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BURZUM
HVIS LYSET TAR OSS


Le 21 Décembre 2023 par JOE IS BLACK


Rien que pour le premier morceau, cet album est un Ovni musical !

Jamais plus un morceau ne me hantera comme celui-ci. C'est tellement malsain et beau à la fois.
Définitivement une œuvre à part.





BURZUM
FILOSOFEM


Le 21 Décembre 2023 par JOE IS BLACK


Cet album est exceptionnel ! Inestimable, inégalable.
Un concentré de Black malsain et intelligent !
Le meilleur album de Varg !





BURZUM
BELUS


Le 21 Décembre 2023 par JOE IS BLACK


Mais qu'il est bon cet album !!!

Cette guitare inimitable, cette voix désincarnée, cette ambiance mi-forestière, mi-guerrière, un pur bonheur pour les esgourdes.

Comme quoi le bonhomme avait encore quelque chose à dire après ce que l'on sait. Bien évidemment je ne cautionne pas les actes du gars en question, mais musicalement ce mec me fait bander...

Et puis "Glemselens Elv", rien que ce morceau vaut l'écoute de cet album.






WOLVES IN THE THRONE ROOM
CELESTITE


Le 21 Décembre 2023 par POSSOPO

@FINISHERFRANKY :
je vois les noms de KLAUS SCHULZE et TANGERINE DREAM apparaître et je viens poser mon minuscule grain de sel en namedroppant BURZUM et MAYHEM. le premier (Varg Vikernes) est fan assumé de Kraut, le deuxième (Euronymous) correspondait carrément avec Conrad SCHNITZLER qui a pondu une pièce pour le premier album du groupe. Le goût de certains Metalleux pour les musiques électroniques froides et répétitives n'est pas nouveau.





WHITESNAKE
1987


Le 20 Décembre 2023 par PILGRIMWEN

Un sans faute de la part du beau David et de ses acolytes. Toute mon adolescence concentrée dans ce fabuleux disque. Comme une groupie, je mouille la culotte lorsque j'écoute "Crying In The Rain". Quelle sensualité se dégage de Coverdale ! Je connais un bonheur, celui d'avoir baigné dans le Hard Rock durant les années lycée. Et clairement WHITESNAKE y contribua grandement. Y replonger : quel plaisir ! Quelle belle bouffée de nostalgie !





KK'S PRIEST
THE SINNER RIDES AGAIN


Le 20 Décembre 2023 par LINKY439


Comme Jeff, je ne partais pas confiant à l'écoute de ce nouvel album de KK'S PRIEST. J'avais mis un (assez sévère) 1/5 au premier tant la déconvenue était grande, et des réécoutes préalables à la sortie de ce deuxième opus n'ont pas changé drastiquement mon opinion sur le premier rejeton de KK. De plus, les premiers singles de ce "The Sinner Rides Again" me faisaient craindre une redite...

Et pourtant !

Premier constat, la production est plus pêchue que sur "Sermons Of The Sinner", et colle parfaitement au côté plus Power Metal de ce groupe qui marche finalement peut-être plus dans les pas d'un des rejetons du PRIEST (au hasard, PRIMAL FEAR) que dans ceux du patriarche du Heavy Metal.
Deuxième constat, l'inspiration est plus présente sur ce disque ! La première moitié de l'album, si elle ne révolutionne rien, est globalement très réussie (avec les excellents "Sons Of The Sentinel" et "Strike Of The Viper" en ouverture, ce dernier étant le premier morceau du groupe où je me suis dit que j'en aurai bien repris pour une ou deux minutes !)

En complément, c'est tout le groupe qui tire aussi le disque vers le haut, que ce soit avec des solos plus inspirés, des refrains très bien construits, ou même avec un Ripper qui en fait moins des caisses (même si on n'échappe pas aux multiplications des pistes vocales de temps à autre). Ainsi, même un titre un peu plus classique comme "Reap The Whirlwind" parvient à tirer son épingle du jeu !
Sur la deuxième moitié de l'album, le groupe trébuche un peu par moments, avec des passages encore un peu grossiers et un peu lourdauds, et le groupe ne sait parfois pas vraiment comment terminer ses morceaux ("One More Shot At Glory", "Pledge Your Souls", "Wash Away Your Sins"). Dommage aussi que les passages calmes soient si peu présents en dehors de deux-trois esquisses en fin de disque, car j'en prendrais volontiers plus !

