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Dream Theater
Metropolis Part Ii : Scenes From A Memory
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le 19 Février 2019 par BABAR
Techniquement DREAM THEATER est un groupe de rêve, mais personnellement leur musique me touche une fois sur deux (en étant gentil). Leur morceaux sont longs, très variés, trop pour moi car j'y trouve souvent un manque d'unité, et toujours cette angoisse de voir débouler un solo de synthé (ou de guitare ayant l'effet synthé, parfois on ne sait pas trop...) aux sonorités farfelues.
C'est quand DT se la joue plus classique que je l'apprécie le mieux...
Après oui, le Prog et moi c'est une histoire assez difficile.
J'adhère très rarement au groove déployé sur ce type d'oeuvre. Il y a toujours un truc intéressant par-ci par-là à mes oreilles, mais trop d'à côtés qui me laissent de marbre (et qui m'ennuient souvent...).
Tant pis pour moi, car techniquement je ne vois pas ce qu'on peut reprocher à un disque pareil.
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le 12 Septembre 2018 par ZAM
Un chanteur à côté de la plaque et horrible à entendre chanter, un son de clavier répugnant et des parties instrumentales peu jouissives... Moi qui pensais avoir à faire à un chef d'œuvre, je suis horriblement déçu : c'est plat, sans intérêt, et même saoulant quand Labrie se met à chanter.
Note exacte 0,5/5.
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le 19 Septembre 2016 par 2112
C'est simple, chaque seconde de cet album est un moment de pur bonheur. Tous les morceaux sont géniaux, les mélodies sont superbes et James LaBrie est impérial (sa dernière grande performance vocale). Quant aux autres musiciens, ils sont incroyables, comme toujours. Les instrumentaux "The Dance Of Eternity" et "Overture 1928" sont parmi les meilleurs que le groupe a proposé durant sa brillante carrière, idem pour les ballades.
Comme toujours chez DT, les influences sont nombreuses et variées, ainsi, "Fatal Tragedy" évoque fortement QUEEN, l'accélération de "Strange Deja Vu" c'est du RUSH tout craché et "The Spirit Carries On" fait immanquablement penser à "Open Arms" de JOURNEY. Mais le tout est parfaitement digéré et DT parvient à imposer sa patte, toujours avec une maîtrise instrumentale surhumaine et beaucoup de feeling. L'histoire racontée est également intéressante et pleine d'émotions (j'ai toujours des frissons sur "One Last Time").
En bref, SFAM est un concept album abouti, et le groupe prouve qu'il est toujours au sommet de son inspiration après un "Falling Into Infinity" plutôt bon mais inégal et qui a eu le malheur de tomber en plein milieu de deux paires de chefs-d’œuvre : "I&W" et "Awake" d'un coté, "SFAM" et "6DOIT" de l'autre.
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le 26 Août 2016 par BAPTISTE89
Nicholas, homme pour le moins troublé par ses rêves, se rend chez un hypnothérapeute pour commencer une thérapie de régression afin d'en savoir plus sur ses vies antérieures. Alors qu'il plonge peu à peu dans une transe hypnotique, il fait la connaissance d'une certaine Victoria...
Tel est le point de départ de "Metropolis Part 2: Scenes From A Memory". Un excellent concept-album, qui propose une histoire très intéressante (on ne peut pas en dire de même de leur dernier album en date), dramatique et qui soulève des thèmes intéressants comme la réincarnation.
Un album qui nous fait traverser un torrent d'émotions. Le drame ("Fatal Tragedy", Beyond This Life", "Home", "Finally Free"), la tristesse ("Through My Words", "Through Her Eyes", "One Last Time") et la sérénité ("The Spirit Carries On") s'y côtoient parfaitement et font de ce "SFAM" un album très varié au niveau des ambiances. La Pop et le Metal s'y mélangent parfaitement, on trouve même des soupçons de Gospel et de musique orientale.
Les musiciens font preuve d'une maestria incroyable, ils jouent des parties très techniques, non au détriment de leur musique, accessible et très agréable à écouter. "The Dance Of Eternity" est un monstre de technicité, avec ses nombreux changements de signatures rythmiques. L'arrivée de Jordan Rudess a fait un bien fou au groupe, puisque dès son arrivée, il s'impose comme un des principaux compositeurs avec John Petrucci, et ses parties de clavier sont excellentes (sur "Fatal Tragedy" notamment). Petrucci est au top de sa forme, il s'illustre avec de très bon riffs ("Beyond This Life", "Home", "Strange Déjà Vu" avec son break réussi) et des soli superbes ("Overture 1928", "Fatal Tragedy", "The Spirit Carries On"). Certaines mélodies reviennent plusieurs fois tout au long de l'album, procédé très cher aux Américains qui contribue à l'aspect conceptuel et qu'ils utiliseront tout au long de leur carrière.
James Labrie a la lourde tâche de faire vivre le trio amoureux de "SFAM" ainsi que Nicholas, et il y arrive avec brio ; en attestent les nombreuses modulations de sa voix. Il est plutôt calme quand il incarne Nicholas qui analyse sa vie passée à travers les yeux de Victoria ("Through Her Eyes") et qui acquiert une certaine sérénité vis-à-vis de la vie après la mort ("The Spirit Carries On"). En revanche, son interprétation du triangle amoureux est bien plus mouvementée ; c'est particulièrement visible dans "Home".
10 ans après la sortie de "When Dream And Day Unite", que de chemin parcouru ! Des débuts timides jusqu'à la consécration avec les exceptionnels "Images & Words" et "Awake", le groupe avait un peu faibli avec un "Falling Into Infinity" tout juste sympathique. DREAM THEATER revient en force avec "SFAM", signant l'un des meilleurs concept-albums jamais créés !
Les dernières secondes de "Finally Free" nous mènent à une prison de verre, mais ça c'est une autre histoire...
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le 16 Septembre 2015 par SWISSIDOL
Pff, quel chef d’œuvre !! Après toutes ces années, je continue de le trouver gigantesque. Sans hésitation mon préféré de D.T. avec "Images & words"
Mais "Metropolis..." réussit à allier technique de fou avec vraies chansons là où "Images..." pourra sembler un poil plus froid et bien plus démonstratif.
Et puis, l'histoire narrée est passionnante (même si assez proche de celle du film "Dead Again").
Cet album m'a mis une claque comme on en prend finalement assez peu au cours d'une vie de fan.
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