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Overkill
Wfo
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le 26 Septembre 2014 par CRAZYSQUIRREL


Mon album préféré du groupe. Puissant, moderne (même encore maintenant) varié.
Un prod un peu étrange, mais qui est bien crasseuse et sied bien au disque (tout comme le live qui suivra).
Quand je pense que dans la presse de l'époque j'avais lu qu'il s'agissait de "speed désuet".
ha ha ha.
N'importe qui peur vraiment être journaleux.

Un gros 4.5/5 arrondi


PS : Steph, j'y étais aussi à ce fameux concert de l'arapaho ! Un des plus physiques que j'ai pu faire, 1er rang tout du long :-)

le 02 Décembre 2009 par MOI


Envie de rattraper le coup auprès des vieux fans déçus ? C'est sans soute ce qui explique la teneur de ce disque aux antipodes de "I Hear Black".

On ne pourra pas dire qu'on était pas prévenus, rien que le titre de la galette annonce la couleur : "Wide Fucking Open" ("A Fond les Ballons" en VF).

La production est cradingue, ça tabasse sans discontinuer, les titres sont simplistes et l'atmosphère oppressante qui imprégnait les albums précédents en a profité pour se faire la malle.

Certes, c'est très efficace, mais aussi relativement décevant. OVERKILL avait prouvé qu'il pouvait faire plus intéressant que ça. Le groupe fonçant dans le tas tout du long, l'ensemble manque vraiment de relief.

Un bon défouloir, sans plus.

le 16 Juin 2009 par BRUTALDALUX


Encore un très bon album d'overkill, après le moyen mais correct "I Hear Black" sortie l'année précédente dans un contexte difficile le groupe arrive encore à nous satisfaire avec son thrash déjà bien remanié depuis ses débuts.
En effet, même si le groupe n'est pas réputé pour ses innovations, il est néanmoins arrivé au bout de 7 albums à distiller de petits changements qui font qui ont fait évoluer son thrash métal vers un avenir prometteur.
Le batteur Tim Mallare, fraichement débarqué sur le précédent album, peut ici déployer toute sa puissance, donnant du coup à cet album plus de pèche et de violence à coup d'accélérations magistrales("Supersonic hate") et de double pédale savamment dosé ("Under one"). Ellworth en profite également pour moduler un peu plus sa voix et s'aventure dans les graves, la basse de DD Verni est toujours bien présente et claque bien.
A part "Up To Zero" qui se détache de l'album par sa médiocrité flagrante, tout les autres titres sont d'un très bon niveau et l'ensemble parait très rafraichissant pour un album de thrash sortie dans les '90.

le 07 Mai 2008 par DEADCOM


Overkill est une putain de groupe thrash, qu'on se le dise. Après un album, jugé moins bon (I hear black), succédant à la tuerie, qu’était Horrorscope, ce combo, new-yorkais revient, ah bon il était parti où ? Je plaisante. Overkill s'est toujours distingué de la masse, par une énergie toujours présente, un sens excellent de la composition et un front man qui a du charisme et dévoile une sacrée pêche en concert.

Wide Fucking Open, donc, est monstrueux et très attractif, en effet les titres s'enchaînent sans temps mort (pratiquement pas de blanc entre les morceaux), avec un réel plaisir, non dissimulé.
Les grattes bien tranchantes au jeu très travaillé, sont bien retranscrites par un mix intelligent, qui sait doser à leur juste valeur chaque instrument. La basse, justement, est énorme, elle ronronne et gronde en fond, toujours présente sur les compos, apportant par son ampleur, un putain de groove.
Et Tim Mallare, le batteur, voyons, alors ? On l’oublie celui-là, mais non voyons, il est lui aussi, toujours au rendez-vous pour nous assommer de sa frappe puissante et technique. Avec un style bien métronomique, que n’aurait pas renié un certain Gene Hoglan.
L'ensemble sonne terriblement Thrash, normal, me direz-vous, oui mais pour les mécontents de I hear black (il y en a beaucoup), il fallait bien leur mettre quelque chose dans les dents, là c'est chose faite. On est d'accord.
Que dire de Bobby, véritable mutant des cordes vocales, officiant toujours dans le registre heavy, aux intonations de canard émasculé, quelque peu atténuées (c’est pas plus mal), mais aussi d'autres plus graves, sans pour autant franchir le pas entre le thrash et le death, que Chuck Billy du groupe Testament, n'hésitera pas lui, à franchir allégrement sur LOW, sorti la même année.

A ce propos, l’année 1994, est pour moi, similaire à celle de 1991, 1992 et 1993 de par son activité, nous proposant des albums qui sont devenus, pour certains, des disques cultes. Une bien belle période, ces années 90.

Pour en revenir à ce cher daffy, euh... Bobby, celui-ci dicte son texte, tout en étant parfaitement intégré à la musique du combo, sans que cela fasse tâche, bien au contraire. C'est ce que peut l'on appeler, du talent et une putain de maîtrise dans son style.
Bref si vous cherchez un groupe de Thrash, au groove énorme, à la patte tout de suite identifiable, et surtout si vous voulez vous gaver de métal jusqu'à plus soif, alors ce WFO, s'impose de lui-même. Moi il m'a scotché et je l'écoute encore, bon je sais ce n'est pas une référence de dire ça, mais bon... essayez le et vous verrez.

5 étoiles balancées à la bonne franquette, comme ce combo qui nous assomme de puissance avec cet album, énorme, tout simplement.

le 13 Janvier 2003 par STEPH


Quant à moi, je suis d'accord avec la chronique.
Cet album est top, et même si le son ne parait plus monstrueux aujourd'hui, il l'était il y a 9 ans !!!
Et puis le live de cette tournée...Rahhh...
La meilleure époque pour moi (ceux qui étaient à l'arapaho pour la tournée Killing Kind auront comme moi la larme à l'oeil...)













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