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Scorpions
Lovedrive
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le 20 Mars 2011 par TONTON CLEM
Hey ! Au début, j'avais des a priori sur l'Allemagne. J'étais un peu désarçonné par leur langue et leur culture. Puis c'est en découvrant BONEY M et Inspecteur Derrick que mon avis a changé... Euh non, plus sérieusement, j'en ai mis du temps pour admettre que SCORPIONS étaient des Allemands et non des Américains... C'est en sortant un certain "Lovedrive" (1979) dans la disco vinyle de mon père (le seul disque Hard Rock qu'il possédait) que j'ai décidé de me pencher véritablement sur les SCORPS.
Ce sixième album s'ouvre "Loving You Sunday Morning", brulot Hard imparable qui nous met dans l'ambiance très vite. On enchaîne avec le speedé "Another Piece Of Meat", tout aussi efficace. Par contre, le repompage de la mélodie de "Simple Man" des LYNYRD SKYNYRD sur le quelconque "Always Somewhere" m'a paru flagrant dès la première écoute. Du coup, cela m'empêche d'apprécier cette ballade pourtant très bien interprétée. Mais à l'inverse, "Coast To Coast" déchire sa race ! Les frères Schenker, bien épaulés par le non moins talentueux Matthias Jabs, font des merveilles sur cet instrumental exceptionnel digne d'un "Eruption" ou d'un "Black Star".
On revient à une ambiance plus accélérée et énervée avec "Can't Get Enough", où Klaus Meine paraît si agressif qu'on croirait qu'il va nous mordre. Mais j'ai pris une vraie claque avec "Is There Anybody There?", un reggae-metal surprenant qui me fait vibrer à chaque fois car il est absolument jouissif. Yeah, la grande réussite de l'album, en tout cas. La chanson-titre reste appréciable, mais c'est pas un must non plus. On connaît surtout SCORPIONS pour sa collection importante de ballades, et c'est le cas pour "Holiday" qui est très jolie. Pour autant, c'est loin d'être ma préférée...
"Lovedrive" (1979) de SCORPIONS est très réussi au niveau de la production, et Matthias Jabs n'a rien à envier à Uli Jon Roth, car c'est aussi un soliste époustouflant. Je pense que s'il ne contenait pas le scandaleux "Always Somewhere", ce serait un chef-d'oeuvre. Ah oui, cela dit en passant, la pochette a vraiment de la gueule !
Morceaux favoris : "Loving You Sunday Morning", "Coast To Coast", "Is There Anybody There?".
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le 20 Décembre 2010 par GAHELL
Je préfère Roth à Jabbs, mais ce "Lovedrive" est encore une fois un chef-d'œuvre (le quatrième consécutif, sans parler du live !) : tout est excellent.
Deux ballades magnifiques (un peu feu de camp le "Holiday"...), un reggae-hard du meilleur effet (Entre LED ZEP' et WARNING), un instru...
Peut-être est-il un peu court et à mes yeux "Lovedrive' est le morceau le moins bon, un ton en-deçà...
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le 11 Octobre 2010 par ROY
Putain "Coast To Coast", quel putain de morceau. Rien que ça justifie l'achat de cet album, un album équilibré avec de grosses intentions, le SCORPIONS dans toute sa splendeur, celui qui n'avait pas peur de piquer !
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le 07 Mars 2010 par GEDEON MOLLE
Sans doute gagné par la nostalgie suite à l'annonce de la fin imminente de leur carrière, j'ai ressorti quelques albums de SCORPIONS cette semaine, dont "Lovedrive".
Ce n'est certes pas mon album préféré des SCORPIONS, "Blackout" étant pour moi le sommet du groupe.
Pour autant "Lovedrive" est superbe, et bien que datant de 1979, je lui trouve un son parfait, chaque instrument étant mixé comme il faut que l'on distingue le travail de chaque musicien.
Et puis, il y a les compositions, magnifiques, tellement entêtantes qu'en écoutant l'album le matin sur le trajet du travail, celui-ci reste ancré durant toute la journée, au point de fredonner en boucle les couplets, refrains, riffs, etc.
Note : 5/5
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le 16 Janvier 2009 par BUPIE
Est-il possible de survivre aux départs successifs de deux guitaristes aussi extraordinaires que Michael Schenker et Uli Roth ?
Ben oui, nous répondent tranquillement les arachnides. Bon, OK, je triche un petit peu car si Uli est parti pour de bon, Michael est revenu donner un petit coup de main sur quelques titres ...
Lovedrive est pour moi l'album de la transition entre le rock un poil psychédélique des années 70 et le hard rock très carré des années 80 (dont il est quand même beaucoup plus proche). Mais album de transition ne veut pas forcément dire mauvais album. Ici ce serait même plutôt le contraire et Lovedrive n'est pas loin d'être mon opus préféré de Scorpions.
Mis à part "Can't Get Enough", il n'y a pour moi pas grand-chose à jeter sur cet album. La palette est très variée, du speedé "Another Piece Of Meat" à la semi-acoustique "Holiday" en passant par le hard/reggae "Is There Anybody There". Ma préférence va tout de même à "Coast To Coast", un instrumental à tomber par terre (allez voir les vidéos live des années 80 de ce morceau sur YouTube) et "Always Somewhere", la power ballade ultime.
Difficile de rêver meilleure intronisation pour le nouveau guitariste, Matthias Jabbs. C'est le prélude à la période glorieuse, à défaut d'être la plus inspirée, du combo germanique. Ca vaut bien un bon 4,5/5.
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