Un petit mot, enfin, sur les "clins d'oeil" au passé de KK. Si, comme le note Jeff dans sa chronique, on n'échappe pas à leur présence dans le titres de certaines chansons, ils se font beaucoup plus discrets dans la composition (même si "Reap The Whirlwind" rappelle "Freewheel Burning" et qu'on retrouve l'introduction de "Sinner" dans la pièce-titre), ce qui est agréable. Le groupe a aussi su élaguer un peu ses compos, ne proposant finalement qu'un titre long par rapport au premier méfait, permettant ainsi de réduire de 10 minutes la durée totale de l'album. Un choix inspiré...

Résultat ? Un bon 3.5/5, que j'arrondi à 4 car c'est en réalité un album qui tourne souvent de mon côté depuis sa sortie, et que c'est une vraie surprise pour ma part. Du bon Heavy, avec tout le métier de ses artisans, et à recommander à tous les fans de PRIMAL FEAR.
A croire que les prêtres, qu'ils soient du côté de JUDAS ou de KK, ont encore de la réserve. Comme quoi...





TARDIGRADA
EMOTIONALE ÖDNIS


Le 20 Décembre 2023 par JO IS BLACK


Une bien belle galette !

Seule la voix pourrait en rebuter plus d'un ! Une voix qui n'est pas sans rappeler celle de SILENCER.

En tout cas, ça tombe à pic pour les fêtes ! Un bon compromis aux chants de Noël.





BLACK SABBATH
MASTER OF REALITY


Le 20 Décembre 2023 par BLUEMASK


Pour moi, le meilleur album du SABBATH, et de façon assez claire, parfait équilibre entre les grands titres des deux premiers disques et une lourdeur accentuée. Le IV manquera un peu de titres iconiques, et la suite, avec ses expérimentations, a beaucoup moins bien vieilli.

Il y a bien sûr deux titres mythiques, "Sweet Leaf" et "Children Of The Grave", matrices respectivement du Stoner et de la NWOBHM, mais le reste tient son rang. Chapeau bas à la douce "Solitude" et même "Orchid", court instrumental LeonardCOHENisant, qui montrent que sous les poils, bat une sensibilité.





HARM'S WAY
COMMON SUFFERING


Le 19 Décembre 2023 par JASPER LEE POP

La verticalité de l'urbanisme à Chicago doit en réalité très peu à Frank Lloyd Wright qui s'est principalement illustré dans ses banlieues (Oak Park, Rogers Park...) dans le cadre de l'habitat résidentiel tout en horizontalité (le style Prairie House). Ses quelques réalisations dans le downtown ne sont pas particulièrement très hautes. C'est l'École de Chicago (Burnham, Le Baron Jenney, Sullivan pour qui Wright travailla un temps et à qui il piqua des clients en douce) qui initia la course en hauteur dans les cieux de Chicago.


Par Nightfall In Metal Earth

@JASPER LEE POP

Merci pour la correction!

ISAACRUDER





GHOST
PHANTOMIME


Le 18 Décembre 2023 par LUDOVICO


Je ne suis pas spécialement amateur des reprises. Pour quelles soient réussies, les interprètes doivent posséder une patte sonore, un son immédiatement identifiable qui leur permettent de se réapproprier une partie de l'essence de l'original.

Plusieurs exemples concluants par le passé : “War Pigs“ par FAITH NO MORE. “No Quarter“ par TOOL. Les albums de reprises par RATM ou METALLICA. Des groupes à la personnalité affirmées. Les formations de seconde zone ne sont, la plupart du temps pas convaincantes dans cet exercice, surtout pour ceux qui inclut une reprise dans leurs albums originaux : quand ladite reprise s’avère être le meilleur titre c’est désastreux. C’est un véritable piège qui, potentiellement, peut dévaloriser le reste de l’album.

