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HARD ROCK  |  STUDIO

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2014 1 Blues Pills
2016 Lady In Gold
2020 Holy Moly!

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2013 Devil Man

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2017 Lady In Gold - Live In Paris

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2017 Lady In Gold - Live In Paris
 

2014 Blues Pills
 

- Style : Spiritual Beggars, Raveneye, Wolvespirit, Spiral Skies, Black Mirrors, Kadavar, Lucifer
- Membre : Dorian Sorriaux
 

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BLUES PILLS - Blues Pills (2014)
Par DARK BEAGLE le 20 Août 2016          Consultée 899 fois

Ce premier album de BLUES PILLS reste pour moi une espèce de semi déception. Comprenez donc par là qu’il me satisfait à moitié. Il y a là-dedans quelque chose qui ne me semble pas tout à fait abouti, alors que l’EP "Devil Man" m’avait quasiment subjugué. Ce dernier avait l’avantage d’être bien compact, de se tenir de bout en bout et d’être assez logique dans sa construction.

Là, vous m’excuserez, mais c’est un peu le bordel, quoi.

En effet, le découpage de l’album a de quoi laisser perplexe. On commence par se taper de bons morceaux qui tirent leur substance du Blues, un Blues qui aura été bien lesté pour que le son soit lourd juste ce qu’il faut et que les instruments ne prennent pas le dessus sur Elin Larsson, la très bonne chanteuse du combo. Mais ensuite, BLUES PILLS va créer de lui-même un ventre mou en nous balançant une série de ballades qui au final perdent en intérêt à être ainsi alignées. Et du coup, quand l’ensemble retrouve une dynamique plus Rock, l’auditeur peut être un peu perdu.

En fait, c’est comme si les musiciens avaient tout enregistré d’une traite après avoir fumé des joints pour se mettre en jambes (ou pas). On sent la montée progressive, le moment où ça plane et la retombée, qui arrive d’un coup. Un ascenseur émotionnel sans avoir véritablement l’émotion en somme.

Et il y a aussi un petit côté paresseux dans la guitare de Dorian Sorriaux, le frenchy de la bande, qui a ce petit côté exaspérant : les solos sont souvent construits de la même manière, les riffs sont facilement interchangeables et on a du mal à dégager un véritable relief des compositions (heureusement que Elin sauve la baraque à plusieurs reprises avec sa voix délicieuse, qui fait beaucoup songer à Janis JOPLIN).

Et il y a aussi certains choix stylistiques qui sont dommages. Comme Jeff Kanji l’explique dans la chronique principale, "Devil Man" et "The River" ont été récupérés de l’EP et se trouvent modifiés pour qu’ils collent mieux à l’ambiance générale de l’album. Certes. Mais tronqué de son intro à filer la chair de poule, "Devil Man" perd beaucoup de son intérêt.

Après, ce n’est qu’un avis un peu mitigé sur un album qui n’est pas dénué d’intérêt malgré tout. Il me paraît juste en-deçà des promesses faites sur "Devil Man".

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   JEFF KANJI

 
   DARK BEAGLE

 
   (2 chroniques)



- Zack Anderson (basse)
- Dorian Sorriaux (guitare)
- Elin Larsson (chant)
- Jonas Moses Askerlund (batterie)


1. High Class Woman
2. Ain’t No Change
3. Jupiter
4. Black Smoke
5. River
6. No Hope Left For Me
7. Devil Man
8. Astralplane
9. Gypsy
10. Little Sun



             



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