Le 03 Avril 2006 par DIDIER

Mon premier album de Death que j'ai été acheter à l'autre bout de la ville où je l'avais lorgné à l'occasion d'un intercours de 3 heures.
Pas mon préféré (Human non plus), lui préférant Leprosy et Symbolic moins "cliniques". Mais pour le style choisi, difficile de faire mieux.

Le 03 Avril 2006 par DIDIER

Age of quarrel est différent de Best wishes alors je ne sais pas s'il est possible de comparer. Le premier est franchement hardcore, le second "crossover" (metal meets hardcore). J'ai les deux sur une réédition digipack. Je ne passe pratiquement que Best wishes, préférences métalliques obligent.

Le son est énorme, certains riffs géniaux. Peut-être un poil de finition des morceaux et ce disque obtiendrait 5.

4,5/5

Le 03 Avril 2006 par LEO

Une chose est certaine... c'est pas "Tokyo Tapes" !!! (à tous les niveaux !).
Dès 'Coming Home' on remarque le jeu super rigide de Rarebell et de sa batterie qui sonne également maintenant en 'live' tel un baril de lessive ! Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça reste un peu en travers de la gorge pour qui avait apprécié ce groupe (à une époque certes reculée !). Tous les titres se ressemblent et défilent comme des voitures de course sur un circuit (pas le temps d'en admirer !).
Quoiqu'à ce stade, il vaut mieux peut-être que tout ça se termine le plus vite possible et qu'on en finisse une bonne fois pour toute, vu l'interprétation hyper calculée et sans âme du répertoire (même 'Loving You Sunday Morning' et 'Make It Real' ne sont pas épargnées !). Les musiciens (ou ce qu'il en reste !) sont tous sur pilotage automatique, y compris Klaus Meine qui déclame ses textes sans y mettre la moindre conviction ! C'est proprement hallucinant !!!!... et dans ce cas-là, on comprend mieux ce qui a pu motiver le départ d'Uli Roth 7 ans plus tôt !

Le 03 Avril 2006 par LEO

Sans parler du contenu (plutôt quelconque), c'est surtout le son et la production (typique du milieu des années 80) de ce disque qui m'a toujours fortement déplu ! Aaaarrggghhhh... cette batterie qui sonne comme un baril d'A...l ou de S..p (pas de pub !). Non, décidément je n'arriverai jamais à m'y faire !!!

Le 03 Avril 2006 par LEO

J'ai toujours rapproché cet album de "Lovedrive", peut-être parce qu'il retourne à un son plus heavy... à ceci près que j'ai une nette préférence pour "Blackout" et ce justement pour ses morceaux heavy (paradoxal, non?) ! Par contre, je ne suis pas fan de la ballade 'When The Smoke Is going Down' et je trouve que les mid-tempo tels 'No On Like You', 'You give Me All I Need' et 'Arizona' fonctionnent moins bien que ceux qui se trouvaient sur "Animal Magnetism". Enfin, le trop long 'China White' tourne un peu en rond et fait plutôt pâle figure face aux morceaux 'The Zoo' et 'Animal Magnetism' qui étaient un peu construit sur le même modèle, mais qui étaient plus inspirés !
Un bilan globalement plus satisfaisant personnellement que pour "Lovedrive", mais le hard de Scorpions est devenu bien plus passe-partout également. Que l'on est loin de la période Uli Roth !

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Certes la musique des ritals n'est pas vraiment faite pour le live et, de ce fait, je ne m'attendais pas à trouver ce live aussi sympathique. Mention TB à Fabio Lione qui se révele époustouflant vocalement et fait une interpretation live magistrale.

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Tout à fait d'accord avec la chro !
J'aime beaucoup la première partie du disque, passionante, malgré tous les defauts cités, notamment le fait que ça soit très décousu.
Quand à la seconde partie, il s'agit d'un heavy metal plus brut que d'habitude. "No Fear" et "Speak Of The Dead", ça tabasse ! Le problème étant que la plupart des titres de cette seconde partie sont plutôt banals...
note : 3.5/5 (mais moi j'arrondis à 4 comme je suis un gentil)

Le 03 Avril 2006 par LEO

"Lovedrive" m'ayant grandement déçu, j'aurais pu m'arrêter là et tirer un trait sur Scorpions définitivement. Bienheureusement la curiosité prenant le dessus, lorsque "Animal Magnetism" est paru je me suis rué sur la chose.....et bien m'en pris, car cet album est vraiment mélodique par rapport au précédent!
En fait, je ne trouve aucun morceau en trop sur ce disque et à la vérité, ils me plaisent tous autant! qu'il s'agisse du très poppy 'Make It Real', du plus rentre-dedans 'Don't Make No Promises' 1ère (et unique?) contribution de Jabs, de la superbe ballade de l'album 'Lady Starlight' avec pour la 1ère fois un accompagnement de cuivres et de cordes, ou bien du plus lent mais génial 'The Zoo' sur lequel Matthias Jabs fait des prodiges avec sa Talk-Box.
Oui, pour moi "Animal Magnetism" fait partie de mes albums favoris de Scorpions, même si la critique et le public en a décidé autrement!

