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Nightwish
Oceanborn
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le 22 Juillet 2015 par CLANSMAN57
NIGHTWISH n'a jamais été aussi inspiré que sur "Oceanborn", tous les enchaînements sont parfaits, on ne s'ennuie pas une seule seconde.
Plus Speed que sur le premier, plus Symphonique aussi, Tarja impressionne sans oublier de transmettre de l'émotion.
La preuve sur le final "opératique" de "Passion And The Opera", ou encore les superbes ballades "Swanheart", "Walking In The Air" et "Sleeping Sun".
Les voix masculines sur les puissantes "Devil And The Deep Dark Ocean" et "The Pharaoh Sails To Orion" sont intéressantes, car elles sont "evil" sans être gutturales et ni black. Très bonne idée.
"The Riddler" est dansante avec son air New Wave au clavier et elle aura sans doute donné des idées à TO/DIE/FOR, ce qui n'est pas un mal.
Bref, tous les titres sont excellents et s'il ne devait en rester qu'un seul, ça serait celui ci.
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le 12 Juin 2015 par NARCHOST
NIGHTWISH fut longtemps mon groupe favori (avant qu'un certain "Run To The Hills" ne débarque dans mes oreilles). J'attaque donc ce groupe avec mon album préféré. Il y a certaines chroniques où je n'ai même pas besoin de me repasser l'album avant. C'est simple, je le connais par cœur. Mon album préféré du groupe. Le plus beau, le plus intense... Bon c'est le moins accessible du groupe (encore moins que le premier je trouve). La voix de Tarja est "opératesque" à souhait. Dire qu'au début je n'ai pas pu accroché. 1 an après, une nouvelle tentative et je suis tombé amoureux. Bon je m'égare. Donc je disais, un album pas facile à la première écoute (comparé à un "Century Child" ou un "Once").
Tout simplement magnifique, rien à redire. Ils sont déjà au sommet...
Tarja <3
5/5
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le 26 Avril 2015 par MR G
Un seul mot me vient à l'esprit lorsque j'écoute cet album : magique ! En tout point, le groupe ne s'est pas seulement surpassé mais véritablement métamorphose ! Même si on pouvait déjà se dire a l'écoute du premier album qu'ils pouvaient se faire une petite place dans la scène Metal, on ne s'attendait pas a un tel chef d’œuvre! Et cette voix, Tarja est impériale et divine, elle enflamme chaque morceau de son chant ! Véritablement seul le mot magique me vient à l'esprit ! Le groupe rivalisera dès lors sans problème avec les ténors du Heavy mélodique et ira même jusqu'à leur voler la couronne !
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le 19 Novembre 2011 par KINGKILLING
Après l'écoute de cet album, un seul mot vient à l'esprit : "Wow".
N'étant pas fan de Metal Symphonique, j'ai appréhendé l'écoute de "Oceanborn", mais j'ai été agréablement surpris.
A la vue de tous les commentaires positifs sur cet album, il me fallait l'écouter.
Première chose qui saute aux yeux, c'est la beauté de l'album. Les orchestrations se marient très bien aux riffs de guitare (qui, même si elle n'est pas très présente comparée aux claviers, reste excellente), comme sur "Gethseman" ou le génial "The Riddler".
Les claviers sont ultra-présents, mais heureusement ils s'intègrent parfaitement à la musique. Tuomas Holopainen s'impose définitivement comme un clavériste et un compositeur (il compose quasiment seul tous les titres) hors-du-commun.
Les parties de piano sur l'épique "The Pharaoh Sails To Orion", les dansantes et médiévales parties de clavier sur l'incroyable instrumental "Moondance" (qui porte bien son nom. La chanson donne l'impression de se retrouver au Moyen Âge) et les grandioses mélodies de "Stargazers" (boosté à 200 à l'heure) sont des purs moments de joie !
Coté ballade, NIGHTWISH n'est pas en reste. Le groupe en propose 3 sur "Oceanborn". "Swanheart" et "Walking In The Air" sont deux bonnes chansons, plutôt agréables et proposant de bons moments (le solo sur "Swanheart" et les jolies orchestrations sur "Walking In The Air"). Mais la meilleure reste "Sleeping Sun", un titre figurant aujourd'hui comme un classique du groupe. Atmosphérique, la chanson fait voyager, grâce à sa stupéfiante beauté, ses magnifiques arrangements et surtout l'incroyable voix de Tarja Turunen.
Cette dernière fait un travail extraordinaire sur "Oceanborn". N'aimant pas trop les chanteuses d'opéra, j'ai été très touché par la voix de Turunen. Cette femme est capable de nous faire voyager dans des contrées imaginaires, des mondes merveilleux... Il suffit de l'écouter pour se sentir transporté. Ses prestations vocales sur "Passion And The Opera" (les monumentales "Ah Ah Ah" qui sont à couper le souffle), "The Riddler" ou "Sleeping Sun" sont magiques.
La voix mâle de Sami Vansaka contraste très bien avec la voix haut-perchée de Tarja Turunen, comme sur le bon "Devil & The Deep Dark Ocean" (avec son ambiance lugubre et glaciale) et "The Pharaoh Sails To Orion".
Pour conclure, "Oceanborn" est un chef-d’œuvre. Un album qui dégouline de beauté et de perfection. En passant du speed "Stargazers" au superbe instrumental "Moondance" et au magique "Passion And The Opera", NIGHTWISH marque de son empreinte le monde du Metal.
Un album indispensable.
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le 21 Août 2011 par FIFIX
Les années 90. Beaucoup vous diront que c'étaient là les pires années du metal. Le heavy est mort, vive le heavy (BLACK SABBATH coule de plus en plus, JUDAS PRIEST explose, ACCEPT vit ses derniers moments...); le thrash se pseudo-modernise, et le plus souvent, c'est mal reçu.
Heureusement que d'autres genres sont nés. À mon goût, le seul true-metal à se mettre sous la dent dans cette période désertique consistait en un death et un black en début d'expansion, et surtout (pour ma part), un power metal de plus en plus épique.
Et mine de rien, 1998 fut une bonne année (1980, 1986, 1990, 1998 (*). Ze dates du metal). Citons DEATH, HAMMERFALL, RHAPSODY, BLIND GUARDIAN, ICED EARTH, BRUCE DICKINSON qui ont sorti un bon album cette année-là. Et... citons aussi NIGHTWISH, petit groupe finlandais jusque-là assez discret, mais qui était sur le point de devenir la référence du metal symphonique.
Dès lors qu'on puisse tolérer une voix féminine dans le monde du metal (chose parfois ardue, surtout pour un thrasheur comme moi, entre METALLICA et SLAYER, NIGHTWISH passe mal...), on découvre alors un album splendide, méritant parfaitement son statut d'album culte. L'inspiration ne manque pas : les alternance guitare-synthés sont bien pensées, la batterie change intelligemment de tempo, et le groupe a pensé à inclure une voix masculine dans l'album, qui fait d'excellents duos avec Tarja.
Je dois avouer qu'il m'a fallu du temps pour apprécier la voix de cette même Tarja, mais maintenant, je trouve même les mid-tempos comme "Walking In The Air" très entraînants. Cet album est à mon sens une autre réussite sortie en 1998. A posséder absolument pour tout fan de power épique qui se respecte !
Note: 4,5/5.
Morceaux préférés : "The Pharaoh Sails To Orion", "Stargazers".
Un peu moins moins bon : "Passion And The Opera".
(*): 2010 ?
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