J'ai été le premier à pouffer devant les débuts de Tarja. Je suis le premier ébahi devant la qualité et la consistance de sa carrière solo depuis 2/3 albums.
Ses albums sont joyeux (plus ou moins), roboratifs, variés, soignés mais jamais sous le syndrome de la grosse tête. On ne peut plus du tout la comparer aux Quiches de la Nuit, mais c'est tant mieux, ce sont deux carrières parallèles et complémentaires.
Bon, il faut juste qu'elle oublie Noël, et ça sera le grand chelem.