Dans ce second album, SETH prend le virage du black symphonique de ses début vers un black expérimental froid et technique, et la manœuvre est réussie !
Trois titres ont retenu mon attention (peut être parce qu'ils sont chantés en français...) : "Die Weihe", "Acid Christ" et "L'excellence". Comme le dit si bien le chroniqueur, les paroles sont élitiste : " Je suis le fils prodige de Lucifer, celui qui assassine le dernier espoir, celui qui méprise le souffle humain, celui qui symbolise le testament terrestre".
Après ce disque, SETH en a sorti deux autres dont "Era-decay" qui aura été pour moi le summum de la carrière du groupe, mais malheureusement son chant du cygne.