Plus Pop, c'est impossible. Comme dit dans la chronique, ces deux titres auraient eu leur place sans rougir sur "Prequelle". Le potentiel tubesque est à son summum, au détriment d'une certaine authenticité peut être ? Qu'importe, le but est atteint : faire kiffer l'espace d'une dizaine de minutes, asseoir le lore de GHOST et ajouter deux tubes aux setlists des concerts. On est clairement loin du son d'un "Opus..." ou de mon préféré, "Infestissumam", mais c'est frais, ça doit envoyer en live et ça permet à Tobias Forge de rendre un (léger) hommage au son 60s et 70s (on n'est pas loin de certaines sonorités de DOORS par exemple).
Ca se mange sans faim, comme diraient nos grands-mères !