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Above Symmetry / Aspera
Ripples
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le 19 Octobre 2011 par SAM


Exact Stefan, le groupe a dû changer de nom pour des raisons de droits, et l'album s'est au passage doté d'une livrée rouge assez sympathique aussi - ça fait de mon CD une version collector !

Toujours aussi excellent plus d'un an après ma découverte, vraiment j'attends le prochain album d'ABOVE SYMMETRY avec impatience.

Le seul groupe qui a supplanté les norvégiens en termes de fréquentation de ma platine est SEVENTH WONDER, voisin suédois, dans un style assez proche, avec notamment 2 albums exceptionnels, "Waiting In The Wings" et "The Great Escape".
Hélas, trois fois hélas, tout ça n'est pas encore chroniqué ici, mais c'est du 5 étoiles en puissance ! NiME (Fredouille) faut vraiment s'y mettre !

le 25 Septembre 2011 par STEFAN


J'ai découvert cet album grâce à la chronique de NiME : j'adore! Il n'a que très rarement quitté la platine et le lecteur audio, au profit de PAIN OF SALVATION.

Je voulais cependant poster un commentaire pour laisser une trace de ce groupe qui ne s'appelle désormais plus ASPERA mais ABOVE SYMMETRY : pour tous ceux qui ont été conquis par ce premier opus, continuez de suivre l'actualité de ABOVE SYMMETRY.

le 10 Juin 2011 par RIFFRAFF


Il est tard, les yeux se ferment tout doucement et le riff enchanteur d'intro de "Do I Dare" vient me donner un gros coup de boost. Voilà 6 mois que j'ai acheté cet album et je pense qu'il est temps que je donne mon avis sur ce disque, assurément un des meilleurs que j'ai entendu ces derniers mois.

Parlons donc de ce "Do I Dare", titre typiquement prog avec riffs travaillés, grosses cassures, voix tout en nuance et un final aussi léger et planant qu'un bridélice light 0% de matière grasse. Assurément un des meilleurs titres prog que j'ai pu écouter ce "Do I Dare".

Et que dire de "Traces Inside" et son intro basse + batterie + guitare qui fait mouche à chaque fois ? "Torn Appart" n'est plus ni moins qu'une grosse claque, tout comme les excellents "Catatonic Coma" et "Between Black & White". Passons rapidement le mauvais "Remorse" et l’exécrable "Reflections". On finit avec "The Purpose" et son passage final vocal hallucinant. Un excellent titre qui finit le travail en beauté et ne vous donne qu'une envie : rebalancer le skeud depuis le début pour reprendre une grosse baffe.

C'est simple, cet album a tout. Il est léger et épique. Il est romantique et épique. Il est bourrin et gentil. Il est technique et simple. Il met en avant voix et instruments. Les fans de prog adoreront. Donc moi j'adore...

le 22 Décembre 2010 par SPHERIAN


Ce bon vieux Sam me devance de quelques heures. Entre amateurs de Prog, on se reconnait et on en vient à connaitre les gouts et les couleurs de chacun qui suivent le site depuis bien longtemps. Fredouille a encore frappé en nous dénichant une perle rare et le commentaire de Sam (et j'espère le mien maintenant!!) donneront un petit coup de pouce à cet incroyable groupe qu'est ASPERA.

Une année 2010 qui se devait être la reine du prog. les nouveaux albums des cadors du genre VANDEN PLAS et ROYAL HUNT (mes chouchous) en tête me faisaient frétiller d'impatience et après ces deux demi-déceptions, je me suis rabattu comme de maintes fois sur le jugement du maître Fredouille. Résultat?
Ce "Ripples" tourne en boucle depuis 3 mois sur mon tourne disque, et j'en découvre encore les subtilités. Malgré un chanteur à la voix un peu rauque qui m'a paru limité initialement (mais que j'apprécie énormément maintenant!), "Ripples" m'a immédiatement conquis avec ce mélange subtil de technique (mais pas trop hein) et de mélodies ultra-accrocheuses. Je ressors mon fameux terme Prog-FM que j'avais sorti pour ma chronique de "Isolate" (CIRCUS MAXIMUS), écoutez moi donc ces choeurs à la QUEEN sur "Do I Dare?" pour vous en convaincre.

