Cet album contient des mélodies imparables (« headless game » aux choeurs fantastiques). « Babylon » nous ramène tout droit en 1988 à l'époque glorieuse des Keepers.
Pour ma part, je doit avouer que j'ai un petit faible pour le morceau "the unbeliever" aux ambiances variées (départ canon et accalmies pour chaque pont), aux solis d'enfers et à la prestance de Tobias au chant. Enfin, pour finir le disque en beauté, le morceau fleuve "theater of salvation" impressionnant qui n'aurait pas déplu à Kai Hansen.

L'ensemble de cet album est donc une belle réussite et le groupe a enfin atteint sa vitesse de croisière. Malheureusement, ce sera pour moi le dernier album interessant d’Edguy.