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Sonata Arctica
Pariah's Child
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le 24 Mars 2021 par ALTHOR


J'ai un petit problème avec SONATA ARCTICA : tout ce qui est antérieur à "Stones Grow Her Name" j'ai du mal à écouter (mes goûts ayant évolué) et tout ce qui vient après est tellement navrant... À part ce "Pariah's Child". À sa sortie je l'avais bien apprécié et encore aujourd'hui il me botte toujours autant. Il y a une fraîcheur inhabituelle et de chouettes ambiances qui se dégagent de ce disque. C'est plaisant.
"Cloud Factory", "Blood", "X Marks The Spot", "Running Lights" et "Take One Breath" sont mes gros kiffs. Même "Love" n'est pas si mièvre que ça et passe. Le reste est très correct également.

Je raconte ma vie, mais mine de rien mais "Pariah's" Child est dans mon top 3 album sur last.fm, derrière "Unia" et "Reckoning Night".

le 25 Avril 2019 par PILGRIMWEN

À sa sortie, "Pariah's Child" était vendu comme le retour fracassant du Spimélo des Finlandais. Fini, soit-disant les errements commis par le passé ("Stones Grow Her Name" dans le viseur). Le visuel accentuait cette fameuse démarche rétro-pédalage. Le loup, animal tutélaire du groupe.

En fin limier, j'ai saisi rapidement que Nuclear Blast Records nous prenait pour des cons ! Ils avaient opéré de manière similaire avec EDGUY et tant d'autres formations issues de leur catalogue. Jouer la carte de la nostalgie pour nous appâter.

En soi, ce disque est agréable à l'oreille cependant n'a rien d'un retour complet au Spimélo d'antan. Je crois que sa force réside dans sa capacité à être court et concis. SONATA ARCTICA nous a parfois proposé des albums remplis à ras-bord.

le 06 Juin 2016 par CLANSMAN57


Meilleur que le précédent, mais le groupe semble avoir pratiquement tout dit...

"Half Marathon Man" est mon titre préféré sur celui-ci.


le 03 Juin 2016 par JOHN-BOB


Cela doit venir de mon petit cœur sensible, mais entre un album de Brutal Death et un autre de Death Technique, j'aime bien m'écouter de temps en temps du SONATA ARCTICA, "Pariah’s Child" entre autres.

Il y a un peu tromperie sur la marchandise, car la cover et les deux premiers titres laisseraient croire à un « retour aux sources » vers les glorieux débuts du groupe. Or, il n’en est rien et on se situe plutôt entre la simplicité d’un "Stones Grow Her Name" et la grandiloquence d’un "The Days Of Grays". Côté vocal, Tony Kakko assure toujours autant et chante toujours aussi bien, même si son délire sur "X Marks The Spot" me laisse de marbre, alors que son Disney Metal sur "Cloud Factory" réussit a me séduire.

Je dis par contre non à "Love", qui me rappelle que certaines ballades du groupe sont vraiment insupportables. Celle-ci est d’ailleurs certainement la pire. Non mais sans déconner, la mièvrerie de cette chanson est pathétique, et c’en est tellement sucré qu’une écoute prolongée rendrait n’importe qui diabétique.

La grande réussite de cet album est bien sûr "Larger Than Life", ou Tony Kakko fait des merveilles, et l’ouverture sur "The Wolves Die Young". D’ailleurs, il faut bien dire que l’album repose sur ses épaules (guère étonnant dans la mesure où c’est son groupe), parce que les riffs de guitare et la batterie sont vraiment basiques. C’est quand même dommage que le guitariste ne puisse pas plus s’exprimer.

Pour conclure, il y a du bon et du moins bon dans cet album, et mon petit cœur sensible me rend indulgent envers le Disney Metal de SONATA ARCTICA. Je dois quand même bien faire attention à sauter l’avant-dernière piste pour ne pas avoir besoin d’une piqûre d’insuline.

le 17 Mai 2014 par CPT S.FULLCRIT


Et SONATA ARCTICA transforme l'essai "Stones Grow Her Name"!

"Pariah's Child", le retour au speed ? N'allons pas trop vite en besogne. Si en effet le tempo s'accélère, inutile de chercher du "Wolf And Raven", ou même du "Victoria's Secret". Cependant, la vitesse ne fait pas tout, et si SONATA ARCTICA a soulevé autant de passions, c'est bien grâce à son sens de la mélodie.

Et sur "Pariah's Child", SONATA ARCTICA démontre qu'il a bien récupéré de son overdose "The Days Of Grays". Pour preuve le premier morceau "The Wolves Die Young", qui nous traîne et nous entraîne dans ce nouveau monde que s'est approprié le groupe : la Vie.

On peut d'ailleurs remarquer un fil rouge dans ce "Pariah's Child" : courir. Toujours courir, fuir, partir loin. Pour vivre. "Cloud Factory", fuir l'enfermement de l'usine, "Blood", fuir pour sa vie, "What Did You Do In The War Dad?", fuir son passé. "Half A Marathon Man", courir pour... courir.

"Larger Than Life" nous propose une petite variation. Au lieu de s'enfuir, Tony tente de rattraper quelque chose : la vie qu'il a abandonné au profit de sa carrière d'acteur. La fermeture de la boucle, en somme.

En fin de compte, SONATA ARCTICA, c'est ça : courir et vivre pleinement. Comme un loup.

4/5 bien mérité, cependant il manque toujours ce titre qui explose tout, le nouveau "classique", comme "Don't Say A Word" ou "Fullmoon".













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