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Spiritual Beggars
Earth Blues
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le 27 Mai 2016 par ZEJACK

J'ai bien aimé ce disque avec cet aspect revival 70's.
On ne s'étend pas sur les guitares, juste sur le chanteur qui fait un gros boulot malgré une voix particulière (à mon sens).
En fait, pour moi ce disque a 2 soucis :
Son aspect "easy listening" c'est à dire apprécié immédiatement mais dont on se lasse assez vite.
L'absence totale d'innovation. Beaucoup de plans semblent tirés de compos déjà entendues de part ailleurs.

En gros, plaisant mais pas exceptionnel.

Par Nightfall In Metal Earth

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Fenryl.


le 09 Juin 2014 par TOTOF


Merci Nightfall de m'avoir mis l'eau à la bouche en lisant la chronique de cet album, superbe découverte !!
Apollo, je le connaissais chez FIREWIND mais là je trouve qu'il exploite à fond son potentiel dans un registre plus Hard Rock.
Comme la plupart, j'ai l'impression de me retrouver dans les années 70 époque que j'aurais souhaité connaître ! Je trouve qu'Amott est très influencé également par Michael Schenker outre sa guitare Flying V !
"Hello Sorrow" sent le THIN LIZZY, "Dreamer" a une petite touche magnifique à la "Catch The Rainbow"...
Excellent !!

le 09 Juin 2014 par RAMON


Voilà… Le secret a été bien gardé pendant tout ce temps, étant donné qu'aucun des protagonistes concerné n'en n'avait jamais soufflé mot et que c'est tout à fait par hasard que le pot-aux-roses (le poteau rose ?) fut mis à jour, mais sans aucune publicité afin (malgré tout) de faire perdurer le mystère le plus longtemps possible :

Nous sommes en 1976 (a priori, mais la date reste à vérifier), quand se réunissent le plus discrètement du monde, dans un lieu encore indéterminé (on parle du manoir de Jimmy Page), David Coverdale, Ken Hensley, Cozy Powell, Roger Glover et Tommy Iommi.
Chacun d'eux sent bien que les projets auxquels ils participent battent de l'aile ou ne sont pas encore très solides. La discussion va bon train et l'objectif de créer un super-groupe prend forme rapidement.
Il leur faut un producteur capable de gérer tous les egos en présence tout en étant en mesure de façonner LE son qui mettra tout le monde d'accord et en y apportant toutefois une touche de modernité (pour l'époque), étant donné que le son du Hard Rock se durcit et que le Heavy Metal est dans les starting blocks, prêt à détaler.
C'est Martin Birch qui est naturellement désigné et ensuite tout le monde se met au travail. La formation accouche de douze titres dans lesquels on reconnaît bien la patte de chacun, l'équilibre recherché entre tous étant respecté, il ne reste plus qu'à…
Mais voilà, les contrats déjà signés par chacun, leurs emplois du temps respectifs auront raison du beau projet entamé et les bandes resteront cachées un long moment jusqu'à ce que tout le monde oublie cet épisode.
Jusqu'au jour où…

Je lis cette kro de Chapouk qui me parle d'un groupe dont les références sont celles qui ont accompagné ma jeunesse et que j'en arrive à inventer cette histoire abracadabrantesque.
Elle est pas belle la légende ?
En tous les cas merci pour cette découverte !

le 29 Mai 2014 par TRACE LA ROUTE


Un groupe d'une grande sincérité et tout cela se résume dans cet album d'une grande richesse. Un son très seventies comme vous dites, beaucoup de jeunes groupes aujourd'hui veulent revenir avec un son vintage mais très peu sont capables d'atteindre le niveau des BEGGARS, particulièrement sur cet album très bluesy....(ah ce "Dreamer" !!) Michael Amott a vraiment vu juste sur cet album, les musiciens sont au top, Ludwig très bon derrière les fûts, Le chant d'Apollo qui colle parfaitement aux mélodies du groupe, Une vraie réussite !!

Un mélange étonnant, captivant, où il est difficile de cerner l'influence majeure... Tous les morceaux sont excellents, un régal !

Ce groupe mérite une meilleure attention à n'en pas douter....

5/5.

le 19 Mai 2014 par GUIGUI


Un excellent album d'un groupe toujours accroché au revival 70' et qui s'en tire très bien en compagnie des GRAVEYARD, UNCLE ACID ou GHOST... Ça fait du bien !
On retrouve RAINBOW, DEEP PURPLE, URIAH HEEP ou encore WHITESNAKE (avec ce chanteur qui fait honneur à David Coverdale) dans ces 12 compos avec des moments forts comme "Sweet Magic Pain" et son break classieux au piano, "Hello Sorrow" et son lick de guitare qui fait tout de suite penser à "It's A Sin" des PET SHOP BOYS !
On peut encore citer "Dreamer" avec son solo final apocalyptique et "Too Old To Die Young". Les refrains sont entêtants, le batteur possède un jeu assez varié qui donne encore plus de richesse au son du groupe.
Un meilleur album en tout cas que les dernières livraisons du groupe !













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