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Metallica
Master Of Puppets

le 19 Septembre 2014 par MULKONTHEBEACH

Pinpin... C'est pas bien ça ! Sourire...
"Orion", Cliff quoi ! Allez je te taquine... Ta chronique résume bien le site sur lequel nous officions, la liberté d'opinion !

le 18 Avril 2014 par JéROME


"Kill'em All" créa l'évènement, un nouveau courant démentiel. "Ride The Lightning" fut énorme et enfonça le clou dans ce style en plus mature, plus maitrisé, et "Master Of Puppets" fut (pour moi) l'apogée, la consécration, le point culminant du groupe. L'originalité, la maitrise technique, la richesse, la complexité des compositions et des structures au service des chansons ne furent plus jamais égalées par la suite.
Je trouve que dès "...Justice...", on redescendit de plusieurs étages, même si j'aime beaucoup "Blackened" et "Dyers Eve", l'inspiration ultime n'a jamais été retrouvée, ce qui me fait penser que l'implication de Cliff dans les compos a du être déterminante.
Comment LE groupe qui a composé et enregistré cet album a t-il pu sortir par la suite autant de galettes insipides ? C'est pour moi un mystère pour lequel la seule explication doit être la musicalité de Cliff.
J'avais 13 ans lorsque l'on m'a offert cet album qui venait de sortir. J'en ai 40 aujourd'hui et je valide encore aujourd'hui l'excellence de cet opus de part son niveau d'inspiration redoutable.
Merci au METALLICA de 86, le seul, le vrai.

le 02 Janvier 2014 par WAFUNSK8


Sans rigoler cet album est excellent, du début à la fin, même si "The Thing" est un peu naze c'est vrai.
Mais bon le reste c'est de la grosse tuerie, la meilleure : "Disposable Heroes", qui te fait hurler "BACK TO THE FRONT!!!!!!!!" tout seul sous ta douche, et "Orion"... Magnifique. Bref 27.5/5.

le 24 Mars 2013 par KINGKILLING


Après deux remarquables opus, METALLICA sort en guise de troisième galette un des albums les plus célèbres du Metal. Célèbre, culte, tout ce que vous voulez oui, mais pas le chef d'oeuvre si souvent décrié.
"Master Of Puppets" est la suite logique de "Ride The Lightning", on retrouve quasiment la même disposition dans les chansons. Pourtant, cet album n'arrive pas à marquer autant le coup que son illustre grand frère.
Non pas que METALLICA se soit assagi, c'est juste que le tout sonne moins bien. Juste une affaire de goût, les chansons sont un peu moins enthousiasmantes que les précédentes. Pourtant, ce "Master Of Puppets" envoie correctement la purée et pas à moitié !

Au rayon Thrash, le quatuor nous propose trois chansons d'une violence exquise. Si "Battery" et "Damage Inc." sont des explosions auditives avec leurs riffs travaillés et des refrains inoubliables, "Disposable Heroes" varie les plaisirs en alternant des parties Heavy au feeling militaire (ça colle plutôt bien avec le sujet) et des accélérations monumentales sur les pré-chorus, ce qui rend le résultat très intéréssant. Quant à la chanson éponyme, c'est un plus compliqué. Non pas que ce titre soit mauvais (le break est sublime), mais elle jouit d'une trop grande estime. La faute à des couplets/refrains fatigants et à une dernière minute carrément inutile. N'en déplaise aux aficionados.

Comme sur "Ride The Lightning", METALLICA propose quelques chansons Heavy d'une grande qualité. "The Thing That Should Not Be" par exemple, marque encore plus le coup que "For Whom The Bell Tolls" grâce à sa rythmique plombante, son ambiance lovecraftienne (encore un hommage, Burton était un grand admirateur) et surtout son solo dantesque rempli d'une folie furieuse. L'instrumental de l'album se nomme "Orion", et là, c'est l'extase. METALLICA écrit ni plus ni moins un des meilleurs instrumentaux de la musique. Avec une première et dernière partie très Heavy (putain ces riffs nom de Dieu !), des soli où l'émotion est omniprésente, et un break d'une beauté dramatique, Cliif Burton signe son magnum opus.

L'émotion est aussi présente sur la power-ballad "Welcome Home (Sanitarium)" qui doit prendre la difficile succession de la magnifique "Fade To Black". Si elle n'est pas du même niveau, la composition reste d'un haut niveau en partie grâce à une seconde partie bien énervée. Pour "Leper Messiah", beaucoup la considèrent comme la seconde "Escape". Bien au contraire, avec des parties Thrash/Heavy assez jouissives (la double grosse caisse est de sortie !), elle passe très bien et ne coupe pas la progression du skeud.

"Master Of Puppets" est un très bon album, c'est sûr. Mais on ne peut lui donner la note maximale. Pourquoi ? Parce que "Ride The Lightning" l'a décroché pardi. Reste qu'il est et sera toujours un opus indispensable !

Chansons favorites : "Battery", "The Thing That Should Not Be", "Orion".

le 20 Mars 2013 par TONTON CLEM


Nul ne pourra contester l'impact qu'a eu ce groupe et cet album en particulier dans le monde du Metal. C'est aussi le premier album de Thrash que j'ai écouté, celui qui retentissait dans mes cages à miel lors d'un voyage en Espagne avec les GUNS et BOSTON comme autres compagnons de route. Face aux kro-express acerbes de M. Baazbaaz, j'ai décidé de me replonger avec intérêt dans la disco contrastée de METALLICA. "Master Of Puppets" s'inscrit dans la continuité de leurs deux précédents opus, d'ores et déjà retenus comme des classiques du genre.

Cet album à la pochette bien sombre reprend quasiment le même schéma musical que son prédécesseur "Ride The Lightning", à savoir un titre d'ouverture mi-acoustique mi-électrique. Sauf qu'ici, l'énorme "Battery" s'impose par des sonorités fortement hispaniques en intro (tiens donc), ce qui constitue une mise en bouche aussi gouleyante qu'une bonne assiette de tapas (olé !). On retrouve aussi le fameux instrumental du doux nom d'"Orion" qui m'a toujours fait taper du pied (putains de riffs), porteur d'un break magique qui fait la part belle au bassiste Cliff Burton (R.I.P.). Sans oublier également la mélodique semi-ballade qu'est "Welcome Home (Sanitarium)".

On trouve autrement une poignée de titres bien enlevés comme le mésestimé "Disposable Heroes" (fût un temps où j'adorais scander le refrain de ce morceau en particulier), "Leper Messiah" (les guitares d'Hetfield et d'Hammett déchirent tout) ou la speederie effrénée de "Damage, Inc.". Du coup, "The Thing That Should Not Be" tombe un peu en désuétude car moins rentre-dedans que le reste du disque. Enfin, comment ne pas passer en revue ce que je considère comme l'hymne référentiel de METALLICA : "Master Of Puppets", parfait du début à la fin (riffs, refrain, rythmique, tout y passe), l'accomplissement de Lars et ses potes, sans compter là encore un break sublime où la guitare d'Hammett touche les cieux. Incontournable.

Malgré tout, le culte voué à "Master Of Puppets" n'en fait pas pour autant mon préféré des Four Horsemen. Mais il se dégage toujours de cet album de poignants souvenirs de jeunesse (et ça, c'est pas rien).

Top du Tonton : "Master Of Puppets" (évidemment).
Ça headbangue sans relâche : "Orion".
Ça défouraille : "Battery", "Leper Messiah", "Damage, Inc.".
Ça débande : "The Thing That Should Not Be".













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