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Devin Townsend Project
Deconstruction
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le 18 Mars 2020 par NATEAG666


Cet album est jubilatoire, un tourbillon, une inspiration de tous les instants, que de passages irrésistibles, jouissifs. Le maître-mot est INTENSITÉ.

Ça commence pourtant tout doucement avec deux morceaux lents et pas très convaincants mais, après, la tornade commence et ne s'arrêtera plus.

On pourrait se dire que c'est un bordel monstre, ça part dans tous les sens mais "Deconstruction" a été parfaitement pensé. Il alterne tout du long un morceau court et un morceau long, la sauvagerie fait place à la beauté, les blast-beats à la lourdeur, tout fait sens au bout de quelques écoutes. C'est du Metal extrême mais qui ne l'est jamais tout à fait car toujours contre-balancé par de la mélodie, de la beauté, une ambiance futuriste, du lyrisme.

"Juular" et "Pandemic" sont effroyables d'efficacité, on est emportés par leurs souffles, un mur du son incroyable, rapidité, mélodicité et épicité à leur comble.
"Planet Of The Apes" et "Deconstruction" sont deux titres longs où il se passe trois mille choses toutes plus enivrantes les unes que les autres, on est à l'opéra made in Devin, fabuleux.

"The Mighty Masturbator" est pour moi, à l'instar des deux pistes du début, en deçà, seize minutes, c'est long et mis à part les deux minutes finales exquises, c'est assez plat. De plus, le passage Electro à la mi-morceau est carrément pompé sur le "Exorcism" de KILLING JOKE, en moins bien.

Mais on ne va pas se leurrer, personne n'a jamais sorti un album comme ça, c'est dément, et complètement génial.

le 30 Octobre 2015 par PLAUDE


En 2006, Baaz semblait affirmer après l'écoute du dernier album de STRAPPING YOUNG LAD, le déclin inéluctable du génie Dévinien...
"Bye Bye Devin ?"...
"Deconstruction" l'a fait mentir. Inutile de trop tergiverser sur la qualité de cet album infernal.
Si Baaz a bien voulu enterrer Devin trop vite, il faut tout de même faire attention, cet album n'est pas à mettre entre toutes les oreilles.
Il y a ceux qui ont le goût du risque et puis il y a les autres.

le 12 Juillet 2015 par DIEGO


L'album ultime du DTP.
La folie créatrice de Devin y explose comme une évidence : Townsend est le seul et unique génie musical de notre temps...
"Stand" est incroyable, à la fois catabase et anabase devinienne.
The rest is silence.

le 01 Mai 2014 par CAPTAIN S. FULLCRIT


Un album destructeur, déconstructeur, un bulldozer qui vient démolir les beaux paysages, les belles idées de votre esprit, et y battit des mégapoles industrielles aux tours érigées pour honorer la démence, la perte de contrôle, la puissance brute.

Devin n'a jamais été aussi vindicatif que sur cet album. "Sumeria", "Juular", "Pandemic"... Chaque minute de cet album pèse sur votre esprit une tonne. Seules vous donneront un peu de répit les premières minutes de "Praise The Lowered" et de "Stand", qui permettent de faire monter peu à peu la pression.

Je ne peux décrire ce "Deconstruction" sans parler de "The Mighty Masturbator", ce monument à la gloire de l'art favori du Canadien : la folie. Suivant une histoire abracadabrantesque, ce morceau de bravoure de dix-sept minutes ne vous laissera aucun répit. Un grand huit dont vous ne pouvez pas ressortir indemne. D'ailleurs s'enchaînera immédiatement "Pandemic", n'espérez même pas souffler.

Il convient également d'évoquer le titre éponyme, et son fameux "Cheeseburger". Titre expérimental, il pousse cette déconstruction jusqu'à l'essence même certes du cheeseburger, mais va plus loin en proposant la déconstruction du style de musique pratiqué par DEVIN TOWNSEND : ces bizarreries, cette virtuosité, ces riffs de timbré, ces mélodies exceptionnelles, tout autant de qualités qui définissent l'ensemble de sa carrière concentré dans un : "CHEESEBURGER".

Un véritable album de malade pour des malades. Et ne vous inquiétez pas pour Devin, lui et Devin vont beaucoup mieux maintenant.

le 13 Août 2012 par ROYGBIV


Non, je n'y arrive pas. Tout le monde t'affirme que c'est un disque où il faut plusieurs écoutes avant de rentrer dedans, mais ça fait dix fois que je l'écoute et presque rien ne marche pour moi.
Très inspiré (on peut pas le nier), "Deconstruction" reste quand même bordélique et confus au point de coller des migraines.

Grosse déception.

1,5/5.













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