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41 commentaires notés [?]
Dream Theater
Train Of Thought
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le 07 Mai 2004 par SIGSEGV
PS : Portnoy voulait faire un album de "classic metal", mais entre Train Of Thought et Master Of Puppets, il n'y a pas de comparaison possible; l'un est un chef d'oeuvre, l'autre aurait été la daube de l'année 2003 si St Anger n'était pas sorti.
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le 07 Mai 2004 par SIGSEGV
Pour répondre à Wild Thing, ce n'est pas le fait que DT ai pris une tournure métal qui me gène, mais c'est avant tout le résultat (production mauvaise avec un son de guitare baveux atroce) et la démarche artistique, qui n'est pour moi rien d'autre qu'un immense foutage de gueule : "nous somme Dream Theater, ce que nous faisons est forcément bien, alors un album écrit (jeté devrais-je écrire) en 3 semaines avec des chansons baclées, c'est bon. On est pas inspiré ? C'est pas grave, on va prendre des riffs de Metallica, on va les transposer 10 fois et les jouer à l'envers (Orion - Stream Of Consciousness); de toute facon, nos fans sont des blaireaux, ils ne s'en rendront pas compte". J'ai été fan hardcore de ce groupe; je suis toujours membre du fan club; mais je peux te garantir qu'autour de moi, ce disque a été celui de la rupture. Et si le prochain album est aussi "bon" que ce train Of Thought, ce sera à mon tour de tourner la page. Je me suis fait une raison, nous n'aurons plus jamais d'album de la trempe d'Images And Words ou d'Awake, ou meme SFAM. Si le groupe ne se décide pas à retravailler avec un producteur indépendant, ils vont dans le mur; et je maintiens, Train Of Thought est pour moi une merde comme il en existe peu; seul St Anger de Metallica et les Sex Pistols ont fait pire.
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le 06 Mai 2004 par WILD THING
A part sur ITNOG, je ne suis pas d'accord avec le reste de ce commentaire.Dans mon cas, le virage metal de DT m'a plu, mais là n'est pas le problème. Tes arguments ne sont de toute manière pas complètement faux, loin de là,un album à ce point metal de la part de DT avait de quoi décevoir bon nombre de fans, c'est sûr, mais, quoi qu'on pense de cet album, c'est plus que déplacé de dire qu'il sonne "la mort du groupe" . Et si c'était réellement la mort du groupe, il y aurait encore moins d'avis _ très _ positifs sur l'album de toutes façons.
P.S. : en tant que fan du groupe, je ne pouvais supporter que l'hypothétique dernier commentaire concernant l'album finisse ainsi donc le mien se terminera comme ça :
DT, your Spirit will forever Carry On ! lol :-)
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le 05 Mai 2004 par SIGSEGV
Après de nombreuses écoutes de TOT; ce que j'en retient, c'est une suite ininterrompue de riffs répétitifs et maintes fois transposés; histoire de gruger l'auditeur. Ne perdez pas votre temps à chercher des mélodies dans TOT; il n'y en a pas. Il n'y a que des riffs tellement répétés, assénés, martelés qu'ils en deviennent presque hypnotiques.
Chaque morceau de TOT (sauf Vacant et As I Am) est un immense bordel dans lequel s'imbriquent des flots d'idées sans aucune cohérence. Ce groupe est aujourd'hui incapable de juger si une idée est utile ou nécéssaire au morceau; alors dans le doute; on l'inclut quand meme; comme ca; ca donne des morceaux (beaucoup trop) longs juste pour faire "prog" (parce que si c'est pas long, c'est pas prog, donc c'est pas bien). Car la longueur des morceaux n'est plus un moyen mais une fin sur TOT. Le groupe manque aujourd'hui de direction musicale; les morceaux partent dans tous les sens et n'ont ni queue ni tete. Et pourtant; meme en faisant un joyeux bordel avec toutes leurs idées (la fin de this Dying Soul est tout simplement insupportable et tient plus de la torture auditive qu'autre chose); ils ont réussi à s'auto parodier (The Test That Stumped Them All; The Glass Prison...) et à plagier honteusement Metallica (Orion, Damage Inc, Call Of ktulu, enter Sandman, One (faut bien la chercher celle là), Blackened, Welcome Home (Sanitarium), thorn within...) et Megadeth (Into The Lungs Of hell pour ne citer qu'elle); mais aussi du Tool. Certains diront que DT s'est toujours inspiré de groupe divers et variés; ce qui est vrai; mais aujourd'hui; les influences me semblent nettement moins bien "digérées".
