Ecoutes je suis pas spécialiste, mais j'en écoute beaucoup, mon amour pour les Suédois est pas dû à celui pour le Prog. Ça peut être du gros metôle qui tape fort et être complexe expérimental et conceptuel.

Mouais...
ça reste quand mème du gros Metal avec des riffs de mastodontes, on est loin de la finesse du Rock Prog'.

Faudrait demander à un vrai spécialiste du genre et pas sûr qu'il apprécie MESHUGGAH.

J'ai pas la réponse ultime à cette bonne question. Mais j'apporte dix ans après ma pierre :
Le Prog c'est aussi repousser les limites de la créativité, innover, se remettre en question dans sa recherche d'expérimentation. Donc dans un sens oui. Mais je suis d'accord la recherche d'émotion avec "Nursery Cryme" en comparaison avec ce disque et les autres, et bien on s'en éloigne. Donc d'un côté oui, de l'autre non. Mais soyons honnêtes, les légendes du Rock et Metal Prog ne remplissent pas ces critères à chaque fois. DREAM THEATER dans un sens procure aussi peu d'émotions que ça. Mais le génie et la richesse de leur musique est palpable.
Remplir un de ces critères bien précis c'est quelque part être progressif.

Oula Darkpoet, tu te fourvoies, mis à part The Nice qui amène une forte influence classique avec Keith Emerson, le Rock Progressif est plus à rapprocher du Jazz. Tu cites KING CRIMSON, jette seulement un regard aux plus connus ELEPHANT TALK et 21st SCHIZOID MAN et tu verras 100 fois plus de jazz. Et rien que du coté de la canterbury scene, MATCHING MOLE et SOFT MACHINE sont limite free Jazz, et puis le reste de cette scène aussi. Enfin y a qu'a regarder OPETH pour les non initiés, l'influence Jazz est archi présente.
Bref, tous ça pour dire que MESHUGGAH est technique, mais à surtout sa place dans le Metal dit "Progressif".

Je suis d'accord avec toi pour tes premières parties et troisièmes parties de définition, Darkpoet. En revanche, des groupes comme Opeth, Enslaved, Emperor, Orphaned Land ... je trouve qu'ils sont indéniablement progressifs. Metal mais progressifs.

Pour Meshuggah, c'est encore plus difficile à définir. Certes on sort du schéma classique, mais il y a un côté tellement barré, tellement atypique (la barbe sans doute) ... que plus que prog on s'approche presque de l'avant gardiste, par une redéfinition totale des bases. A la croisée d'un genre bien à part (y en a qui disent le math-core) et le thrash bien technique.

Quand un titre dure plus de 5 mn et sort du schéma classique couplet/refrain, on le qualifie de "progressif"... Il ne faut pas charrier ! Le terme rock progressif est à associer à Genesis période Gab, Yes, King Crimson, Floyd et plus tard, Marillion, Pendragon, Arena. Le progressif c'est aussi le son, l'influence de la musique baroque/classique qui invite au rêve, à l'onirisme, la mélancolie. Alors Meshuggah prog ? Je dirais non. Si on va par là tout est est progressif ! (non pas par là, par là comme disait Coluche) Metallica avec "And justice for all" est "thrash prog", Emperor et "Anthem to... du "True Black Prog"? Calogero, du "French pop Prog" Aie ! Mais je m'écarte du sujet ; Meshuggah, c'est surtout du thrash technique joué par des musiciens doués, capables de reprendre justement un titre de pink Floyd ou de King Crimson.

Houlà, très bonne question.

J'aurais tendance à dire que oui, car il y'a une réelle recherche au niveau de la composition, avec une certaine montée en puissance, rien n'est laissé au hasard.

Mais c'est quand même foutrement violent, et je suis pas un mordu de prog, alors je sais pas si ma réponse va beaucoup t'avancer. D'ailleurs, je considère certains morceaux de black comme prog, mais bon, je pense que ma définition du prog doit être erronée.

Oui, dans le sens où progressif se traduit par l'inverse de "couplet/refrain/couplet/refrain ...".
Maintenant ce mot est tellement galvaudé ...