Le 03 Avril 2006 par IKKI

Teès bon disque de hard mélodique, bourré de titres accrocheurs, et avec une superbe voix à la clef.
Mais il aurait pu être parfait s'il avait comporté plus de hits en puissance et une ballade n'aurait fait de mal à personne...

Le 03 Avril 2006 par LEO

Bye bye Uli Roth, et bonjour le Scorpions nouveau!
Quel ne fut pas ma déception lorsque j'ai écouté ce disque pour la 1ère fois!, moi qui étais habitué au lyrisme d'Uli l'individualiste! Nous avons affaire ici à un son et à un jeu beaucoup plus compact de la part de Matthias Jabs et Michael Schenker (qui revenu au bercail, assure la guitare solo sur 3 titres). Pourtant 'Loving You Sunday Morning' démarrait l'album sous de très bons auspices! (l'un de mes morceaux favoris de Scorpions), mais la suite m'a plutôt désarçonné, je me dois de le dire! Des titres tels que 'Another Piece Of Meat', 'I Can't Get Enough' ou 'Lovedrive' font preuve d'un monolithisme assez nouveau chez Scorpions, même si l'on avait eu droit à des prémisses sur "Taken By Force" ('Steamrock Fever' & 'He's A Woman - She's A Man'). Personnellement, je trouve la ballade 'Always Somewhere' et l'instrumental 'Coast To Coast' peu inspirés et quelconques. Reste 'Is There Anybody Out There' qui, même si il n'est pas un de mes titres préférés chez Scorpions, a au moins le mérite de proposer un mélange inédit de Reggae (pour la rhythmique) de Hard (pour les guitares) et de Pop (pour les voix), bien que Led Zep ait déjà tenté l'expérience dès '72-'73 avec le morceau 'D'yer Mak'er' sur le LP "Houses Of The Holy". Et enfin la seconde ballade 'Holiday', que je préfère très nettement à 'Always Somewhere' mais sa durée dépassant les 6 minutes aurait pu être raccourcie un chouïa car je trouve qu'elle traîne un peu trop en longueur!
Ce "Lovedrive" m'a toujours laissé un goût amer hormis le 1er titre, et il m'a fallu l'album suivant pour réviser mon jugement mitigé sur Matthias Jabs.

Le 03 Avril 2006 par LEO

Je crois pouvoir être d'accord avec Stef sur 2 points concernant ce "Tokyo Tapes". Effectivement, il aurait été judicieux de rajouter quelques compos du groupe en lieu et place du medley 'Hound Dog/Long Tall Sally' par exemple, qui n'apporte pas grand chose : j'aurais bien vu pour ma part 'Virgin Killer', 'Hell-Cat' et 'I've Got To Be Free' (je crois savoir que les 2 premiers titres furent joués. pour ce qui est du 3ème!...). Sinon, il semble également qu'à la réécoute, certains passages semblent avoir été édités! (notamment sur 'He's A Woman - She's A Man' à 4:34 sur la jonction batterie et le solo d'Uli Roth. ça m'a toujours frappé! et sur 'Top Of The Bill' vers 2:42 juste avant le solo de batterie. c'est flagrant!).
Enfin bon, ne rechignons pas et ne cherchons pas la petite bête non plus! Il est bienheureux que nous ayons pu avoir ce merveilleux cadeau bonus que nous a fait Uli Roth (et le reste du groupe!), qui à l'origine ne devait pas participer à cet album en public puisqu'il avait déjà décidé de rompre avec les autres. Ce n'est que devant tant d'insistance de leur part qu'il opta finalement pour être du voyage (il ne regrettera pas d'en avoir fait partie, bien au contraire!). Finalement, par rapport à la carrière que le groupe a mené par la suite (et qui continue toujours!), Uli n'aura fait qu'un passage éclair chez Scorpions (5 ans et autant d'albums, dont ce double 'live'). Passage éclair, mais au combien marquant pour des milliers de fans éblouis à tout jamais par son talent de guitariste, de compositeur et d'interprète. Merci Mr. Roth!!!

Le 03 Avril 2006 par LEO

Tout à fait du même avis qu'Erwin! Le jeu d'Uli Roth est bien plus précis que celui d'Hendrix, et tout en ayant autant de feeling (jamais de démonstration gratuite chez lui). On peut dire que l'élève a surpassé le maître!!! Je pense qu'Hendrix et Roth partage aussi cette modestie et cette distance par rapport à leur statut de 'guitar hero' (être un grand musicien n'empêche pas de rester humble).
Pour ce qui est de ce 5ème album de Scorpions (4ème et dernier en studio avec Roth), "Taken By Force" est un disque charnière, dans le sens ou l'on peut ressentir quelques divergences sur l'orientation musicale. D'un côté, nous avons Uli roth qui propose comme à l'accoutumée ses morceaux très lyriques (cette fois-ci, il ne chantera qu'un seul de ses titres), et de l'autre la paire Klaus Meine/Rudolf Schenker qui tente une perçée vers des compos beaucoup plus heavy et compactes : 'Steamrock Fever', 'He's A Woman - She's A Man'. cette dernière écrite de la plume de Rarebell le nouveau batteur, et qui mettra le feu au poudre puisque Roth refusera de jouer dessus (il ne fera que le solo, son plus mauvais d'après lui!!!) s'opposant au sexisme supposé des paroles. Oui, cet album sera celui de la rupture entre Roth et Scorpions (pour preuve, le superbe et Hendrixien 'I've Got To Be Free' sur lequel il fait sa déclaration d'indépendance vis à vis des autres membres du groupe et du management). Malgré les dissensions, cela n'empêchera pas de faire de ce disque un Chef d'Oeuvre de plus dans la disco du groupe.

