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Doro
Force Majeure
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le 30 Juin 2022 par SWISSIDOL


Un album aussi subtil qu'un troupeau de buffles. La reprise de PROCOL HARUM est plutôt bien faite et deux, trois autres titres se laissent écouter sans peine mais, dans l'ensemble, cela nage dans la médiocrité et le banal

le 19 Mars 2018 par LORDI2


un premier effort encourageant. Les bonnes bases sont là ! Plaisant, jouissif, mais il ne faut pas exagérer, ça s'arrête là ! 3/5 ! Je préfère WARLOCK !

le 09 Janvier 2018 par CLANSMAN57


Je crois que c'est le meilleur DORO que j'ai pu entendre.
Dans la continuité du dernier WARLOCK, ceux qui aiment ne seront pas dépaysés.

Je ne mets pas plus de 3, c'est vraiment plus ma came.

le 29 Novembre 2017 par BLACKSHEEP


J’imagine que le split du groupe était inévitable, Mais il est dommage que "Force Majeure" ne fasse pas partie intégrante de la discographie de WARLOCK, car, quand même, cet album est incontestablement le légitime successeur de "Triumph & Agony". D’ailleurs, je me demande bien pourquoi avoir choisi comme nouvelle bannière DORO ? À la limite PESCH aurait été plus évocateur, plus Glam Metal que DORO non ?
On constate que pour illustrer la jaquette de son premier essai sous son propre nom, la blonde ne se représente ni en guerrière, ni en reine tribale post-apocalyptique mais en modeste forgeronne baignant dans sa sueur. Le message est clair : elle a bossé dur, avec l’aide de musiciens américains chevronnés, afin de livrer en offrande à ses fans du monde entier, le disque le plus professionnel possible.
La voix de la chanteuse devient plus maîtrisée, parfois même plus Pop, désormais on ne retrouvera plus guère ses cris de banshee, comme sur le titre "Touch Of Evil" de l’album précédent.
Et du même coup c’est l’imagerie « sorcery » de WARLOCK qui tend à disparaître au profit de thématiques nettement plus terre à terre, probablement dans le but d’élargir son public, et toujours avec cette légitime ambition, de faire carrière outre-Atlantique. (Elle a son pied-à-terre à New-York…).
Alors, d’un côté on a des compos solides, qui enfoncent le clou dans un style encore davantage Arena Rock que sur l’album précédent. Mais d’un autre côté, la production n’est pas vraiment à la hauteur. Les riffs de guitare de Jon Levin sont certes bien costauds, mais plutôt sous-mixés. Le niveau technique est élevé, avec quelques solos bien sentis, cependant l’emploi de ce musicien intérimaire ne suffit pas toujours à combler un manque de densité sonore, probablement à cause de l’absence d’un second guitariste.
De plus, il faut bien reconnaître que, contrairement, à "Triumph & Agony" cet album ne contient pas de véritables hits, "Hellraiser" n’est pas aussi fédérateur que "All We Are" et "River Of Tears" n’est pas aussi « tubesque » que "Für Immer".
Sans parler de cette reprise de PROCOL HARUM, qui est ici mise en avant, alors qu’elle aurait davantage eu sa place en tant que titre bonus. "A Whiter Shade Of Pale" a beau être une performance vocale, il n’empêche que, la version proposée ici est d’un kitch effarant, et en vidéo-clip c’est encore pire !
Grâce sa puissance vocale naturelle, Doro se montre très convaincante sur les titres les plus nerveux, comme le très beau morceau de Metal mélodique "World Gonna Wild" ou le plus frontal "I Am What I Am".
Sur les titres plus traditionnellement Hard & Glam, Doro passe à un type de chant un peu plus Rock'N'Roll, comme sur "Save My Soul", "Angels With Dirty Faces" et "Hard Times", et ça reste néanmoins très efficace.
Malheureusement, certaines tentatives pour sonner encore plus soft ou AOR, aboutissent à des titres plus faibles, comme par exemple "Mission Of Mercy" ou bien l’ambitieux « Cry Wolf" qui est une composition plus élaborée mais poussive : Doro semble vouloir imiter le style du "Hell Is For Children" de PAT BENATAR, mais ça ne marche pas vraiment, et ce n’est pas ses hurlements, à la fin, qui vont sauver l’affaire !
Heureusement, nous avons quand même ces deux pépites, qui ont été cachées au milieu de la tracklist, mais qu’il ne faut pas négliger :
"Beyond The Trees" qui est une jolie petite ballade en voix Pop, sur un gimmick de piano mélancolique, l’ambiance est réussie, à la fois poignante et inquiétante, malgré l’absence impardonnable de solo de guitare.
"Under The Gun" c’est l’attaque surprise d’un bon vieux Panzer qu’on n’attendait plus, voilà le titre qui aurait mérité d’être placé en ouverture de l’album. Pour l’occasion Bobby Rondinelli a même accepté de « mouiller la chemise », en lançant son tempo le plus rapide… Ouf !... Nous voilà rassurés, Dorothée Pesch n’a pas totalement renié ses débuts au sein de la scène Metal germanique.
Avec ses qualités et ses faiblesses, "Force Majeure" marque dignement la fin de l’époque WARLOCK et il trace des fondations solides pour lancer DORO en solo.
Mais dans le contexte de l’époque, la fin des années 80, l’orientation un peu trop ouvertement commerciale de certains titres reste cependant inquiétante, pour la suite de la carrière de Doro.
Et si cette dernière avait pu lire dans une boule de cristal, elle aurait su par avance, que pour passer du statut de « jeune forgeronne » à celui de « vénérable Reine du Metal », la route allait être encore longue et semée d’embûches… Heureusement, qu’elle a su se forger un caractère combatif… En acier trempé !

le 10 Mai 2017 par LORDI2 LORDI2


Inégal mais pas mauvais. Du bon DORO !













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