Un peu (beaucoup) influencé par Marillion quand même pour mériter un 5/5, je ne le qualifierais pas de chef-d'oeuvre.
Mais dans le genre néo-prog, c'est vraiment du bon, moins immédiat que The Visitor (qui lui est vraiment pompé sur Marillion), il a bizarrement mieux vieilli aussi.
Ce que je trouve dommage par contre sur les premiers Arena, c'est que Clive Nolan nous ramène parfois des passages Pendragon-esque (son autregroupe, il en fait d'ailleurs toujours parti) qui n'ont rien à faire là (comme sur la fin de Jericho).