Si "I am Alive" n'ouvre pas trop mal le bal, le reste est assez difficile à digérer sur la longueur.
Oscillant entre le sympathique, l'anodin et le pénible, PRIMAL FEAR bourrinne un peu dans le vide.
Même la pièce finale épique, dotée d'une belle mélodie et d'un joli refrain, est sabotée par sa longueur poussive.
Bof.