En dehors du Metal, je suis d’une inculture musicale crasse. Je me suis procuré cet EP uniquement pour la reprise d’IRON MAIDEN. Le reste, je m’en fous. “We Don’t Need Another Hero“, celle-ci me disait bien quelque chose… mais les autres : nada. “See No Evile“ est insupportable, à tel point que je n’ai pas cherché à entendre l’originale sur Internet. Celle de GENESIS est pas mal mais n’étant pas amateur de ce groupe je n’irais pas plus loin dans l’analyse. Les autres titres sont corrects mais rien, sur cet EP, ne soutient la comparaison par rapport à la pièce maîtresse qu’est “Phantom Of The Opera“.

J’ai lu sur Internet que Paul Di’Anno détestait cette reprise : OK, Paul : rendors-toi.

Après plusieurs écoutes et un certain temps d’adaptation, le constat est qu’elle est quasiment parfaite ; peut-être la production est-elle un peu trop onctueuse à mon goût et à certains moments l’interprétation possède un aspect un peut trop mécanique mais elle sied à merveille à la personnalité de GHOST. C’est certainement le morceau le plus technique que GHOST ait jamais joué… Je serais curieux de voir ce que cela donnerait en Live.

3 étoiles dédiées à la reprise d’IRON MAIDEN. Pour le reste, ne connaissant pas les titres originaux (et n’ayant pas envie de les connaître) les arguments que je pourrais avancer ne pourraient qu’être hasardeux.





TANKARD
CHEMICAL INVASION


Le 18 Décembre 2023 par TONIO


Album fun mais très solide musicalement, ça poutre méchamment. Le groupe ne se prend pas au sérieux mais balance néanmoins des compos hyper bien foutues. C'est hyper entraînant, ça donne envie de gueuler le poing levé avec le chanteur, c'est carrément bon. Ça vole pas très haut mais c'est bon, et c'est déjà pas mal ! Le groupe fera mieux par la suite...





MOTÖRHEAD
UNDER CöVER


Le 18 Décembre 2023 par BLUEMASK


L'idée est sympa sur le fond, même si ça sent l'opportunisme à plein nez. Malheureusement, le résultat l'est bien moins.
Tout d'abord, parce que la sélection porte exclusivement sur le line-up final, le line-up pataud et lourdingue donc. Peut être qu'à ses débuts le groupe ne faisait pas de reprises, je ne sais pas, mais plus probablement pour des raisons de droits, de catalogue, et on revient à l'opportunisme du projet, qui ne serait en soi pas gênant si la musique suivait.

Musicalement, avec ce line-up, on se retrouve donc dans le pataud. Ce n'est pas honteux, ça s'écoute même bien, mais finalement comme on écoute le groupe de son voisin Robert quand il fait la fête de la musique à la pizzera 'Il Vesuvio'. Le groupe de Robert joue appliqué, scolaire, ne prend pas de risque dans le traitement des reprises, il ne faut pas que les clients s'étouffent avec leur calzone. Il y a même des moments un peu gênants, comme quand le groupe de Robert fait des 'ouh ouh' sur "Sympathy For The Devil" et arrive à faire une grosse baudruche plein d'eau d'un titre suant le stupre et la sensualité, même si après il se rattrape avec un "Rockaway Beach" qui lui va mieux au teint.

Bref, MOTÖRHEAD a de la personnalité, normalement, plus que le groupe de Robert. Par contre, les pizzas d''Il Vesuvio' sont toujours aussi bonnes, elles !





WOLVES IN THE THRONE ROOM
CELESTITE


Le 18 Décembre 2023 par FINISHERFRANKY


Quelle surprise de trouver les noms de Klaus SCHULZE, TANGERINE DREAM et "Drone" (music) dans une chronique de NIME. J’ai toujours été amateur de ces créations, sons et ambiances de l’école de Berlin (en parallèle de l’école de Düsseldorf, avec KRAFTWERK qui a plutôt engendré la techno) ; mais autour des années 1980, où le séparatisme musical était la règle, apprécier autan MOTÖRHEAD que Klaus SCHULZE ne se criait pas sur les toits.