Le 03 Avril 2006 par AKRON

J'ai eu une bonne surprise avec cet album. Largement déçu par Brave New World, après avoir eu des échos assez négatifs sur ce disque... il m'apparaît en fait qu'il est souvent mésestimé. Comme dit Julien, il est juste moyen. Personnellement, je n'attendais même plus du "juste moyen" de la part du groupe. Depuis Seventh Son, les albums de Maiden se résument pour moi à 3 titres au maximum, alors que celui-ci tourne dans son intégralité. Au final, on est à des années-lumière de la grande période de MAIDEN, mais ça reste correct. Un album qu'on peut apprécier de réécouter à l'occasion ; pour le reste, MAIDEN c'est 80-88.

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Autant le premier était encore sympa autant là ça devient vite insuportable.

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Booouuuuhhh jsuis un false, jsuis une tapette, j'aime bien cet album de pop metal pour jeune fille gnagnan.

J'y peux rien, j'ai succombé à leur sens du refrain et de la mélodie accrocheuse... booouuuuuhhhh.

note : 2.5/5

Le 03 Avril 2006 par AKRON

Album excellent d'un groupe qui ne l'est pas moins. Plus de six mois après avoir posé l'oeil sur cette kro pour la première fois, je me suis finalement procuré l'album... Des compos vraiment percutantes, un chanteur à la voix parfaite dans le genre (I Wanna Know, quelle merveille), superbe révélation hard rock comme on aimerait en avoir plus souvent. Ca n'est pas révolutionnaire non plus, mais qu'est-ce que c'est bon !

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Il y a un truc qui fait que la musique de Vanden Plas ne me passionne pas : la voix du chanteur trop lisse. C'est un peu pareil pour la musique. Hansaplats c'est propre, lisse et sans aspérité et c'est bien là le problème.

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Trop de morceaux, trop de styles différents, ça part trop dans tous les sens si bien que ça en perd beaucoup de sa cohérence. Dommage.

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Finalement le père Turilli a sorti un meilleur album en 99 que Rhapsody en 2000. Le dernier morceau est dantesque !
Par contre, je ne vois pas trop l'intérêt de faire son truc en solo si c'est pour faire du Rhapsody sans Rhapso.
note : 3.5/5

Le 03 Avril 2006 par MONSTER

Aaaahhhh les Allemands et leurs binious, c’est une longue histoire. Il existe en Allemagne une scène folk metal qui y récolte un succès conséquent et des critiques élogieuses dans la presse musicale locale. Toutes ces folkeries métallisées sont loin de susciter le même engouement hors des pays germaniques, et en particulier dans nos territoires francophones.

Si In Extremo, le numéro 1 de cette scène, porte à merveille la jupette, Subway To Sally se fringue néo-médiévale de pacotille. Ces gens là, considérés, d’une certaine façon, comme le numéro 2 sur la scène folk metal teutonne, était là bien avant leurs compatriotes d’In Extremo. Leur style est moins brut et leurs albums sont aussi moins bons.

Nord Nord Ost, huitième (mazette !) album studio de Subway To Sally, est parfaitement calibré pour le marché germanique. Au programme : la finesse de la langue allemande avec un chant fort agréable (moins rude que celui d’In Extremo), des riffs rammsteiniens et quelques turlututu d’instruments traditionnels et anciens et le tour est joué.

Alors certes, tout cela pue la facilité et n’a vraiment rien d’original. Mais voilà, on a ici des titres qui font figure de hits, avec toujours la mélodie de biniou, de flûte, de cornemuse, de clavier, directement accrocheuse. Et le refrain qui va bien avec, qu’on chante à tue-tête même si on ne connaît rien à l’allemand (« Feurland », « Sieben »). On a même droit à la douce ritournelle de troubadour en plein milieu du disque («Lacrimae ‘74 ») et la zolie ballade qui fait chialer (« Seemanslied »).

Bref le genre de truc fait pour faire un carton de l’autre côté du Rhin : un genre de version folk de Rammstein en quelque sorte ; bien mieux que le dernier album de ces derniers d’ailleurs (pas difficile). Bien sûr, on se lassera bien vite de ce disque, mais on aura passé un bon moment quand même. Si vous décidez de faire une fête médiévale new age avec des armures en carton, des épées en téflon et des boucliers en aluminium, vous tenez là votre bande-son parfaite.