A +

Powersylv

Selon moi ils se sont retrouvés le cul entre 2 chaises, trop heavy pour certains et trop pop pour les autres, difficile de faire sa place au soleil dans ces circonstances, probablement qu'ils étaient mal dirigé par leur gérant et leur label. Sinon, le manque de look de SAXON est flagrant en cette période où MTV est roi et maître !!!

le look a beaucoup joué pas franchement des mannequins. À l'époque c'était "Sex Drug, Alcool et Rock'N'Roll" et eux buvaient du thé !! Véridique.

Problèmes de management d'abord. Le changement de Carrere vers EMI, et sa division Parlophone, qui ne connaissait rien du MEtal de l'époque. Mauvaise promotion, vidéoclips minables, production trop propre de l'album, voilà un ensemble de facteurs qui ont contribué à l'échec du succès de Saxon en Amérique du Nord. Pourtant il y avait du très bon sur cet album. Mais aussi du moins bon... SAXON aurait dû poursuivre sur la lancée de l'album "Power And The Glory", qui a connu un bon succès aux USA et au Canada, au lieu de s'en aller un peu partout d'abord avec "Crusader" puis avec "Rock The Nations" et surtout "Destiny", le pire album de SAXON, avec le premier album éponyme paru en 1979, quoique entre les deux je préfère encore le premier pour son aspect historique précurseur d'un des plus grands groupes de Heavy Metal de tous les temps. Pour le reste, c'est l'histoire d'un autre excellent groupe anglais qui, comme d'autres de la même époque, n'a pas su réussir à percer le marché américain. Dommage car leurs fans aux USA et au Canada ont dû se résoudre à les regarder de loin, leurs passages en sol nord-américain étant plutôt rares.. Au final, j'ajouterais que des problèmes internes dans le groupe, notamment entre leur chanteur et leur bassiste, ont probablement joué dans la balance. Mais aujourd'hui, c'est chose du passé. Mais il est vrai que l'innocence n'est pas une excuse...

Un mauvais management et une maison de disque qui les a mal aiguillés et poussés a conquérir le marché américain à tout prix ! Une erreur reconnue par le groupe par la suite.
Heureusement le groupe est revenue en forme par la suite : "Solid Ball Of Rock"...

Mauvais clips du groupe à l'époque, manque de charisme des musiciens tandis que la voix de Biff qui est un peu spéciale et n'est pas facilement appréciable par tous! Personnellement, c'est ce 3eme point qui a fait que je n'ai jamais réussi à accrocher à leur musique!

Je suis super déçu d'apprendre tout ça, car à part leur virage FM moisi, j'ai toujours vu SAXON comme un symbole d'intégrité. Des musiciens cheums, à part Byford au charisme évident, mais entier et intègre, jouant du Rock'N'Roll, du vrai.

Après, je connais peux le groupe. Je n'ai que les 33t de "Strong Arm Of The Law", "Power & The Glory" et "Denim And Leather".

L'échec de SAXON à séduire les États-Unis au milieu des années 80 était totalement prévisible. Tout est résumé dans le clip de "Back On The Streets" : pseudo-scénario minable, musiciens sexy comme des Handy-bags 50 litres voyageant dans la remorque d'un Scania (et non d'un Kenworth ou d'un Vanderbilt, ou mieux... d'un tour-bus high tech), gonzesses dégotées à la caisse de la première supérette venue, paroles ne parlant pas de déclarations d'amour enflammées ou de peines de cœur... La comparaison avec les clips de RATT, de DOKKEN ou de MÖTLEY CRÜE est sans appel : à côté de ces combos, les mecs de SAXON passaient pour des caricatures de bouseux de province débarquant à Paris... D'autant que "Shout At The Devil", "Under Lock And Key" et "Invasions Of The Privacy" étaient d'un autre calibre. Malgré tout, c'est un peu dommage que SAXON se soit complètement vautré commercialement, car à l'époque, ils ont sorti des titres très sympas qui auraient mérité un meilleur sort ("Broken Heroes", "Call Of The Wild", "Rock'N'Roll Gypsy", "SOS" sur l'album "Destiny").

Même si ce n'et certainement pas la seule, ni la principale raison de leur non succès aux USA, leur visuel de merde était très handicapant. Le clip de "Back On The Streets" est franchement pitoyable et faisait déjà pitié à l'époque. Même les inévitables bimbos y sont moches, et alors le look du groupe...

