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Bon Jovi
Slippery When Wet
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le 29 Juin 2023 par BLUEMASK


Ça y est, en 86, BON JOVI a perdu sa fraîcheur et pris le melon. Quel écart avec le premier album, vif, frais et insouciant...
Alors bien sûr du positif: les 2 hits interplanétaires, qui sont effectivement très bons mais déjà une version choucrouteuse du talent passé. Un "Without You" ultra putassier, mais efficace et qui brille par sa saine simplicité. Un jeu fin et élégant à la guitare.
A part ça... j'ai du mal. Du Hard Rock FM sans éclat "Let It Rock", "Raise You Hands" proprement insupportable, de la ballade sans intérêt "Wanted Dead Or Alive", un slow au Nutriscore G "I'll Die For You" etc... mention spéciale à "Wild In The Streets", n'est pas Bruce Springsteen qui veut, alors cette mauvaise imitation flagrante laisse pantois.
Bef... Le genre d'album célébré pour ses 2 hits.

le 02 Septembre 2022 par SWISSIDOL


L'album qui fit passer BON JOVI du statut d'espoir à celui de vedette mondiale. Les "Living On A Prayer", "You Give Love A bad name" ou "Wild In The Streets" lui firent réaliser un bond de géant avec l'aide de l'usine à tubes qu'est Desmond Child. Les paroles sonnent un peu ado aujourd'hui ("Never Say Goodbye", "Without Love") mais que cet opus fait du bien ! Et pas que pour sa pochette.

le 18 Janvier 2021 par LE RôDEUR


Qui a eu quatorze ans fin 86 / début 87 et n’a jamais posé une oreille sur "Slippery When Wet" a raté sa vie.

Je me revois, étant môme, allant acheter ce disque « N°1 aux USA » (comme disait le sticker) au supermarché du coin et revenant chez moi en essayant tant bien que mal de planquer la pochette - qui me paraissait totalement obscène ! - à la vue des voisins du quartier.
J’ai écouté cet album en boucle pendant un bon moment, comme on fait quand on est jeune, avant de m’en lasser définitivement par la suite puis de m’en débarrasser. Je ne l’ai jamais racheté. Aujourd’hui encore, je n’en peux toujours plus de ce disque et, alors que j’écoute les deux premiers BON JOVI de temps en temps avec plaisir, celui-ci ne passe plus. Trop écouté, trop entendu et aussi, plus objectivement, trop de de Rock US tapageur un peu facile et cliché ("Raise Your Hands", "Wild In The Streets", "Let It Rock") ou de chansons médiocres ("Without Love", "Never Say Goodbye"). La face B est, du reste, franchement moyenne et il n’y a guère que "I'd Die For You" que j’aime toujours bien.

Restent les deux gros tubes de Desmond Child "Livin’ On A Prayer" (et sa talk box) et "You Give Love A Bad Name" (ultra efficace mais dont le refrain est un pur recyclage d’un titre de Bonnie TYLER qui passait partout six mois avant), plus le morceau de bravoure de l’album, "Wanted Dead Or Alive", dans un style Hard Rock Country middle of the road, très frais à l’époque, mais que BON JOVI a tellement décliné par la suite qu’il a fini par gaver tout le monde.

Appréciation mitigée du gars qui vient d’inventer l’eau tiède, donc, pour cette vieille scie musicale, musicalement pas si géniale que ça, instantané d’une époque révolue où ce genre de Hard Rock commercial atteignait des scores vertigineux. Mais ça n’est pas parce qu’un album est « N°1 aux USA » (comme disait le sticker) et se vend jusqu’à dix-huit fois platine qu’il mérite de finir sur la nôtre.

le 01 Août 2020 par NATEAG666


J'ai beau écouter et réécouter ce disque, je n'y arrive pas.
À part, les deux tubes interplanétaires placés en début d'album et que j'adore, je trouve toutes les autres compositions plates, inodores et incolores.
Pourtant je suis un grand fan de "Bon Jovi" et de "New Jersey".
Je ne comprends pas l'engouement pour cet album.
Je me sens seul.

le 18 Juillet 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


En 1986, ce disque changea le destin du Hard Rock. Même si le "Back In Black" de qui vous savez fut le plus gros vendeur de l'histoire avec plus de 40 millions d'albums écoulés, ce "Slippery" fut un raz de marée impressionnant pour l'époque avec une omniprésence dans les charts US qui fit exploser ce style musical dit FM ou Hair Metal dans le sacré billboard.

A partir de là, des groupes tels DEF LEPPARD, WHITESNAKE, GNR, MOTLEY etc... trustèrent les hits parade ricains et remplirent les salles types Bercy à foison.

Le style commença à tourner en rond en 1990 et à s'auto parodier avec l'arrivée de groupes très peu sincères et créés par les majors company de l'époque n'y voyant que des pompes à dollars. Parmi les pires, citons TRIXTER, WARRANT, FIREHOUSE etc...

Si bien, qu'en 1991, Seattle balaya tout cela d'un revers de main fulgurant avec les NIRVANA, PEARL JAM, SOUNDGARDEN & co même si ceci fut cruel pour les amateurs de Hard Rock traditionnel. L'avantage avec le Rock, c'est que l'arnaque ne dure pas.

Quant à ce disque, il est bon mais trop commercial à mon goût, je préfère largement les deux premiers LP qui ont l'avantage d'être frais et Hard Rock, même si celui-ci restera dans l'histoire du Rock.













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