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Luca Turilli's Dreamquest
Lost Horizons
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le 18 Mars 2012 par LOUVOIR


Encore un superbe album du sieur Turilli.
On n'a là que des hits en puissance (ou presque). Avec en premier lieu "Virus", évidemment qui remplit admirablement bien son office d'ouverture énergique.

Ce disque brasse allégrement Metal Sympho, électro, "metal à chanteuse", ...

La chanteuse justement parlons-en. Elle est tout bonnement excellente, dans tous les registres qu'elle aborde. Que ce soit lyrique ("Sospiro Divino"), ou bien plus rock, voire pop, elle sonne bien.

Et puis les musiciens sont tous excellents. Il faut noter qu'on a là vraiment un "super" groupe. Dominique Leurquin, Sascha Peath et Robert Hunecke-rizzo sont loin d'être les premiers venus et assurent. Quant à Luca, il nous montre que son doigté guitaristique est largement retransmissible sur un clavier.

Mais son réel talent est sans doute celui de compositeur. Chacune des mélodies qu'il modèle reste ancré au plus profond de l'auditeur, impossible de s'en sortir. Et c'est vrai pour tout ce à quoi il touche.

Ajoutons à cela que le tout est superbement arrangé et produit, chaque instrument a sa place, aucun n'étant trop en avant ou trop en retrait.

Un bon 5/5 en espérant que ce projet là ne s'arrêtera pas là. Si la fin de RHAPSODY pouvait avoir cet effet là, ce serait un mal pour un grand bien.

le 02 Octobre 2011 par GUILEBAD


j'ai adoré cet album. Je trouve que le sieur Turilli est un compositeur de génie, capable de faire une chanson bien plus variée que la carrière de certains groupes (non je ne balancerai pas d'exemple) et avec cet album il le prouve encore une fois !
Rien à jeter. Que du bon sur cette galette (je suis un fan absolu des œuvres du Monsieur italien donc forcément l'objectivité je m'assoie un peu dessus quand je parle de l'une d'entre elles), la chanteuse assure (et que ce soit la même que sur son projet solo ou non je pense qu'on s'en fou un peu tant qu'elle assure c'est l'essentiel je trouve).
Les musiciens... en fait, je ne saurais pas dire j'ai jamais écouté les musiques de Turilli de façon "décortiquée", en fait, j'écoute surtout l'ensemble et y a pas a dire il arrive à retranscrire les effets qu'il veut retranscrire sur chacune de ses chansons (gothique sur une, pop sur une autre, symphonique pour une autre).
Bref, si vous cherchez quelque chose de varié et de très bien construit musicalement parlant je pense que vous ne pourrez que tomber sous le charme de cet album (et de tous les autres que l'Italien nous a servis aussi d'ailleurs).

le 30 Mars 2007 par VAGRANT WIZARD


J'avoue que j'ai été trés agréabement surpris par cet album dont je n'attendais pas grand chose. Les morceaux sont dans l'ensemble trés mélodiques avec une atmosphère travaillée et un chant trés lyrique et vraiment beau. La production est également nickel. Les morceaux les plus marquants sont à mon sens "Virus" et son orientation assez électro, energy et sa mélodie sublime et le très bon bonus track "gothic vision".

le 29 Juin 2006 par MAX


Que les Vitalij Kuprij et autres Andre Andersen se rassurent, ce n’est pas parce que Turilli est aux claviers sur cet opus qu’il va leur créer des problèmes en termes de virtuosité. A la rigueur, là n’est pas le problème. En gardant son goût pour le symphonique, le but est plus ici de jouer sur la simplicité et l’évidence des mélodies, d’où une certaine sobriété de composition assez inédite.
Musicalement, on est assez proche du dernier Epica, Consign To Oblivion, avec en surplus une dose massive d’arrangements éléctroniques, certains chœurs alliés à la voix de la chanteuse étant plus orientés Nightwish (normal, Luca n’a jamais caché qu’il adorait le groupe).

C’est donc surproduit (un son monstrueux), ultra accessible, avec des refrains par dizaines, des solos de guitares (et de claviers aussi, remarquez) très discrets, très entraînant et je ne doute pas que beaucoup de gens vont détester cet album puisqu’on ne s’y prend pas du tout la tête, qu’il y a un chant féminin (la dénommée Mist est par ailleurs fort douée et chante sur pas mal de registres avec brio) et qu’il n’y a pas de riffs death hardcore.
Maintenant reconnaissons que Luca a déjà fait mieux et qu’il ne s’agit pas de son œuvre majeure bien qu’elle soit à mon avis plus réussi que le à priori très décevant « Infinite Wonders of Creation ». Les morceaux les plus lents sont un peu soporifiques et les quelques morceaux plus longs moins accrocheurs (mais peut-être plus intéréssants). On notera que le bonus track « Gothic Vision » est beaucoup plus Turilliesque et l’on retrouve un souffle assez proche de l’excellent « Prophet Of The Last Eclipse ».
Ce disque n’est donc pas indispensable, mais reste très attrayant. A vous de voir.

3,5/5 sous réserve

le 18 Juin 2006 par OLIVIER

libre à toi de le croire, c'est bien naif, tu serais étonné de savoir le nombre de groupes qui samplent, ainsi que la mystérieuse chanteuse de son dreamquest qui est simplement la même que sur son projet solo... prennent vraiment les gens pour des c... parfois les labels...













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