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Rhapsody
Symphony Of Enchanted Lands
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le 29 Février 2004 par JULIEN
Yes, moi aussi, "Dawn Of Victory" est mon RHAPSODY préféré ! Tope là VOLTHORD !
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le 27 Février 2004 par JULIEN
Une réponse personnalisée fort intéressante, cher Bast ! Concernant la question Tolkien, je ne te le fais pas dire ! Le film qui a été tiré du livre par Peter Jackson est certes un monument (ouais, ch'uis même passé à la télé sur M6 lors du reportage pour la diffusion de la trilogie), mais certains passages et propos des protagonistes m'ont donné envie de me mettre un sac sur la tête pour dissimuler ma honte... et il est vrai que l'oeuvre écrite de Tolkien se prête aussi, en bien des points, au sourire, notamment "Bilbo le hobbit" et sa narration.
Quand je parlais de niaiserie et de parodie, je voulais simplement signaler que Luca se montre tellement excessif dans l'écriture de ses textes qu'on ne peut pas ne pas se dire qu'un peu de sobriété et de retenue auraient évité que l'on se pisse dessus de rire tant le tout est... emphatique ? Et même plus ! Mais il est vrai que dans le genre Heroïc Fantasy, il est difficile d'être sérieux en parlant de dragons et de preux chevaliers... Howard (le papa de Conan le cimmérien) avait trouvé une parade à ça en dotant ses écrits d'une vraie dose d'humour (ce Conan est décidément impayable ^_^).
Enfin, au sujet de ma réflexion (?) sur la BO, je reconnais piteusement qu'elle était totalement idiote, et je m'en vais de suite me flageller un bon coup pour me purifier (l'écoute en boucle du dernier BON JOVI ferait aussi l'affaire).
Bon, ça va mieux. Quand je parlais ensuite de la reconnaissance de RHAPSODY, je ne réfléchissais pas en terme de viabilité commerciale mais de reconnaissance de la presse. Je me rappelle par exemple une bien vilaine chronique parue dans un grand mag français et qui vilipendait sévère la bande à Luca. En outre, tu remarqueras que j'usais d'un bémol "parfois" dans mes propos, ce qui indiquait bien que je soulignais simplement qu'un album comme "SOEL" avait fait l'unanimité, ce qui n'était pas le cas de "LT".
Pour finir, je pense être de ceux qui, récemment, défendirent avec assez acharnement le rôle de catalyseur de MALMSTEEN, pour ne pas refuser tout crédit à ta remarque. De même que pour ANGRA. Simplement, RHAPSODY n'avait rien inventé en introduisant massivement les orchestrations dans le Metal (je sais, tu ne l'as pas prétendu ^_^). Il ne faisait que leur donner une place et une importance jusque là inédite. Voilà !
Ah oui, au fait, si tu touches à une seule de mes phrases au cours de la validation de ce commentaire, je débarque chez toi avec mon troll domestique et je t'émascule sans pitié avant de te livrer au sadisme de mon camarade poilu ^_^ ! Non mais !
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le 27 Février 2004 par BAST
Cher Julien, je voudrais revenir sur quelques-uns de tes propos.
Le concept est niais ? oui et non.
L'héroic fantasy rencontre depuis plusieurs décennies un franc succès auprès d'un public exigeant et attachant pas mal d'importance au style.
Le cas de RHAPSODY est particulier. Le créateur du concept est italien et n'écrit pas dans sa langue natale. Les torunures de phrase restent donc scolaires, le vocabulaire reste simple (vaut mieux ça que d'utiliser un dictionnaire des synonymes, non ?).
Toi qui est amateur de littérature, je te propose de te replonger dans la trilogie de TOLKIEN et de piocher au hasard parmi les nombreux poèmes qui l'émaillent. Parfois, certaines tournures où se cotoient princesse et elfes frisent aussi le ridicule. Pas la faute à l'auteur, mais au thème, ô combien difficile à versifier sans tomber dans le pompeux, le prétentieux ou le niais.
Le groupe a un côté parodique ? Certes, PHARODYS est un anagramme de RHAPSODY (copyright BAST), mais tout de même ! Effectivement, les textes souffrent d'avoir été élaborés par un Luca Turilli peu friand de littérature. Sa vision des choses est très cinématographique. Et dans le genre film d'aventure, rares sont les scènes qui ne sombrent pas au moins une fois dans le ridicule. Un point pour toi : le concept auraient été meilleur si Luca avaient puisé ses idées dans des sources plus élaborées. La littérature fantastique ou certaines BD, par exemple.
