Quel manque d'à propos sur ce texte connernant un VENOM qui renoue avec ses démons en terme de son et d'urgence sale, propre (!) à ce qu'il a lui-même généré au début des 80s. Au contraire de l'avis du chroniqueur, nombre de fans attendaient cet aspect développé sur les quatre premiers disques, "Possessed" inclus. Bon, et puis, quand on voit que sur le site, aucun des trois premiers VENOM ne dépasse les trois étoiles, on peut légitimement se demander où se situe la crédibilité là dedans.
Un VENOM plus sale donc, avec toujours trop de morceaux, mais qui comblera les early-fans.