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21 commentaires notés [?]
Edguy
Theater Of Salvation
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le 01 Juillet 2022 par SWISSIDOL
Magnifique ! Un album qui a failli me faire croire que je pourrais me passer d'HELLOWEEN. "Babylon" est superbe, "The Headless Game" top, la ballade "Land Of Miracle" est sublime avec ses chœurs entrecroisés à la fin. Peu de titres moyens ici (peut-être "Holy Shadows") mais l'ensemble est jouissif. Le groupe n'a pas su rééditer l'exploit, hélas.
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le 19 Février 2021 par BAKER
Il y a vingt ans, au chômedu, je me faisais des gros kiffs avec des faux épisodes de Star Trek. Humour Fluide Glacial, trucages Turkish Star Wars, scénarios limite Marvel (de rien c'est gratuit).
Ça allait de plus en plus loin, de pire en pire, mais quand est arrivé l'épisode final, évidemment, la fatigue gagne du terrain.
En écoutant le morceau-titre, je savais que ce serait le générique de fin. Juste pour le plaisir de faire découvrir le morceau à des gens qui n'avaient jamais entendu de Metal de leur vie. C'était un sacerdoce, une épiphanie. Encore aujourd'hui, tout l'album est sensationnel, mais alors ce titre-là, sublime, parfaitement construit, épique, roboratif.... L'état de grâce.
Cet album est au Speed Mélodique des années 90 ce que "Hunting High And Low" est à la Synth Pop des années 80 : un truc impossible à gravir, face sud face nord par hélicoptère par tuyaux souterrains à la Mario, tu peux pas test, Tobias est le maître du jeu.
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le 30 Janvier 2020 par PATATUS EMERITUS
La grande époque d'EDGUY. Le genre d'album sur lequel les étoiles sont alignées, un peu comme un "Keepers Of The Seven Keys part II" des années 90. Absolument tout y fonctionne. Dès "Babylon", prenez une guitare en fusion, un riff mémorable et un refrain d'exception porté par des chœurs généreux, et renouvelez le plaisir à l'envi sur "Wake Up The King", "The Unbeliever", "Arrows Fly" et le génial mid tempo "Headless Game". Les balades sont très agréables, tout comme ce final opératique et épique, ponctuant un album digne de figurer au panthéon du Power Mélodique. Exquis.
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le 07 Juin 2019 par THORPEDO
Sans être un grand fan d'EDGUY, je peux dire que celui-là, c'est un chef d'oeuvre !
Il me plaisait déjà en 1999, il me plaît toujours aujourd'hui.
Si ce n'est pas un signe ça ?
Je ne possède pas toute la discographie du groupe mais de "mes" albums d'EDGUY, c'est le seul que je refais tourner souvent (notamment lors de mes sorties "running", même s'il donne forcément envie d'appuyer un peu trop sur le champignon. Pardon Toad !).
Tout n'est pas parfait mais tout fonctionne.
Il a une jeunesse, une insouciance contagieuse.
Tout comme Minus et Cortex, à l'écoute de ce disque, on se sent prêt à conquérir le monde !
Il file la banane. Ou la pêche. C'est selon.
Bref, vous l'avez compris.
C'est frais, c'est frugal, c'est "Theater Of Salvation"!
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le 11 Décembre 2018 par BAPTISTE89
À l'écoute de cette courte introduction suivie d'un titre typiquement HELLOWEENien, le doute n'est pas permis : Tobias Sammet a été biberonné au jus de citrouilles. Tout au long de "Theater Of Salvation", on retrouve des titres Speed Mélodique, avec bien sûr le chant haut perché, les mélodies très accrocheuses, les soli de guitare harmonisés et les tempi soutenus qui caractérisent le genre. Le chant de Tobias Sammet est assez perfectible, les trémolos dans sa voix sont un peu trop systématiques, mais cela donne beaucoup de charme à cet album (comme pour le premier "Keeper..." de HELLOWEEN ou le "Angels Cry" d'ANGRA, où les prestations vocales de Kiske et Matos ne sont pas maîtrisées, jeunesse oblige). Des titres Speed Mélodique, donc, qui laissent place également à deux jolies ballades : "Land Of The Miracle" et l'émouvante "Another Time". Plus d'une heure de musique, rien à jeter ; c'est assez rare pour le signaler. Un album assez grandiloquent, qui dégage un charme fou grâce à sa fraîcheur et son optimisme.
"Theater Of Salvation" se termine sur deux titres d'exception : "The Unbeliever", grâce à ses superbes soli de guitare et son pont où Tobi est impérial. Et ce title track de quatorze minutes... Magnifique. Mon album préféré d'EDGUY.
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