Un premier album qui sent le sans faute. En misant sur des mélodies basées sur des rythmiques accrocheuses ("Traces" "Inside", "Remorse"), le groupe met la technique en arrière plan et apporte une incroyable fraicheur au genre, qui en avait bien besoin ces derniers temps (cf. le dernier ANGRA). La production est elle-aussi impressionnante mêlant puissance et clarté, elle ajoute sans doute au plaisir d'écoute.

L'album de l'année pour moi et encore une fois (ça devient une habitude depuis 1999!) je remercie notre Fredouille national!

le 20 Décembre 2010 par SAM


Presque 1 an pour "Ripples" et un seul commentaire ; le dernier ANGRA a 7 commentaires en 2 jours, dont celui de votre serviteur... L'injustice est telle pour moi, alors que j'éteins mon baladeur avec le énième passage de "Ripples", que je saute sur mon clavier. Double injustice, parce que je reprochais à NiME de ne pas nous mettre beaucoup de Prog depuis de longs mois, que je me dois de corriger.

ASPERA n'est pas l'ANGRA d'aujourd'hui ; c'est un groupe jeune. Des musiciens qui brillent plus par leur feeling et leur sincérité que leur technique léchée (ce ne sont pas des manches attention). Des compositions parfois longues, progressives dans leur structure, mais qui tendent vers la simplicité et surtout vers la mélodicité, l'harmonie.

Au premier abord, à la première écoute, c'est une impression un peu curieuse ; on se dit "tiens, un album Prog de plus écrit par des ados qui ont trop écouté DREAM THEATER et SYMPHONY X", ou bien "ah ouais, z'ont pas trop forcé sur la Prod, la voix est un poil faiblarde et ils ont pas trop aidé le chanteur au mixage, le pauvre", et encore "bon le clavier soit on l'entend pas soit il sort le gros son Bontempi".

Et en fait, très vite, pas besoin de 12 écoutes, je suis tombé amoureux, parce qu' il y a des gros riffs (dans "Ripples", "Catatonic Coma" et surtout "The Purpose" - cette intro qui ressemble à une conclusion, est une première énorme !) y a des intros magnifiques (l'intro elle-même, le début brésilien et "Kiko-esque" de "Traces Inside"), y a des soli extrêmement bien sentis, à la guitare ou au clavier, parfois aux deux entremêlés, y a un vrai batteur qui n'en fait pas trop mais qui est super-précis, en nuance, presque subtil, frère-jumeau de Thomas Lejon au niveau sonore, un bassiste pas en reste avec un son magnifique. Pour le chanteur, en fait il y a de la variété, parfois de la douceur extrême, parfois une voix rebelle et rauque, le tout dans l'exigence du timbre sans reverb ou échantillonnage, et il y met tellement du sien qu'il est convaincant, voire attachant et certainement plein de promesses (j'espère juste qu'il ne virera pas pop - allez farfouiller les videos d'Atle Pettersen vous comprendrez pourquoi il a annulé la présence du groupe au Prog Power Europe 2010...).
Et il bénéficie de refrains vraiment accrocheurs bien harmonisés, de lignes mélodiques originales...

La production est une des meilleures jamais entendues, tout à fait à la hauteur des standards des groupes de Metal scandinaves des années 2000, il faut le souligner.

Alors au final, et après 6 bons mois d'écoute quasi quotidienne sans aucune lassitude, je me dis que j'aime toujours autant le Prog Metal, que rien d'autre ne me fait autant vibrer grâce à des groupes comme ASPERA, et j'avais eu exactement la même impression 1 ou 2 ans auparavant en découvrant "Isolate" de CIRCUS MAXIMUS.
Il a rempli l'espace laissé vide de saveur par DT depuis 3 albums, par ANGRA pour les 2 derniers (parce que la déchirure est toute récente), par SYMPHONY X (parce que la dernière grosse baffe commence à dater - ils prennent leur temps pour sortir un chef-d'oeuvre à la V !) ou par ANDROMEDA, source principale d'inspiration évidente mais qui a vraiment fort déçu avec leur dernier opus.

Alors amis amateurs et avides lecteurs de Fredouille en particulier et NiME en général, donnez sa chance à ASPERA, commandez-le, il vaut cent fois ses 10 euros débités de sa carte bleue. 5 sur 5 pour le coup de coeur.













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