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Dream Theater
Six Degrees Of Inner Turbulence
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le 15 Juin 2022 par METALPROG84


Un des meilleurs albums du groupe (avec "Images..." et "Metropolis part II").

Le premier cd est assez Heavy, notamment "The Glass Prison" (qui rappelle parfois METALLICA) et "The Great Debate" assez complexe mais très bon. "Blind Faith" est excellent, c'est même pour moi le meilleur titre de l'album. Le calme et mélancolique "Disapear" termine ce cd en beauté. La seconde galette est tout aussi réussie bien que très différente (plus progressive que Metal): un seul titre mais quel titre: long de 42 minutes (!) "Six Degrees..." est vraiment bien maitrisé, bien plus que "A Change Of Season" par exemple: il rappelle quand même pas mal l'album précédent, ce qui n'est pas un mince compliment.

Une réussite totale, cet album !

le 28 Avril 2022 par SWISSIDOL


J'attribue quatre étoiles mais, s'il n'y avait eu que le CD1, la note serait tombée à trois. "The Glass Prison" est super, "Disappear" troublante par sa beauté mélancolique mais les trois autres titres sont moins réussis. Heureusement, DT a pondu ce monstre de quarante minutes (sur le CD2) durant lesquelles on ne s’ennuie pas une seconde ! Pas un mince exploit. De la furie de "War Inside My Head" à la délicatesse de "Goodnight Kiss", tout est parfait, même quand le groupe pompe un peu Peter Gabriel ("Solitary Shell"). Un des derniers grands albums des progueux.

le 01 Septembre 2016 par BAPTISTE89


Les dernières secondes de "Finally Free" nous mènent vers une prison de glace, il s'agit de la présente histoire.

Trois ans après l'ambitieux et réussi "Scenes From A Memory", le groupe revient avec un double album consistant (plus d'1h30 de musique) répondant au nom de "Six Degrees Of Inner Turbulence". Une belle revanche sur le passé, les refus qu'ils ont essuyé quant à leur envie de faire d'"Images & Words" et de "Falling Into Infinity" des doubles CDs sont bien loins.

Six degrés de turbulences internes pour six musiques, qui correspondent à l'alcoolisme ("The Glass Prison", nouvel épisode du "The Twelve-Step Suite" de Portnoy), une foi trop forte qui peut aveugler ("Blind Faith") ou encore la maladie et la mort ("Disappear").

"The Glass Prison" est un titre assez enjoué, les musiciens s'éclatent littéralement, les parties instrumentales sont virevoltantes, un vrai plaisir. On peut en dire de même pour "Blind Faith", Petrucci et Rudess font preuve d'une maestria impressionnante, et Portnoy n'est pas en reste.

La seconde partie de ce CD se fait plus sombre, et "Disappear" est particulièrement mélancolique. C'est un titre très émouvant, qui nous place dans la tête d'un homme qui vient de perdre celle qu'il aime. James Labrie y est parfait, et Jordan Rudess créé des effets avec son clavier qui nous immergent totalement dans le drame que vit cet homme. C'est une chanson qui fait écho à "Space-Dye Vest", les deux sont vraiment tristes. Une très belle fin pour ce premier CD.

Quant au second CD... Un titre de 42 minutes, ils ont osé ! Et heureusement pour nous, parce qu'il est très réussi. Un petit bijou de progressif, qui mêle habilement Symphonie, Rock et Metal. Les 42 minutes peuvent faire peur de prime abord, mais il s'agit en réalité d'une chanson vraiment accessible, qui privilégie le feeling à la technicité. Les ambiances sont très variées, et correspondent bien aux différentes personnes évoquées dans ce long titre découpé en huit parties, qui souffrent chacune de pathologies mentales. "About To Crash" parle de la joie de vivre très fragile d'une jeune femme, qui souffre d'un trouble bipolaire, et est assez entraînante même si elle possède un côté plutôt sombre dans sa seconde partie ; ainsi, les phases maniaque et dépressive que traverse cette personne sont bien représentées. "War Inside My Head" et "The Test That Stumped Them All" sonnent résolument Metal, et évoquent respectivement le trouble de stress post-traumatique d'un soldat revenu de la guerre et la paranoïa prononcée d'un homme.

Après ces deux parties plutôt rentre-dedans, on entre dans une phase beaucoup plus calme, avec tout d'abord la très posée (assez mouvementée sur la fin, tout de même) "Goodnight Kiss", qui parle de la dépression post-natale d'une femme, puis la superbe "Solitary Shell", la partie que je préfère dans "6DOIT" ; elle est très relaxante et donne envie de taper du pied. Elle évoque un enfant qui souffre d'autisme et dont on suit l'évolution une fois qu'il est devenu adulte.

