Recherche avancée       Liste groupes



Moyenne établie
sur la base de
4 commentaires notés  
[?]



Steven Wilson
The Future Bites
Page  1 |

le 10 Mars 2022 par MR TINKERTRAIN


Ce que je condamne de cet opus (pas mauvais selon moi) ce n'est pas le contenu, assez varié pour capter l'auditeur, mais plutôt le coté ultra commercial/ marketing du machin! Cet album est ultra court, trop court, et si on veut un album à la durée correcte et bien il faut acheter l'EP le complétant... Et quand on a écouté cet album, on a pas forcément envie d'acheter l'EP. Pour moi c'est dû au (putain de) COVID et au manque à gagner immense qu'il a provoqué chez les artistes; autre débat. J'espère par tous les seins que le prochain PORCUPINE TREE ne sera pas dans cette optique...

le 31 Mars 2021 par MISS OF PUPPETS

Je rejoins complètement l'avis de Thorpedo sur cet album surtout lorsqu'il résume ainsi : "En clair, si je veux écouter de la Pop, je ne me tourne pas vers Steven WILSON."
C'est exactement ce que je me suis dit en écoutant "The Future Bites" car pour moi la Pop ça se vit, voire ça se danse (mais c'est un avis très personnel) et là je ne ressens rien de tout ça.

Je ne donnerai pas de note car je ne maîtrise absolument pas Steven WILSON et je préfère laisser la place aux spécialistes pour ne pas descendre l'album.

Autant l'album ne m'a pas transportée bien loin, autant les trois chroniques m'ont vraiment fait marrer. Je remercie d'ailleurs les auteurs car c'était un réel plaisir de les lire, avec la chronique gentiment méchante de Positron, celle hilarante de Dark Beagle avec Jeff Travolta, et celle très détaillée et instructive comme d'habitude de Jeff.
En plus, elles m'ont permis de totalement fantasmer ce futur qui s'éloigne petit-à-petit rempli de potes, de bars, de concerts... Bref la vie quoi !



le 29 Mars 2021 par JERRY


Une écoute attentive de "To The Bone" permettait d'observer un changement de cap dans l'orientation musicale de Steven WILSON et, en ce sens, "Permanating" avait déjà entrouvert une brèche plus "moderniste" (*) que "progressive" (déjà perceptible, en 2014, dans sa remastérisation ("remix" ?) de "Seeds Of Love" de TEARS FOR FEARS où la rythmique était privilégiée (basse mise en avant) et le son comme "nettoyé" de la "reverb" du mixage original), ce titre ayant déjà fait "tiquer" les puristes, mais avait aussi permis à l'ami Steven d'élargir son auditoire (et d'accéder à une certaine notoriété)... et de préparer celui-ci à ce nouvel album, pas si rébarbatif que cela, qui confirme, entre autres, son sens de la mélodie "accrocheuse", comme en témoignent "12 Things I Forgot" et "Personal Shopper" (où l'on perçoit quelques réminiscences de son association avec Aviv Geffen au sein de BLACKFIELD (cf. "V"). Steven WILSON a créé avec "The Future Bites" une oeuvre ambitieuse qui, deux mois plus tard après sa sortie, ravit toujours mes tympans (qui ont "baigné" depuis les années 70 dans la musique "progressive" (sans oeillères) sous bien des déclinaisons, mais qui a su se renouveler même quand le "creux de la vague" (cf. un "Rock Alternatif" bien présent dans les années 90) s'est fait ressentir.

* Garder en mémoire ce qu'il disait, à la sortie de "Hand. Cannot. Erase" : "J'ai grandi avec deux influences en termes de musique : du Rock extraordinairement ambitieux, conceptuel et complexe, et dans le même temps, de la grande musique Pop : ABBA, les BEE GEES... Et, quelque part, il est plus difficile de faire de la grande musique Pop. J'aime toujours cette musique et j'essaie de mêler les deux. Si on peut créer un équilibre, quelque chose d'accessible et en même temps qui ait un autre niveau de complexité en termes de production, c'est quelque chose de vraiment unique"

le 29 Mars 2021 par THORPEDO


Grand fan de PORCUPINE TREE et de la carrière solo de STEVEN WILSON, je dois dire que je suis déçu moi aussi.
J'avais déjà senti venir le coup de mou avec un "To The Bone" que j'ai vite oublié malgré de premières écoutes plutôt satisfaisantes...
Attention, rien à voir avec la direction choisie par Steven WILSON, je m'en fous et il fait ce qu'il veut. La dimension Pop existait déjà chez PORCUPINE TREE ou BLACKFIELD de toute façon et cela ne m'a jamais dérangé.

Le problème est que, selon moi, il est beaucoup moins doué pour la Pop que pour le Rock Prog, voilà tout.

STEVEN WILSON est un artiste dont les influences s'entendent et se repèrent facilement.
C'était le cas dans le Prog avec les PINK FLOYD, KING CRIMSON, etc.
C'est le cas dans la Pop avec BOWIE, TEARS FOR FEARS, etc.
Mais je trouvais qu'il digérait mieux ses influences dans le Prog.
Là, il fait tout simplement moins bien que ses idoles.

En clair, si je veux écouter de la Pop, je ne me tourne pas vers Steven WILSON.

Sa musique reste de qualité alors je ne vais pas sanctionner d'un 1/5 mais comme je ne retiens rien - ou pas grand chose - de ce disque, je ne monterai pas jusqu'à 3/5.

le 29 Mars 2021 par ANJE


Ça me fait mal au cœur de l'admettre, mais je le trouve moyen cet album.
Pas parce que WILSON est passé à quelque chose de plus moderne, ça au contraire je suis preneur car j'apprécie chez lui qu'il surprenne l'auditeur, mais parce que je trouve que cela manque cruellement d'émotion.

Une des grandes forces de WILSON est de trouver des mélodies et des arrangements qui savent accrocher aux tripes ("Routine", "The Raven...", "To The Bone", ...), mais sur cet album je ne retrouve pas cela, ou alors que sur les faces B et les morceaux bonus, ce qui est un peu dommage.
Du coup l'album passe très vite, mais c'est souvent trop moyen. "12 Things I Forgot" est le seul morceau avec un peu de cette mélancolie, je pense laissé exprès pour faire le pont avec son ancienne vie musicale.













1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod