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Michael Schenker
The Michael Schenker Group [msg]
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le 21 Octobre 2019 par JASPER LEE POP


"Cette fragilité palpable quand il côtoie les aigus" écrit Dark Schneider à propos de Gary Barden. Doux euphémisme ! Moi, j'entends surtout les limites vocales du bonhomme qui ne ferait plus du tout illusion en live sur "One Night At Budokan". Schenker ne voulait pas d'un chanteur connu à l'ego surdimensionné. Barden était bien sympathique avec son côté hardos ordinaire et accessible mais il a toujours manqué de charisme et ce n'était pas le partenaire d'écriture dont aurait eu besoin l'ange blond pour accéder à la première division, déjà que celui-ci était mentalement trop fragile pour être leader de son propre groupe. Reste un album d'excellente facture, le premier d'une seconde partie de carrière qui n'atteindrait pour moi jamais sa période UFO.

le 18 Octobre 2019 par HEMISPHERES


Michael Schenker a le vent en poupe en ce début des années 80. Après cinq ans et autant d'albums remplis de classiques au sein de l'Ovni anglais et un retour éclair par la case SCORPIONS le temps de poser quelques solos (voire plus que ça mais ceci est une histoire où chaque camp tient à sa version) sur des morceaux devenus mythiques, le jeune prodige décide que finalement rien de mieux que de voler de ses propres ailes.

Et pour son premier essai, c'est directement une première réussite et quelle réussite! Dès les premières secondes, avec le riff implacable de "Armed and ready", on sent tout de suite que l'inspiration est toujours au rendez-vous et la suite ne fera que le confirmer. Entre des riffs endiablés, des mélodies et solos de guitare qui restent gravés dès la première écoute, ce premier essai solo fait carton plein.

Pour confirmer - comme s'il y avait réellement besoin - tout son talent, rien de tel qu'un "petit" instrumental et "Into the Arena" est la vitrine parfaite où entre rythmiques entêtantes et des solos de toute beauté, Schenker fait étalage de toute sa maîtrise de la six-cordes sans pour autant faire de la démonstration gratuite (le pêché de beaucoup de guitaristes quand ils se lancent dans l'écriture de morceaux instrumentaux où le but premier semble être celui de vouloir épater la galerie).

Sur l'ensemble, à l'exception peut-être d'un "Feels Like A Good Thing" qui me laisse un peu de marbre, que des morceaux de haut vol et notamment le dernier "Lost Horizons" qui semble parfois être un peu oublié parmi la pléthore de classiques, alors qu'il est tout simplement monstrueux tout le long de ses sept minutes. Un classique à écouter sans modération.

le 22 Octobre 2012 par JIPé


Enfin ! L'oubli étonnant que constituait l'absence de la première partie de carrière de MSG est sur le point d'être réparé.
Aujourd'hui presque totalement oublié, Michael (et non pas Mickael) SCHENKER était LE guitar-héro de la première partie des eighties, l'idole absolue des hardos, et son album live était considéré comme l'un des tous meilleurs jamais sorti dans le style. Qui s'en souvient ?
Michael fut une inspiration pour toute une flopée de guitaristes, dont un certain Kirk Hammett ! Pas très technique en comparaison de tous les shreders qui lui ont succédé au cours de la décennie en question, aucun d'entre eux n'a su égaler son touché mélodique et son son inimitable. Il faut connaitre les premiers albums de MSG !













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