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Nightwish
Imaginaerum
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le 07 Août 2020 par VLAD
Nous y sommes, un album pour roder Anette et Tuomas peut de nouveau réitérer ses envies d’aller plus loin avec NIGHTWISH. Car ce compositeur n’est pas un musicien de Metal, ni de Metal symphonique, mais un musicien à part entière, avec ses idées, ses influences et ses audaces. Douze plages et tout est différent ; il explore les horizons les plus variés pour nous emmener dans un voyage épique, romantique, jazzy, médiéval…. Il explore tout et invite ses quatre compagnons à toucher à tout. Marco n’a jamais été aussi juste à la voix et à la basse. Anette n’aura plus jamais l’occasion de taper dans des registres aussi divers. Bref, Tuomas révèle le talent de chacun. C’est l’album plaisir allant du clair à l’obscur, du véloce au piano, du puissant au sensible. Plaisir pour l’auditeur et plaisir pour les musiciens. Alors, indigeste ? En fait-il trop ? Pas du tout, nous sommes dans le grandiose. Tuomas vise la grande musique car il aime la grande musique, et il veut dépasser "Once". Il signe donc l’album le plus complet et la référence de la symphonie en Metal. Combien de DIO, de QUEENSRΫCHE, de DEEP PURPLE et même d’AVANTASIA, de RHAPSODY ou d’AYREON ont voulu atteindre ce niveau. Arrêtons de nous leurrer, les metallos aime ORFF, BACH, WAGNER car notre héritage est à travers ces siècles durant lesquels quelques génies ont osé. Et aller aussi loin sur une galette attendue par des chevelus en perfecto, c’était une sacrée prise de risques.
Donc le raccourci habituel, moins Metal = plus commercial. Ah, ah, ben oui, le jour de la sortie, il y avait de la PLV et des 4 X 3 dans toutes les FNAC et même chez Carrefour ! Et pourquoi pas Skyrock et Fun radio passant "Storytime" en boucle tant qu’on y est ?
Tuomas atteint le summum avec la bande parfaite, enfin presque parfaite, car Anette, même si elle signe une vraie performance, n’a pas le coffre pour suivre les ambitions du maître. Mais ça c’est une autre histoire…
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le 05 Décembre 2016 par PILGRIMWEN
J'ai adhéré à NIGHTWISH grâce à l'intégration d'Anette Olzon au chant.
Ce second effort en compagnie de la belle est superbe quoi que... Quoi qu'indigeste, de prime abord. "Imaginaerum" est une fabuleuse et délicieuse pièce montée. Sauf que, comme toute pièce montée, souhaiter avaler l'ensemble d'une traite, c'est forcément se risquer à une indigestion.
En picorant de ci, de là, j'ai su capter l'essence de l'album. "Imaginaerum" requiert du temps, de la patience. Et cette démarche a payé, dans mon cas.
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le 31 Juillet 2015 par HELLSOLDIER
C'est un voyage extraordinaire que nous offre Tuomas et sa troupe avec cet album.
Magique est le mot qui définit à merveille ce "Imaginaerum".
Chaque morceau possède sa petite ambiance mystérieuse et enchanteresse.
Les choeurs d'enfants sur "Ghost River", l'ambiance "Manoir Hanté" de Disney sur "Scaretale", les relents celtiques de "I Want My Tears Back" ou encore le passage "western" sur "Turn Loose The Mermaids".
Tout commence sur un "Taikatalvi" chanté en Finnois par un Marco Hietala impeccable, avant que ne démarre le premier tube, j'ai nommé "Storytime". Le refrain est épique et puissant et colle parfaitement à la voix d'Anette qui, soulignons-le, est bien plus à l'aise sur cet album.
On enchaîne avec le puissant "Ghost River", alliant la fragilité d'Anette et l'agressivité d'un Marco possédé sur un pré refrain inquiétant et sombre. Le refrain est soutenu par un riff en béton, les choeurs et les orchestrations habillent à merveille l'ensemble, et les chœurs d'enfants dont j'ai déjà parlé viennent renforcer l'ambiance du morceau déjà prenante à la base. Un pur régal !
"Slow, Love, Slow" fait office de ballade très douce où Anette transpire d'émotion.
Tout se joue là encore sur l'ambiance du morceau.
Survient alors le deuxième tube en puissance, "I Want My Tears Back" où Troy Donockley donne une ambiance celtique rafraîchissante. On retrouve là encore Marco sur le refrain, vite rejoint par Anette. Un carton en concert !
Arrive ensuite le bijou de cette galette, "Scaretale", avec son break enchanteur magnifique. Marco joue le maître de cérémonie sur une mélodie épique à souhait rappelant fortement la musique de l'attraction de Disneyland "Phantom Manor". Ambiance festive morbide, influence "Burtonienne", une Anette modulant sa voix à merveille, orchestrations parfaites, bref que du bonheur !
Et que dire du final de cet album absolument fantastique !
"The Crow, The Owl And The Dove" est une magnifique ballade médiéval réunissant Marco et Anette. La mélodie est magnifique, les 2 voix se complètent parfaitement, une merveille. Le morceau tend à s'intensifier peu à peu pour donné un côté plus puissant et prenant à la musique.
Mais ce n'est que le calme avant la tempête, avant un monstrueux "Last Ride Of The Day" clôturant désormais les concerts.
Un morceau épique à souhait avec un refrain bien fédérateur et une mélodie qui reste bien ancré dans la tête.
L'album se termine sur un "Song Of My Self" morceau à tiroir, où la aussi Marco rejoint Anette au micro. Mélange de puissance, de douceur et d'agressivité, ce morceau est encore meilleur avec Floor au chant sur le "Showtime Storytime".
Tuomas a réalisé l'oeuvre de sa vie, un album travaillé, magique, mêlant différentes atmosphères et touchant de très près la BO de film.
Malheureusement, Anette sera évincée du groupe pour être remplacée par l’impressionnante Floor Jansen, et l'album "Endless Forms Most Beautiful" n'atteindra pas la majesté de ce "Imaginaerum".
Et quelle magnifique pochette !!
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le 26 Juillet 2015 par CLANSMAN57
Moins Metal que "Dark Passion Play" et un poil moins bombastic, "Imaginaerum" se teinte de couleurs burtoniennes à quelques reprises, en plus des influences irlandaises déjà présentes auparavant.
Du Jazz qui vire grandiloquent vers son final, divinement chanté par Anette, une nouveauté dans leur répertoire le temps d'un titre.
Le morceau épique manque d'un petit quelque chose par contre...
C'est pas leur meilleur dans le genre, néanmoins, rien de dramatique.
Sinon le tout reste plutôt entraînant, accrocheur, assez varié et bien composé, of course...
Une toute petite préférence quand même pour "Dark Passion Play".
3,5/5.
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le 12 Juin 2015 par NARCHOST
Lisez ma chronique de l'album précédent. Moi je connais le groupe MOI. Moi je maitrise le groupe MOI. Moi je n'ai pas besoin d'une note ni de quoique ce soit MOI.
Pas envie de parler de l'album. Moi je, moi je. Mais en fait, je suis tout simplement incapable de dire quoique ce soit. Donc par respect pour vous et pour la langue française, ben je... voilà.
Album inchroniquable ( ça ce dit ? ). Enfin je n'y arrive pas. Désolé.
4/5 (et ouè !). Je maîtrise le groupe MOI hahaha (hum hum).
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