 |
|
Moyenne établie
sur la base de
62 commentaires notés [?]
Iron Maiden
Seventh Son Of A Seventh Son
| |
|
|
le 19 Janvier 2020 par JULIEN G.
La grande classe.
Le plaisir ressenti après maintes écoutes depuis tout ce temps est intact.
Je ne vais pas décrire chaque chanson, tant les superlatifs risquent de me manquer mai comment ne pas citer la fabuleuse chanson-titre ?
Quand je pense que certains pensaient que "Seventh Son..." était en-dessous de "Operation Mindcrime" de QUEENSRYCHE en 88’ ... Le temps a prouvé que non.
|
|
|
|
|
le 18 Janvier 2020 par JIMY THE CLAIRVOYANT
L’apothéose d'un groupe au sommet de son art ! Des pures merveilles enchainées les unes aux autres. MAIDEN compose effectivement en tant que groupe, et non en tant que One-Man-Band. La chanson-titre me fait toujours autant d'effet et ce, même après toute ces années !
|
|
|
|
|
le 02 Janvier 2020 par LE_VIEUX
Excellent album de MAIDEN !! Le groupe à toujours évolué et continue sur ce disque, en nous proposant un concept album ! Oui, j'ose le dire !! Un concept album n'est qu'un album où les titres sont liés par un thème, sans forcément chercher à raconter une histoire (ce n'est pas le cas ici). Occultisme, mysticisme, prophétie et réincarnation sont des idées de l'album, inspirée par Orson Scott Card, Aleister Crowley, Doris Stokes... Le songwriting est magnifique, les arrangements très travaillés, mais malheureusement, après un pareil disque, la suite paraîtra bien fade, jusqu’à la sortie du très bon (mais trop long) "X-Factor".
|
|
|
|
|
le 31 Décembre 2019 par FRED
Sans doute la pire période d'IRON MAIDEN : d'un groupe frais, novateur, inaugurant dès 1979 un Heavy Rock régénéré par l'énergie du Punk, le groupe est devenu, à l'image des groupes des années 1970 dont il se démarquait alors, un espèce de dinosaure boursouflé, par ailleurs incapable de progresser en ce qui regarde la structure de ses compositions, ce qui constitue tout de même un sacré comble !
On a parlé de "concept album" pour SSOASS : quelle audace ! Quant on pense qu'"Operation Mindcrime" est sorti la même année, on ne pourra qu'apprécier le fossé créatif qui sépare les deux disques, comparaison pas vraiment à l'avantage de nos fatigués Britanniques !
Las ! Le fan moyen de MAIDEN, pas vraiment réputé pour sa tolérance et son ouverture d'esprit, tombera, une nouvelle fois dans le panneau ! Que voulez-vous ? Il a eu sa bonne dose d'Eddie, il est content. Pour le reste, comme le dit si bien notre inénarrable Jimmy The Clairvoyant, « pas besoin de faire un (sic) enquête national (sic), on s'en branle ! ». CQFD !
Heureusement, Steve Harris va redresser la barre dès le prochain album ! Il était temps ! Cela ne pourra pas malheureusement (pour le porte-monnaie de Jimmy, pas pour celui d'Harris) conjurer la passion du lucre qui anime désormais la multinationale MAIDEN, à tel point qu'en 2019, la musique de ce groupe ne semble plus ne constituer qu'un support pour l'écoulement de produits dérivés.
|
|
|
|
|
le 27 Juillet 2019 par ZEPEKENIO
Le 7ème fils du 7ème fils ?
Plutôt la 7ème merveille du monde oui.
Bercé depuis 1989 en compagnie de la Vierge de Fer, longtemps, très longtemps, j'ai cherché quel était mon album préféré de nos Britanniques.
Après écoute sur écoute de tous leurs albums, l'élu est dans cette chronique.
Car comment ne pas être impressionné par "Moonchild", morceau d'ouverture bien speed, racé, irrésistible ? Et ces guitares...
Comment ne pas succomber à la beauté glacée de "Infinite Dreams"?
Comment ne pas se soumettre à l'impact et à l'agressivité du fabuleux "The Evil That Men Do"?
Comment contester la classe presque insolente du titre éponyme, la partie musicale est une jouissance absolue, le témoignage d'un groupe au sommet de son art, en flagrant délit d'inspiration et maitrise absolues ?
Vous voulez pinailler sur le refrain un brin racoleur et radiophonique de "Can I Play With Madness" ? La basse en ébullition de monsieur Harris vous rappelle à l'ordre tout de suite. C'est du haut de gamme.
"The Prophecy" semble être de trop ? C'est clairement le titre le moins intéressant de l'album mais rien que pour cette outro acoustique envoûtante, pas matière à discuter non plus, IRON MAIDEN est le boss des années 80. Et il t'achève avec le si-bien nommé et émotionnel "Only The Good Die Young".
Du Heavy Metal en béton armé et qui assimile à merveille l'ouverture mélodique de "Somewhere In Time".
L'apogée du groupe, indispensable et IRON MAIDEN ne fera jamais mieux. On leur en veut pas, ils avaient atteint l'Everest sur ce "Seventh son...."
5/5, Bruce, Steve, Dave et Adrian ont donné la leçon en 1988.
|
|
|
|
| |
