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Rush
Grace Under Pressure
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le 22 Octobre 2020 par ISMA


Je decouvre cet album sur le tard en revisitant la discographie du groupe. Que dire ? Cet album est facinant et je ne pensais pas que RUSH était capable de complètement changer de style pour accoucher d'un tel ovni. On aura rarement vu le Hard, le Prog et le Reggae dans une symbiose aussi parfaite. Les trois compères sont au top de leur game.
À écouter d'urgence. Moi, j'y retourne !

le 11 Mars 2020 par MAGNU


Rien que pour "Between the Wheels" et "The Ennemy Within" je mets un 4.
A signaler la belle production de Peter Henderson qui n' a pas trop vieilli, contrairement à celles à venir de P. Collins.

RUSH a vraiment fait de belles choses dans les années 80.

le 09 Mars 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


Excellent album de Hard Prog' où les claviers font merveille, "Red Sector A" et "Distant Early Warning" étaient les titres phares et single à l'époque de la sortie du skeud, content d'avoir pu suivre ce groupe à cette époque (1984) et d'avoir grandi avec. Album fabuleux d'un groupe plein de créativité dans les 80s. À noter l'excellente version live de "Between The Wheels" qui se trouve sur le R30 de 2005.

le 22 Mars 2019 par CHRISNAKE


Si l' album sonnait très moderne à l'époque, il a très mal survécu à l'épreuve du temps à cause de la prédominance des synthés et sons électro de batterie. Les albums précédents sonnent moins datés. Alex Lifeson a quasiment abandonné son style de Hard Rock (riffs et saturation) au profit d'accords complexes à la Andy Summers voir The Edge de U2 et c'est plutôt pas mal (excellent solo sur "Afterimage"). L'album démarre très fort avec trois titres excellents tous sortis en single. Je n'aime pas du tout "The Enemy" et son beat Ska énervant, ainsi que les deux derniers titres ce qui fait baisser ma note. "Kid Glove" nous réveille avec son riff sautillant et "The Body" est pas mal avec son intro de basse mais sans plus. Très jolie pochette au passage. "Red sector A" fait référence aux camps de concentration et "Afterimage" parle du décès d'un technicien du studio "Le Studio à Morin Heights" (studio à l'abandon de nos jours).

le 10 Mai 2016 par YM


Bonjour.
Red Sector A est également une référence au centre spatial Kennedy et à son aire de lancement, dont l'espace VIP porte ce nom.
Du moins, c'est ce dont je crois me souvenir.
Sinon, effectivement, l'album est grand, mais comporte certaines faiblesses, bien soulignées dans la chronique, dont certains morceaux un peu plus faibles, à côté d'autres vraiment excellents. L'album n'est donc pas aussi homogène que d'habitude. On sent que le groupe était en crise, le résultat s'en ressent, même s'il reste largement au dessus de la moyenne, comme toujours chez RUSH.
La production, effectivement, peut surprendre, mais ne me dérange pas vraiment, pas trop, du moins.
L'album constitue, à mon avis, un recul par rapport au précédent, "Signals", qui comportait également son hommage (moins sardonique, toutefois) à la NASA.
Sardonique, c'est le mot : production froide, lyrics désabusés parfois.
Le tout reste, malgré mes réserves, indispensable.













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