Concernant les performances individuelles; James est très bon, il a retrouvé sa voix; mais ses lignes de chant sont d'une inanité rare et d'une platitude affligeante (chant à la hetfield; passage rap; imitation de Maiden à la fin de ITNOG); John petrucci a encore gagné en vitesse d'execution sur les plans pentato-chromatiques; malheureusement, sur ce disque, vous n'aurez droit qu'à une prestation ô combien nombriliste du bonhomme, il a tout perdu en ce qui concerne les mélodies, vous n'aurez droit qu'à de la bouillie de notes jouée en triolets de triples croches passée à un tempo de 360; quand à Rudess; on ne l'entend pas souvent (et c'est pas plus mal; pour une fois qu'on echappe aux "sons Rudessiens bizarres"; et quand on l'entend; c'est pour des batailles plus que bordéliques entre lui et Petrucci (SOC). Seul point positif : la basse de Myung est enfin audible.
Au final; de ce disque; je ne retient que Vacant (qui est une chanson moyenne; mais noyée dans tout ce disque, elle parait bien; et As i Am; car c'est une chanson assez efficace; qui ne part pas (trop) dans tous les sens; et le solo de guitare ressemble encore à quelque chose.
Ce disque sonne le glas de ce qui fut le plus grand groupe de metal Progressif.
RIP Majesty 1985 - Dream Theater 2003
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le 15 Février 2004 par BENOIT DE SPINOZA
A peine le fabuleux Six degrees of inner turbulence digéré, Dream Theater remet le couvert avec Train of tought. Que nous a cette fois-ci pondu la bande à Portnoy ? "L'album que Metallica aurait dû faire", rien que ça ? Et le pire, c'est qu'ils sont loin d'être dans le faux les bougres !
Un morceau d'ouverture qui annonce tout de suite la couleur avec le très couillu As I am. Rythmique béton, refrain accrocheur, ça m'a l'air plutot bien parti. Et la suite est du même acabit (This dying soul, Honor thy father)avec mention spéciale à Endless sacrifice, Steam of conscensiousness et In the name of god (soit la moitié de l'album), tous 3 exceptionnels. James LaBrie a opté pour un chant plus agressif du meilleur effet. Quant à nos 4 virtuoses, ils sont au mieux de leur forme.
Mais alors tout est bien dans le meilleur des mondes. Train of tought est l'album de l'année ! Pas tout à fait malheureusement. Cela vient du fait que les compo' soient à mon gout bien trop longues. Mais c'est normal me direz-vous, puisque Dream Theater est un (si ce ne Le) groupe progressif par excellence. Certes, cependant, pour un album qui se veut de la même veine qu'un Metallica ou un Maiden, il se doit d'être plus direct et concis. Ici nous avons à faire à une sorte d'album batard ni super heavy (les breaks de 5 minutes ne sont pas ce qui convient le mieux au genre), ni prog' (morceaux trop directes, mémorisables à la première écoute pratiquement, qui font qu'on s'en lasse très vite). Dommage. L'album aurait gagné à voir des morceaux qui n'excèdent pas les 4 minutes et dont le nombre serait plus conséquent (7, c'est un peu maigre tout de même).
Malgres cela, saluons tout de même la démarche du "Théâtre des rêves" qui n'hésite pas à se remettre en question pour surprendre agréablement l'auditeur. Un très bon album quand même.
Sinon, pour pinailler, on peut dire qu'ils ne se sont pas fouler pour ce qui est du packing (boite à fond noir passée de mode, livret bien trop sobre et CD exactement pareil que celui d'Images and words qui prete à confusion).
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