Après ses 2 premiers albums Hard Rock, ses 3 suivants Heavy Metal et celui-ci FM, les fans désorientés ont lâché le groupe.
Suite au magnifique "Crusader" sortie en 1984, le changement fut radical avec cet album très axé FM d'où l’échec en Europe (peu crédible) et aux USA (peu connu).

MAIDEN et LEPPARD sont des groupes très impliqués et bosseurs dans leur credo de réussir et de leur sérieux.
SAXON avec ses déboires et ses frasques n'a pas su garder
l'intégrité de ses musiciens (trop la grosse tête).
Son talent et ses productions sont aussi assez limités.

Faut-il rappeler qu'en cette année 1985, conquérir les USA avec du Hard FM était osé car le Glam Rock (MÖTLEY CRÜE, W.A.S.P., RATT...) était déjà bien installé là-bas et qu'une vague brutale de Metal (SLAYER, ANTHRAX, EXODUS...) n'attendait que de venir corriger le vieux continent en digne conquérant ?

Bonne question.

Plusieurs éléments à prendre en compte.

Déjà, chose primordiale, il y a le management : sa force d'impact, son professionnalisme, couplé à la puissance ou non de la maison de disques est un facteur essentiel. Plein de groupes de la NWOBHM se sont plantés à cause de managements trop amateurs. Je ne sais pas trop ce qu'il en est de SAXON, mais sans tomber dans l'amateurisme, il ne devait pas y avoir quelqu'un de la trempe de Rod Smallwood.

Un petit mot sur MAIDEN d'ailleurs. Dans la liste que tu énumères, c'est le seul à classer "à part". Car MAIDEN est le seul qui n'a pas "commercialisé" sa musique pour percer aux USA ("Wasted Years" et "Can I Play With Madness" sont sans doute les seules tentatives un peu radio du groupe, le reste est beaucoup trop alambiqué). MAIDEN doit son succès outre-atlantique uniquement grâce à sa qualité musicale hors-normes et son univers et décorum unique et bien étudiés (plus une puissante maison de disque et un management efficace, donc).

Revenons à SAXON. Je crois qu'il ne faut pas négliger non plus le fait que malgré tout, la musique de SAXON n'avait peut-être pas tout à fait le même potentiel artistique que ses concurrents. "Crusader" et "Innocence..." sont de bons disques, mais à mon avis pas de la trempe d'un "Pyromania", malgré des fulgurances évidentes. "Crusader" étant même un disque plutôt déséquilibré. Et ils se sont vite grillé avec le franchement moyen "Rock The Nations".

Enfin, soyons clair, même si Biff Byford à une voix unique très reconnaissable, elle n'est pas vraiment "sexy", c'est certes con mais c'est un facteur extrêmement important pour percer aux USA, surtout à cette époque. Dans le même ordre idée, malgré quelques efforts faits au niveau du look, les gars de SAXON n'étaient vraiment pas des sex-symboles, et ouais... Alors qu'un WHITESNAKE a presque tout misé là-dessus, et ça a fonctionné.

Tout cela cumulé et on déjà quelques idées du manque de réussite de SAXON outre-Atlantique. Le groupe y a quand même fait quelques tournées intéressantes il me semble.

SAXON a même poussé le bouchon très très loin et même beaucoup trop loin en reprenant l'abominable "Ride Like The Wind" de Christopher CROSS en 1988 et en sombrant dans la soupe FM la plus lyophilisée qui soit.
Je crois que ce que qui différencie IRON MAIDEN et JUDAS PRIEST de SAXON, c'est qu'eux sont restés eux-mêmes, avec leurs convictions. D'ailleurs je pense qu'on peut dire la même chose de DEF LEPPARD, groupe qui a toujours cherché à mettre en avant les mélodies, les arrangements de guitares léchés, le son "Pop" mainstream, parce que c'est ce qui lui correspond le mieux qu'on aime ou pas sa production artistique.
Pour WHITESNAKE, cela n'a réellement fonctionné que le temps d'un album ("1987"), son successeur pourtant (un peu) plus orienté Heavy Rock FM US est assez putassier et lourdaud, au final le groupe y perd son identité pour aboutir à un échec commercial mérité ô combien, preuve que les amateurs ne sont pas des bovin(e)s qu'on peut traire à volonté.
Les raisons du succès commercial sont le plus souvent (et fort heureusement) insaisissables, sinon il suffirait d'appliquer une recette et le tour serait joué, en revanche concernant SAXON je pense qu'il avait tout à perdre et surtout rien à gagner en ne respectant pas son identité profonde et puis c'est peut-être facile à dire mais "fuck" si les Ricains n'aiment pas, ils reste plein de gens ailleurs.

