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Dream Theater
Train Of Thought
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le 28 Avril 2022 par SWISSIDOL


L'album sur lequel DT s'est pris pour METALLICA. Mais, au lieu d'essayer d'être MUSE à la place de MUSE (sur d'autres albums) ou de sonner plus TOOL que TOOL, il vaudrait mieux faire du bon DREAM THEATER. Ici, les compos sont froides, partent dans tous les sens pour n'arriver nulle part ("This Dying Soul"). Trop de notes, trop de breaks, trop de tout et pas assez d'âme

le 09 Août 2020 par BAKER

@KID66 : Je suis bien d'accord et c'est le premier DT que je n'avais pas acheté à l'époque.

Mais à force d'entendre Portnoy clamer qu'il avait voulu faire un disque de "classic Metal, je l'ai finalement pris et j'en ai tiré une version édit expurgée de toutes les redondances. On passe de 69 minutes à 51 (cad la durée moyenne d'un MEGADETH ou d'un ANTHRAX) et sincèrement malgré les défauts je ne peux plus revenir à la version originale.

le 07 Août 2020 par JOHN-BOB

Il faudrait que je réécoute cet album qui prend la poussière chez moi depuis des lustres pour lui mettre une note, mais je me rappelle quand même que certains passages donnent vraiment dans la caricature du shred moche et vain (le pire étant la fin de "This Dying Soul" et la partie instrumentale de "In the Name Of God").

D'habitude, entendre les chouineurs reprocher un manque d'âme (ça veut dire quoi ?) dès que ça joue vite (lire ce genre de reproche sur le premier Malmsteen par exemple...) me gonfle, mais là, c'est malheureusement approprié. Sans compter les ignobles sons de clavier de Jordan Rudess. Et puis sans déconner, on a connu un Petrucci plus inspiré dans ses solos.

le 07 Août 2020 par KID66


Le "dernier grand album" de DT ou peut être surtout le premier de sa longue chute, le premier de son ère moderne marquée par des inspirations un peu trop visibles et surtout des facilités de compositions flagrantes. À partir de "TOT", le groupe étire ses compositions sans faire l'effort de les repenser, il ne fait que rajouter des briques et des briques de plans instrumentaux sans grande cohérence entre eux.

"Six Degrees..." restait ambitieux et travaillé même si perfectible je le concède, "Train Of Thought" il y a déjà pas mal de minutes à jeter, de compos qu'on aurait pu épurer, et ce sera le cas sur tous les albums suivants, le zénith du pathétique ayant été atteint sur "A Dramatic Turn Of Events" qui m'a complètement désintéressé du groupe.

"Train..." a de plus que "Systematic..." ou "Black Clouds..." une vraie ambition artistique, un peu ridicule peut être puisqu'il s'agit de créer un album de METALLICA à la place de METALLICA, mais qui a permis au groupe de ne pas s'éparpiller et d'aller à l'essentiel malgré les soixante-dix minutes au compteur. On sent que les musiciens se font vraiment plaisir et balancent toute une pelletée de gros riffs bien Metal et de soli débridés en essayant de garder une tension constante.

Alors bien sûr, ça ne fonctionne pas toujours, il y a du déchet dans "This Dying Soul" ou "Stream", les soli de Rudess ou Petrucci sont parfois absurdes, mais croyez-moi "TOT" est bel et bien l'album le plus jouissif de DREAM THEATER ("As I Am", "Endless", "Honor", "In The Name"). 3,5/5.

le 06 Août 2020 par 2112


L'album le plus Heavy de DREAM THEATER. L'influence de METALLICA est omniprésente comme beaucoup l'ont dit précédemment, "As I Am" et son groove irrésistible rappelle immanquablement le Black Album, un brûlot imparable avec un solo jouissif. DREAM THEATER se transforme en NIGHTMARE THEATER, l'ambiance est sombre et le son absolument dantesque.

C'est également un disque très difficile d'accès et de nombreuses écoutes seront nécessaires pour l’apprivoiser convenablement mais le jeu en vaut la chandelle. Le groupe envoie la sauce constamment et il faut attendre la cinquième piste, "Vacant", afin de pouvoir enfin reprendre sa respiration. Sur les trois dernières pistes on retrouve un peu plus le DT habituel même si "Stream Of Consciousness" fait terriblement penser à "ORION" de vous savez qui... "In The Name Of God" offre une conclusion.

Le chant de LaBrie est correct sans plus, il est de toute façon devenu un chanteur moyen depuis son empoisonnement fin 1994 et n'a jamais retrouvé le niveau exceptionnel qu'il affichait sur "I&W" et "Awake", il n' y a donc plus grand chose à attendre de sa part depuis. Enfin il ne gâche pas la fête, c'est déjà ça.

Le dernier grand album de DREAM THEATER.













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