Despotisme des leaders ? Oui, mais pas comme tu l'expliques. Luca Turilli et Alex Staropoli ne laissent aucune possibilité aux autres membres du groupe d'affirmer leurs idées. Pire, ils les mettent de côté quand il s'agit de preésenter un album à la presse ou au public. Pour ce qui est de devenir compositeur de BO à la place du compositeur de BO, je ne vois pas trop ce que ça vient faire là. Ils ne font pas de la musique pour être au final à la place de Zimmer ou Poledouris, mais plutôt aux côtés, non ? Imagine que je vienne t'expliquer qu'il faudrait réécrire tes chroniques avec telle phrase à la place de telle autre, avec tel mot plutôt que tel autre, comment le prendrais-tu ? Pas très bien à mon avis, car je toucherais alors à ton oeuvre. Serais-tu despote pour autant ?
Enfin, tu parles de la reconnaissance qui leur fut refusée avec leur premier album. LT s'est vendu à 90 000 exemplaires trois mois après sa sortie. En 1997, ce chiffre reste plus qu'honorable. Et si RHAPSODY n'a pas eu la reconnaissance mérité par la presse, je peux t'assurer que le phénomène RHAPSODY a été grandement amorcé, auprès du public, bien avant la sortie de leur second opus. Les italiens ont été élus meilleurs newcomers de l'année 1997 par le magazine japonais Burn (à l'époque plus gros tirage dans la presse metal).
En ce qui concerne le groupe précurseur dans l'alliance heavy speed et musique classique, c'est vrai qu'ANGRA l'a nettement mis au goût du jour. Mais cela n'a pas grand-chose à voir avec la façon dont les instruments classiques ont été utilisés par RHAPSODY. Ils ne soutiennent pas la base heavy, mais évoluent à son côté.
A noter que MALMSTEEN avait déjà pensé à cette alliance, sur son album Trilogy.
Pour finir, quand je me relis, il me vient un sentiment : les fans de RHAPSODY ressemblent à leur groupe préféré, ils sont... un peu pompeux !
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le 27 Février 2004 par JULIEN
Le souvenir auquel me renvoie ce disque, c'est celui d'un jeune garçon fou de Metal se rendant à son arrêt de bus le matin, dans le froid et les derniers vestiges de la nuit, et fredonnant les refrains de "Emerald Sword", "Wisdom Of The Kings", "Eternal Glory" ou "Riding The Winds Of Eternity" pour se donner l'âme conquérante...
Il serait facile de critiquer les paroles niaises du groupe, le côté parodique du concept et le despotisme de deux leaders qui veulent être compositeurs de BO à la place du compositeur de BO... mais je suis bien obligé de reconnaître que RHAPSODY propose ici une musique totalement aboutie et grandiose, un vrai monument symphonique. Maintenant, il est vrai, et Possopo le rappelle fort justement, que c'est véritablement ANGRA qui, dès "Angels Cry" s'était vraiment imposé comme le premier groupe mariant avec autant de brio Speed Metal, musique classique et orchestrations. Rendons à César...
Mais revenons à RHAPSODY : ce groupe italien reste aujourd'hui
incontournable, d'une importance qu'on peut mesurer au nombre de suiveurs qui se pressent dans son sillage (trop pour cités, même si le cas de FAIRY LAND est à part, tant ces jeunes français s'inspirent de RHAPSODY au point de reprendre des passages entiers de leurs morceaux et de constituer également un duo de compositeurs). Quant à ce disque, il leur apporta la reconnaissance qui leur fut refusée parfois avec "Legendary Tales". Néanmoins, je préfère "Dawn Of Victory", plus équilibré, moins outrancier dans l'utilisation des claviers et samples. Désolé !
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le 20 Novembre 2003 par LUC THéRIAULT
Surrement le meilleur disque de rhapsody C'est indeniable fabulleux
merveilleux ce groupe de musique.ils sont assurément le meilleur groupe dans leur style parce qu'ils ont inventés le hollywood métal.
Si vous ne connaisser pas ce groupe sa peut prendre plusieurs écoutes
pour vraiment aimer ce groupe mais après je suis sure que vous le regretterer pas de l'avoir fais.
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