Autant j'avais bien aimé Allen-Lande, autant à l'écoute de celui-ci, je me suis ennuyé à un point difficilement descriptible. Clairement pas fan d'Anette Olzon au départ, j'étais au départ très attiré par l'album quand j'ai vu la pochette (l'artwork est pour le coup magnifique), Magnus Karlsson (je recommande les deux CDs de The FERRYMEN) et Russel Allen.
Je ne sais pas comment vous écoutez les albums mais en général, je me lance dans une première écoute "à l'aveugle", avant d'aller voir s'il y a des critiques en ligne. Et là première écoute : à la fin, j'étais franchement content que ce soit fini.
Je vais voir les critiques : a priori elles sont bonnes. Quelques jours plus tard, je décide de donner une deuxième chance au disque en me convaincant que je n'étais peut être pas dans le bon mood la première fois (on devrait toujours faire confiance à ses premières impressions).
Bon bah cette fois, je me suis arrêté au 4ème titre, et j'étais sûr de mon sentiment : je me suis emmerdé. Cette fois je ne peux plus le sauver. Heureusement qu'on peut pré-écouter les albums, j'aurais été dégoûté d'acheter celui-ci.
En conclusion, pour moi, il manque un truc qui fait que la mayonnaise prend : les riffs sont plats, pas vraiment d'envolées lyriques, bref, un disque qu'on oublie (excessivement) vite.