Puis les courants de fusion ont fait leur œuvre et plusieurs groupes ont marié des genres à priori frères ennemis. Plusieurs ont injecté des nappes synthétiques plus ou moins fortement dans leur Metal ou leur Prog-metal, je ne les connais pas tous mais, entre O.S.I. et les polonais de RIVERSIDE, je retiens surtout ces derniers qui ont consacré le second disque de leur album "Love, Fear And The Time Machine", ainsi que l’album "Eye Of The Soundscape", à ce genre. NIME m’a fait découvrir plusieurs formations estampillées Ambient ou Dark Ambient mais ici WITTR, que je découvre, offre avec ses très longues nappes sans rythmique un album marqué du sceau de la musique électronique planante des années 1970.

La modernité s’y glisse, un peu, à la fin de la 1ère partie de "Celestine Mirror" où je sens même des accents d’un certain Nils Frahm, créateur passionnant d’un mix classique et Ambient, que l'on retrouve aussi je trouve chez Klaus SCHULZE en fin de carrière sur son album posthume "Deus Arrakis". Une très intéressante découverte donc mais je me contenterai de celle-là : le reste de la discographie de WITTR sur laquelle j’ai jeté une oreille à cette occasion m’est quasi insupportable.

Je resterai prudent avec une note de 3 étoiles, bien que tenté par 4, ce genre demandant de laisser décanter plusieurs écoutes pour juger pleinement.





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 17 Décembre 2023 par FIGHTITBACK


@Bluemask, là, pas d'accord du tout ! Les SCORPS sont (et l'étaient déjà depuis '79 et "Lovedrive") à leur apogée ! La suite (et avant pour certains puristes), une autre histoire...
P.S. Cinq ans ('79 -'84) où TOUT (ou presque) avait défini la pierre centrale des arachnides !
P.S. seule "The Same Thrill" me gonfle rattrapée par l'inédit de la version remaster 2015 "Living At Night" ! Allez, 4,5/5 !





TRUST
REPRESSION


Le 17 Décembre 2023 par BLUEMASK


Le genre de disque trop entendu depuis trop longtemps. Mais invariablement, ça fonctionne. Avec le temps, le disque se pare d’un charme desuet, reflet d’une époque revolue que personnellement, j’ai connu en faisant encore pipi au lit… le grand bandistisme, les voyous des cités HLM des années 70, les ouvriers contre les bourgeois, les anar’ contre une droite dans la napthaline, l’espoir de gauche pas encore douché etc…
Musicalement c’est toujours la grande classe, le disque est pétri de tubes, les textes sont ciselés, mais désormais s’ajoute le même genre d’affection que l’on peut avoir pour les films de l’époque avec Belmondo ou Delon.





CRADLE OF FILTH
EXISTENCE IS FUTILE


Le 17 Décembre 2023 par KA AH


Découvert avec "Dusk...", adulé avec "Cruelty" et abandonné avec "Midian" dont la production ne trouvait que peu d'échos chez moi.
Le hasard m’a offert le petit dernier "Existence Is Futile" et bien, le hasard fait effectivement bien les choses. Cet album est très bon. J’y reviens sans cesse pour ces ambiances et nappes de claviers qui viennent tisser la trame de fond des cavalcades Heavy Thrash bien senties.
Je crois que le groupe a plus de 30 ans de carrière maintenant mais quelle vigueur! Les changements de line up n’y sont pas étrangers. La paire de gratteux envoie des riffs qui font mouche (le premier pont de "Crawling King Chaos" !), riffs parfaitement mis en valeur par une production organique qui permet de rendre hommage aux instruments. Le chant de Filth est toujours aussi impressionnant. Je suis fasciné par sa diction et la modularité des saccades qu’il met dans ses mots. Je me prends à susurrer les "Apophis", "Dark Office", "Us-Dark-Invincible" !

Du grand art!





