavy puissant qui lorgne souvent du côté du Thrash, voire même du côté du Death Mélodique.

Blaze est un excellent chanteur, il délivre de sacrées envolées sur ce disque, mis à part sur "Waiting For My Life To Begin" sur laquelle il est un peu limite, ce qui n'empêche pas le titre en lui-même d'être réussi.

Je trouve aucun mauvais titre...
Mes préférences vont sans doute aux 5 premières pistes, mais bon sang, le reste vaut largement le détour également.

J'adore "Smile Back At Death" et son thème directement inspiré de Gladiator... Elle est épique au possible.
"Samurai" est le titre le plus Maidenien avec sa basse que n'aurait pas renié Steve Harris, les tierces sont également de la partie.
Et puis ce thème est rarement abordé dans le Metal.
Un petit coup de "Robot" et on est calmé pour la journée... Surprenant de puissance!

Je le mets facilement au même niveau que le précédent.

4,5/5.

le 11 Mai 2011 par DAWIL


Malgré 3 premiers albums brillantissimes, on pouvait s'inquiéter de ce nouvel effort de Blaze (Bayley), après 4 ans de silence, des concerts annulés (2 à Paris), un split généralisé du groupe, un clash avec sa prestigieuse maison de disque et des rumeurs de management véreux et de dépression alcoolique. On pouvait en effet craindre que l'homme, au bout du rouleau, ne cède à la facilité en cachetonnant sur sa petite notoriété, avec un Heavy réchauffé et insipide, renvoyant vaguement aux mélodies typiques du plus grand groupe de Heavy Metal du monde, au sein duquel il avait eu brièvement l'honneur d'officier.

C'est donc avec abnégation et une certaine appréhension que je dégotai la galette dans la crèmerie la plus proche et la collai dans mon mange-disque, avant d'encaisser une des plus grosses claques de ma vie de métalleux...

Cet album est une bombe qui vous colle au mur dès les premières mesures du premier morceau, et vous laisse sur orbite, à force de coups de pieds au c** , une fois achevé le dernier morceau.
"L'Homme Qui Ne Voulait Pas Mourir" et ses nouveaux petits camarades nous servent ici une avalanche de riffs brûlants, de mélodies brillantes, de rythmiques bétonnées et de lyrics aveuglants, le tout transpirant d'une saine colère et d'un son gras.
Si - à juste titre - vous avez préféré les albums solo de Dickinson ("Accident Of Birth" & "Chemical Wedding") aux productions de MAIDEN à la même époque, sachez que l'histoire se répète, mais que les rôles sont inversés, même si cette fois les progueux pourront passer leur tour.
Blaze Bayley n'est certainement pas le plus grand chanteur du monde, mais en matière d'écriture musicale, il enfonce la concurrence, qui dispose pourtant de moyens ô combien plus importants.
Tout le champ du Heavy Metal est passé en revue : des brûlots imparables ("The Man Who Would Not Die", "Robot", "The Truth Is One") aux pièces épiques ("Smile Back At Death", "Serpent Hearted Man") en passant par les tubes enthousiasmants ("While You Were Gone", "Waiting For My Life To Begin", "Voices From The Past"), les Maiden-like qui remettent les pendules à l'heure ("Blackmailer", "Samurai"), une balade introspective d'une grande sobriété ("At The End Of The Day") et un morceau hypnotique aux relents indus' ("A Crack In The System").

A moins que vous ne juriez obstinément que par la voix aiguë d'un Bruce Dickinson ou d'un Andi Deris et si vous avez pleuré de honte à l'écoute des dernières prod' des grandes écuries Heavy Metal d'obédiance anglo-saxonne (allez, je balance : MANOWAR, IRON MAIDEN, JUDAS PRIEST, ICED EARTH), tendez donc l'oreille... Votre salut est ici !

A écouter très fort, pour rappeler à vos voisins que le Heavy Metal n'est pas mort...

le 15 Janvier 2009 par GUIGUI


Aîe, Blaze Bailey...
Epouvanté par ses tentatives live des titres les plus violents de Maiden lorsqu'il était dans le combo, je reconnaissais néammoins que le gaillard était très bon dans un tempo plus lourd avec des mélodies épiques...
Ici, on a droit à du très rapide, ça cogne, c'est puissant, ça balance une patate d'enfer. Ca se présente donc assez mal, pour moi.
Verdict : Blaze, bien que restant assez limité, s'est quelque peu amélioré et fait de gros efforts pour fournir un chant puissant et correct.
Le fameux titre d'ouverture est bluffant ! Blaze est parfait, les mélodies, les riffs sont terribles, surtout les couplets !
"Blackmailer", "Samurai", "Voices from the past" sont également excellents.
Notons 2 titres calmes où Blaze est impérial. Une franche réussite !
Le reste par contre ne m'a pas trop emballé. Surtout "Robot" que je trouve insupportable avec son refrain hurlé et crispant.
Enfin, difficile de distinguer les titres aussi. Ils ont tendance à se ressembler un peu trop.
L'album est cependant très sympa et vaut le coup d'oreille.













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