Parmi les albums d'EDGUY, l'un de ceux que j'écoute le moins. Pourtant il n'est pas dénué de charme et d'intérêt. Un poil artisanal, effectivement. Et avant-dernier disque en compagnie de Dominik Storch, à la batterie. Je trouve mignon leur innocence sur cet opus, cette envie de peser (voire d'égaliser) autant que les pontes du genre musical dans lequel ils évoluent ! Ils ont les crocs ! Comme disait malheureusement mon grand-père, "les gens changent, pas toujours dans le bon sens". Tobias Sammet, désormais dandy... Bref, no comment!