Petrucci ouvre la partie suivante avec un riff de guitare particulièrement réussi. Cette reprise d'"About To Crash" nous place dans la peau de la jeune femme, alors qu'on l'observait de l'extérieur dans la première partie. On peut apercevoir un semblant d'amélioration dans son moral. Enfin, la huitième et dernière partie de "6DOIT" parle d'une femme qui souffre d'un trouble dissociatif de l'identité et qui a du mal à établir des relations avec d'autres personnes. "Six Degrees Of Inner Turbulence" commence avec une partie symphonique et finit de la même manière, en bref la boucle est bouclée.

Encore une fois, les musiciens sont parfaits dans leurs instruments respectifs tout au long de l'album, leur jeu est très riche, plein d'aspérités et s'adapte bien aux textes. La production est excellente également. Succéder à "Scenes From A Memory" était un défi considérable, il a été rempli avec brio !

le 26 Janvier 2016 par MR TINKERTRAIN


Six Degrees of Inner Flatulence...
C'est le titre des commentaires qui mettent moins de 3 à ce disque. Technique, mélodicité (car oui il y en a beaucoup, et je suis musicien, pas de Metal) et surtout des compositions titanesques. C'est pour moi le dernier très bon album de DT avec "Black Clouds...", même si le 2e CD aurait pu se passer de son intro à chier... Car oui il y a des moments à chier chez DT, comme partout. Mais il vaut mieux dire je n'aime pas car c'est plus mon truc que dire Labrie ne chante plus, il n'y a plus rien etc... "The Great Debate" (putain cette montée Prog) et "Disappear" (putain ce morceau à chialer) sont 2 des plus grands morceaux de DT!!! Ah et puis "Octavarium" est à chier lui aussi, car je l'aime pas...Mais il a sans doute des qualités musicales et de compositions.
Apprenez la musique, apprenez à composer et apprenez à critiquer ensuite.

le 26 Janvier 2016 par VINCEBIANCONERO


Voici donc le successeur du génial "Scenes From A Memory". Et bien non, ça va pas du tout, y a rien sur ce disque, pas de mélodies, pas d'ambiance, pas de riffs, bref, ça vaut rien. Le groupe se met en mode pilotage automatique, Petrucci ne fait plus que de la branlette de manche, pareil pour Rudess, Myung est inaudible comme toujours et même Portnoy semble à cours d'imagination. Labrie, lui, ne chante tout simplement plus, il n'y a aucune conviction dans ses vocalises, aucune puissance, rien. Bordel vous êtes surs que c'est le même gars qui chantait "Metropolis Part-1" ou autres "Voices" avec cette voix incroyable ? Je sais qu'il a eu un problème au milieu des 90' mais au moins qu'il donne son maximum quoi, la on a juste l'impression qu'il se fait chier...

Puis le son est moche, ou sont passées les mélodies lumineuses d'un "Innocence Faded" ou le groove irrésistible d'un "Take The Time"? C'est trop métallique (dans le mauvais sens du terme) et ça ne colle pas avec le style du groupe, je veux DREAM THEATER moi, pas une mauvaise imitation de MEGADETH et METALLICA (j'aime ces groupes hein, mais c'est pas ce que je recherche en écoutant DT), les morceaux ne sont jamais accrocheurs, ne se retiennent pas... Et puis les pitreries de Portnoy au micro avec ses growls ignobles c'est juste pas possible, mon dieu que c'est laid. Pourtant ça partait bien avec l'intro de "The Glass Prison" qui est le meilleur et le seul bon moment de cet album. Le second CD, censé n'être qu'un seul morceau de 43 minutes, n'est qu'une succession de parties et sous-parties sans aucune cohérence ou ligne directrice. Comment c'est possible de faire une musique aussi laide avec autant de talent ?

Le pire c'est tout les albums de DT qui suivront ressembleront à celui-ci. Pour moi le groupe est mort en après "Scenes From A Memory". Pire encore, post-2000, mis à part "Octavarium", je ne vois même pas le moindre bon morceau ! Bref, fuyez ! Si vous voulez découvrir l’œuvre de DT, écoutez "Images And Words", "Awake" et "Scenes From A Memory" et ne touchez pas au reste, ce n'est qu'une perte de temps. 0/5 pour celui-ci et tout ceux qui suivent.













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