RAMON (t.o.a.o)

Ouais les chansons sont dans le top côté répertoire, sur le concert de Newcastle. Dommage qu'ils aient pris juste les dix ou onze titres pour "No Sleep 'Til Hammersmith", et laissé les autres aux oubliettes, ils valent la peine.

Pour un que j'ai entendu chez un pote, une version de "Overkill" on entend, soit 1 ; une tête d'ampli faire "pouf" et la basse monstrueuse de Lemmy après sonne bien plus faible, ahah.

Dirty. Crazy. Loud. Motörhead.

Question très difficile, car impossible de n'en choisir que trois :
QUEENSRΫCHE : "Operation: Mindcrime"
VANDEN PLAS : "The God Thing"
SYMPHONY X : "V"

Je ne joue pas le jeu, et j'ajoute ce qui serai dans mon top 10 !!
ADAGIO : "Sanctus Ignis"
DREAM THEATER : "Images & Words"
ROYAL HUNT : "Fear"
PAGAN'S MIND : "Celestial Entrance"
Julien DAMOTTE : "Trapped"
MYRATH : "Desert Call"
CIRCUS MAXIMUS : "Isolate"

Très dur comme choix en effet, mais voici :
"The Little Boy's Heavy Mental Shadow Opera About the Inhabitants Of His Diary" d'ABYDOS, "March Of Progress" de THRESHOLD et "Land Of The Freaks" de FREAK KITCHEN.

"La Masquerade Infernale", "Written In Waters", "Omnio".

Pour GBH, ok, mais c'est comme VENOM : il y a un côté Rock'N'Roll.
Alors que cet album ressemble plus au Thrash naissant de l'autre côté de l'Atlantique.
Pour le "Show No Mercy" c'est évident.

Quant à remballer un lien avec le "Kill'Em All" de cette façon, j'ai trouvé ça un peu léger (Même si je sais bien que les deux artistes incarnent des trajectoires inverses et qu'il est de bon ton aujourd'hui pour les "True" de taper sur METALLICA...), oui bien sûr les chansons de ce Bathory font trois minutes de moyenne, donc rien à voir avec le côté "chansons à tiroirs" qu'a pu développer l'autre, et que les thématiques ne se regroupent pas...
Mais je ne parlais pas de "...Justice" ou du "Black", mais bien de certains aspects musicaux de "Kill'Em All" ("Hit The Lights", "Motorbreath", "Whiplash" ou encore "Metal Militia").

L'influence de BATHORY est flagrante : VENOM et le Punk anglais. À savoir que "Welcome To Hell" de VENOM est sorti en 1981 !
Surtout pas METALLICA en tout cas ; ni sur le fond et la forme.

Quorthon a toujours fait un peu le malin sur ses supposées non-influences (ouiiii moi j'écoute beaucoup plus de George HARRISON que de Metal nooooon je n'ai jamais possédé de disques de SLAYER, VENOM ou MANOWAR) et on ne saura vraiment jamais tout ce qui s'est passé dans BATHORY. Par contre Quorthon clame avoir beaucoup écouté le "City Baby Attacked By Rats" de GBH et c'est peut-être ça le chaînon que tu cherches.

chronologie des pochettes?
Une blague anglaise sur un enfant né handicapé 'Eddie the head' (sans bras, sans jambe, juste une tête) et un soldat dessiné sur un appareil militaire américain au Vietnam dont Riggs (le peintre) avait la photo.
Dereck Riggs mixe les deux et cela donne Eddie.
La suite est l'adaptation des idées du groupe avec la patte de Riggs jusqu'à ce que Riggs s'estime dépossédé par le groupe.
Une brouille s'en suit et le groupe garde Eddie mais pas Riggs.

Google:
"The Stories Behind Iron Maiden's Artwork: Part One/Louder".

