ATTENTION: je ne lis les chroniques qu'après avoir écouté l'album et m''être fait ma propre opinion.
Je suis surtout fan de Hard des années 80 mais cela ne m'empêche nullement d'écouter du PINK FLOYD, du AC/DC, JUDAS PRIEST, NIGHTWISH, ARCH ENEMY, CHILDREN OF BODOM et DARE ou Gary MOORE et MSG. Bref j'écoute de tout du moment qu'il y a de la guitare et comment est mon état d'esprit à l'instant où je pose le vinyle sur ma platine.
Autre chose mais qui n'a rien à voir avec ma chronique JE HAIS LES CDs !!
Un son aseptisé qui ne met aucunement en valeur les groupes. Rien de tel qu'un bon vieux vinyle.
J'ai découvert DESTRUCTION récemment et justement avec ce vinyle. Je l'ai reçu en même temps qu'un coffret CD d'OVERKILL dont j'ai toujours entendu des louanges.
J'ai donc comparé les deux groupes et ma foi quelle déception du côté d'OVERKILL.
Mais parlons plutôt de ce "Live Without Sense" qui après tout est l'objet de la chronique. J'ai pris une grande claque dans la tête tant ce disque est bon !
Du vrai Thrash à l'état pur, une très bonne production pour un album live et des titres qui s'enchaînent à vitesse grand V sans aucun temps mort. La voix du chanteur est excellente et les rythmiques sont à tomber. Je ne parle pas des soli qui font mouche à tous les coups.
Certes ce n'est pas d'une très grande originalité mais ils font le job sans problème et les titres sont tous bons. Les musiciens font leur taf et ça décoiffe.
Rien à jeter sur cet album qui mérite ses 5 étoiles pour moi. Je dirais plutôt 4,5 arrondi à 5 car un peu bourrin et je préfère TESTAMENT.
Malgré tout c'est un album qui vaut son pesant d'or et je ne vois pas pourquoi Fenryl lui met un 2 sur 5.
Des albums de ce niveau à 2 étoiles j'en veux tous les jours dans ma discothèque déjà très bien fournie en Metal de tout genre.
Vive DESTRUCTION. Par ailleurs si vous pouviez chroniquer le Best Of qui contient deux disques ce serait super sympa car il tourne en boucle dans ma voiture et je ne m'en lasse pas.
Sur ces propos, je m'en vais lire la chronique de Fenryl.
