Fan d'Adagio depuis "Sanctus Ignis", je suis désolé de voir qu'après 3 albums, on les compare encore à Symphony X. Pour moi, Adagio oeuvre certes dans un domaine proche, mais il serait bon de ne pas sans cesse les comparer aux amis de Michael Romeo.
Je sais que je suis probablement en train de violer les règles écrites au dessus (cf: "Les commentaires sur le chroniqueur ou sa chronique ne seront en général plus validés, laissés à l'appréciation des modérateurs"), et je m'en excuse, platement, absolument...
Mon commentaire n'a pas pour but principal d'être validé, je voudrai juste faire remarquer, de façon constructive tant que possible, au chroniqueur (que j'apprécie beaucoup, au demeurant, quant à ses diverses autres chroniques) que chroniquer un cd est une chose, et que faire une comparaison incessante en est une autre.
Je comprends qu'il apprécie Symphony X (c'est mon cas également), mais j'aimerais qu'il prenne en compte que si l'on vient lire une chronique d'Adagio, ce n'est pas pour retrouver 8 fois le nom "Symphony X" ou des phrases comme "En conclusion, Adagio n'a pas encore réussi à dépasser ses maîtres, que sont Symphony X et Dream Theater, sur cet album mais n'en est pas loin. "
Stephan Forté à beau apprécier ce que fait Michael Romeo, son but n'a jamais été de le "dépasser", mais bien de faire une musique qui lui soit propre et qui doit être écoutée et aimée comme telle. Adagio n'est pas un plagiat de DT, ni de SX.
Adagio est Adagio, avec ses qualités et ses défauts, et il serait bon de les mettre en avant en tant que tels et non pas en tant que rapprochements incessants avec d'autres groupes :-). Prière de ne pas prendre ce commentaire comme un crible ou quoi que ce soit d'autre. Anciennement chroniqueur, je sais à quel point y oeuvrer est un art et un cheminement difficile, et en ce sens je sais que sans critiques constructives, je n'aurai pas pu m'améliorer, d'où ce que je suis en train d'écrire actuellement :-).
Au final, donc, étant donné que je suis tout de même censé noter l'album, et bien je lui donnerai 4/5, car le morceau "Undying" m'a laissé sur ma faim et que les relans black sont parfois un peu "trop" pour moi :-). Sinon, le nouveau chanteur semble s'être bien intégré au sein du groupe ce qui est une chose positive, et Stephan Forté a, à mon goût, signé ici encore une pièce maitresse de la scène metal française, hélàs scandaleusement avortée faute de public ...
En espérant vous relire prochainement,
Orphaned.