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Emperor
Anthems To The Welkin At Dusk
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le 10 Février 2024 par BAKER
Je voulais rajouter mon VRAI avis sur cet album, mais ce n'est pas la peine.
KURT en 2016 l'a parfaitement exprimé. Au mot près.
Le break orchestral de "Loss..." est juste une des très grandes pages de la musique des années 90, tous genres confondus. On touche à LISZT, à BEETHOVEN, aux grands pontes de la musique russe de la fin des 1800s.
Sur ce je vous laisse, je dois déposer un cierge en hommage à Sainte Aya de NAKAMURA élue artiste féminine de l'année dans l'unique émission de musique de l'unique chaîne de notre unique parc médiatique...
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le 08 Mai 2023 par I AM THE GROWL
Y a pas de vrais cuivres et ce sont des synthés qui se chargent de les singer, mais dans le fond, c'est un disque de Jazz celui-là ! Ce batteur en met dans tous les coins, le mix met tous les instruments quasiment sur le même plan, et c'est un bordel sans nom qui donne toute latitude à l'auditeur pour démêler toutes ces phrases qui s'entremêlent (et parfois y a un solo qui émerge, comme dans le Jazz). Avant SHINING et le Blackjazz, ce deuxième disque d'EMPEROR avait déjà tracé la voie, d'une certaine façon. Il y a une fluidité ici qu'EMPEROR approchera à peine sur l'album suivant et abandonnera complètement, consciemment peut-être, sur "Prometheus: The Discipline Of Fire & Demise" (plus chirurgical dans son approche, plus... discipliné). Pour le reste, que dire de ces mélodies néo-classiques, de cette invention continue sur toute la durée de l'album (malgré la grande homogénéité de la structure des morceaux) ? De cette noirceur, de cette fureur, de ce torrent de lave épique qui engloutit tout ce qui se trouve devant lui ? Que dire de plus en fait sur ce chef d'œuvre qui a dépassé vingt-cinq ans d'âge et qui sera extrême à jamais ?
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le 21 Août 2021 par BAKER
"Vous ne vous tromperez pas en dépensant vos dinars dans cet achat (et c'est un radin qui vous parle)."
Dinar est l'anagramme de radin, jolie fin de chronique !!
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le 21 Août 2021 par MICHEL
Complètement d'accord avec Kerry King. Et je te remercie de nous faire repenser à ce groupe exceptionnel. Un ovni comme on en a (plus ?) rarement revu depuis...
Réécouté récemment leur discographie, et c'est, après toutes ces années, toujours aussi frais et impressionnant la majestuosité et la maîtrise de ce groupe, possédé et en total contrôle de son art. Noir dirait SEPTICFLESH...
Bien que "In The Nightside Eclipse" soit mon préféré (me souviens encore de l'étrange, complètement inouïe alors et totalement magique découverte de celui-ci, un véritable voyage dans les brumes du Black), il faut reconnaître que la variété des productions proposées par chacune de leur galette (celle de "Anthems To The Welkin At Dusk" sonne à mes oreilles comme la plus solide, un confinement, pas épidémiologique... ou, pour reprendre le titre d'un album de PANTERA, une infernale, dans le cas d'EMPEROR, "démonstration de puissance", chacune des productions confirme sous chacun de leur angle le degré presque outrancier de facilité avec laquelle l'inspiration et la maîtrise suintent de toutes parts.
Personnellement, j'ai redécouvert l'ouverture et la clôture de cet album.
Un cadeau fait au monde de la musique, au Metal, sans commune mesure. La base. Ou plutôt, le sud du paradis.
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le 07 Février 2019 par EROS
Que dire sur cet album qui n'a pas été déjà dit, bon et bien comme tout le monde, je ne serais pas original. Ce disque est merveilleux, merveilleux dans sa noirceur, dans sa violence, mais aussi dans sa complexité et sa virtuosité.
Nous sommes face à un monument. J'ai définitivement tu mes critiques sur le Black après avoir su apprécier cette merveille.
Je n'ai qu'une chose de nouvelle à dire : amis metalleux, soyez patients, le temps viendra, où cette merveille vous parlera, et vous ne voudrez jamais plus revenir en arrière.
Un monument se dresse face à vous. Faites vous petit avant d'essayer d'y entrer.
"O Nightspirit
I am one with thee
I am the eternal power
I am... The Emperor!"
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