Merci pour les réactions.
Je précise juste pour Max-ouille ce que j'entendais par "concept de l'album un peu stéréotypé" (merci de noter les modalisateurs, au passage), qui a été interprété de travers, par ma faute sans doute. Bien sûr qu'une histoire sur les relations de famille, dans le metal, ou même ailleurs, c'est assez peu courant (sauf chez Rhapsody, qui nous narre les affres qu'un homme barbare connaît lorsque son conjoint est un dragon, ou bien chez Cradle of Filth qui nous détaille avec brio la relation tortueuse et viscérale qu'entretient un mort-vivant avec son vomi).
Ce que j'entendais par "un peu stéréotypé" s'appliquait plutôt au contenu de l'histoire, dans le sens où les personnages ne sont pas très épais: le méchant papa qui a fait un bébé à maman pour qu'elle la boucle. La gentille maman qui galère. La gentille nenfant qui s'en prend plein la tronche au milieu (remember Happy Rotter). L'idée est bonne au départ de traiter de l'incommunicabilité entre les êtres, mais j'aurais aimé trouver plus de nuances. Mais tu me diras sans doute, cher Max, que j'en demande un peu trop.
Ce point, de toute façon, n'influe que peu dans mon appréciation globale du disque.
Au passage, j'ajoute que j'avais apprécié l'idée d'associer les propos de la gentille nenfant soit à la voix de Floor soit au chant death suivant ses états d'âme. ça, c'est plutôt bien vu.
Voilà, c'est tout.