SLAYER
SHOW NO MERCY


Le 16 Décembre 2023 par ZEPEKENIO


Retour à la préhistoire.
Ce premier gosse de ces redoutables thrashers vient au monde la même année que le cultissime "Kill'em all" de vous savez qui.
Force est de constater qu'il n'a pas la même qualité.
Un détail, la pochette qui était censée faire peur à l'époque, est risible. Ce diablotin armé d'un sabre fait surtout sourire aujourd'hui. Ce n'est pas le plus important.
Pendant satanique des Four Horsemen, ce dépucelage distille néanmoins de très plaisants moments : "Die By The Swords ", la doublette "Fight Till Death/Face The Slayer" moins connue envoie du pavé grave tandis que "Black Magic" est encore aujourd'hui un classique absolu des californiens.
40 après, une certaine indulgence s'impose mais la production est totalement obsolète et le "chant" de Tom Araya en mode freestyle pas possible. Dans les aigus, ça pique.
Il n'empêche, une première pierre certes naïve et immature pour une fondation qui allait s'avérer fondatrice pour un groupe monstrueux dans le genre.
Les petits frères "Hell Awaits" et "Reign In Blood" quelques années plus tard vont tout péter et s'imposer comme des boss en la matière.
Premier album attachant mais perfectible.





Corey TAYLOR
CMF2


Le 15 Décembre 2023 par FRED


Mis à part la couverture dont on ne peut que partager l'avis qu'elle est absolument atroce, pas franchement d'accord avec cette chronique. Autant on peut concevoir que le personnage a un égo surdimensionné et qu'il est clivant, autant son talent pour pondre des mélodies immédiates (peut-être parfois trop ?) est quand même indéniable. Certes ça part un peu dans tous les sens, certes ce n'est pas l'album de l'année, mais ça s'écoute plutôt avec plaisir de temps à autres et certains morceaux sont vraiment bons. Et pour l'avoir vu sur scène récemment au Trianon c'était franchement excellent. Le genre de disque qu'on ressort de temps à autres et qui met la patate.





SLAYER
CHRIST ILLUSION


Le 14 Décembre 2023 par BLUEMASK


Sur le papier, ça sentait le réchauffé. Une pochette jeromeboschienne qui rappelle le triumvirat doré et le retour du Lombardo prodige. Malheureusement, ça se confirme à l’écoute. Pourtant, "Flesh Storm" débute le disque en fanfare, au niveau du meilleur du groupe. Mais la suite se détériore. Ça reste bon, faut pas non plus chier dans les bottes de la mère Noel, mais que ce soit sur les speederies que sur les mid tempo, on ne retrouve pas cette capacité à allier violence pure et riffs et refrains catchy sans jamais être mélodiques, ou ces breaks définitifs qui démontent les nuques… Dommage, d’autant plus que le groupe conserve cette production parfaite qui allie brutalité sans lourdeur, ce son décharné et sec qui fait le sel du groupe.





SLAYER
DECADE OF AGGRESSION


Le 14 Décembre 2023 par FINISHERFRANKY


J’apprécie ce Live pour le témoignage qu'il apporte, le témoignage de ce que donne SLAYER en live quand, à l'écoute des mêmes titres en studio, on peut se demander si cela peut être rejoué en live, si les solos souvent foutraques ne vont pas tourner au ridicule, si les riffs en mode speed ne vont pas être saccagés... et on se dit merde, ils le font et ça rigole pas. C'est globalement violent et malsain et on en sort à bout de souffle. Parfait. Mais je ne peux pas mettre ce Live au panthéon des Lives ; d'abord parce qu’il apparait comme une compilations de titres en live, avec des blancs entre certains titres qui me gênent. Il me manque cette unité de temps qui fait la base des grands Lives. Étrange alors que l’enregistrement a bien eu lieu au même endroit pour le disque 1. Ensuite il me manque le contact au public : les clameurs qu'on entend pourraient avoir été rapportées, comme si le groupe avait joué live en studio avant qu'on plaque une bande-son du public. En prolongement, même s’il est vrai qu’Araya n'a jamais lancé plus de cinq mots de sympathie au public pour appuyer son énigmatique sourire, je trouve que la relation à la salle manque ici. Pour m’expliquer, je dirais qu’on est loin de l'ambiance chaudron qu'on a sur les grands Lives (je pense tout de suite, mais il y en a d'autres, au "No Sleep 'Til Hammersmith" de MOTÖRHEAD)







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