J'ai juste survolé ce document très vite fait, on y explique par exemple, la victoire de Eddie contre le diable (pochette du single de "Run To The Hills") concernant celle du single de "The Number Of The Beast", puis il s'échappe de cet Enfer sur celle de "Flight Of Icarus" (avec un clin d'oeil à LED ZEPPELIN et le logo période Swan Song, qui n'est autre qu'Icare), etc...

On dirait que s'il y a une histoire avec Eddie, c'est davantage du côté des singles.

Selon Dickinson: "J'étais probablement en grande partie
responsable de la couverture avec Derek.
"Dickinson déclare que l’idée de placer la peinture
dans un paysage polaire pourrait provenir de la période
à laquelle il a montré à Riggs une œuvre de Gustave Doré,
représentant des traîtres figés dans un lac de glace
dans le neuvième cercle de Dante's Inferno.
En contradiction avec cela, Riggs déclare que le cadre
a été choisi parce qu'il "aurait peut-être vu un documentaire
sur le pôle Nord ou quelque chose de ce genre".
Je voulais quelque chose qui diffère de tous les paysages
urbains habituels.
Juste quelque chose de lointain et ensuite ils ont dit,
au dos: "Pourriez-vous coller tous les autres Eddie
dans la glace?"
Alors je l'ai fait. "

@Pumpkinstef : merci pour ta réponse que je découvre qu'aujourd'hui !
Effectivement, c'est AFM Records et non Nuclear Blast Records.
Bon, si je comprends bien, il ne s'agit ni plus ni moins pour AFM Records que de conserver les droits sur ces albums via une édition anniversaire. Bof, bof comme démarche.

J'ai aussi vu ces rééditions en magasin, mais contrairement à ce que tu dis, les rééditions que j'ai vu en magasin ne sont pas de Nuclear Blast mais bien de AFM, leur ancien label, ce qui est plus que bizarre.

Je dis peut-être une connerie, mais sachant qu'ils ne sont plus en contrat avec AFM depuis longtemps, et que surtout le groupe ne parle absolument pas de ces rééditions sur le site officiel d'EDGUY, ça me donne le fort sentiment que leur ancien label AFM a fait ces rééditions sans le consentement du groupe et donc sans que ce dernier ne soit impliqué dans ce travail, pour se faire un peu de blé sur le dos de leur ancien poulain.

Quant au problème du son, je ne peux pas trop t'en parler. J'ai certes acheté la réédition de ce "Kingdom Of Madness", mais c'est parce que l'original est le seul album de groupe que je n'avais pas. Le son est soi-disant remixé, mais comme le son de l'album d'origine est assez hideux et 100% amateur, la réédition n'a pas l'air de changer grand chose à ce niveau-là. Le son reste horriblement mauvais.

Pour "Vain Glory Opera", je ne sais pas, je n'ai ni acheté ni écouté la réédition. Mais je ne suis pas sûr qu'ils aient changé grand chose, n'ayant pas travaillé avec le groupe pour le faire (forcément !)...

Je te dirais bien de jouer au jeu "Ed Hunter" pour en savoir plus sur Eddie, mais c'est vraiment une sombre merde !!

Par sa force phénoménale. Mais il a fini massacré sur scène par le groupe à la fin de la tournée soutenant l'album "Piece Of Mind". Il a ensuite été rendu à la vie par Isis et transformé en pharaon. Et l'aventure a continué...

Et bien, je n'en sais rien, mais "Unholy Warcry" est sortie en mix 5.1 sur l'EP édition limitée avec DVD de "The Dark Secret".

Je pense qu'on ne le saura jamais !

Sinon, il existe une version 5.1 de "Unholy Warcry" sur le DVD Bonus du EP/Single "The Dark Secret".
Faudrait que je me remette le DVD pour te dire ce qu'il en est au niveau du son.

Merci d'avoir pris le temps de me répondre les copains.

TRENCH HELL, SPEEDWOLF, EWIG FROST.

CARPATHIAN FOREST ("F*ck you all" par exemple) ?

AURA NOIR, je connais assez mal en CD, mais en live, ça tabasse très méchamment.

De tête, essaye "Wizard's Spell" de BLACK MAGIC. Peut-être ABIGAIL aussi (le groupe japonais) mais y a pas vraiment le côté Heavy Trad.

Sous la video :


Bob Richards, le batteur écrit :

This video was made in 1993 when Adrian had some time away from IRON MAIDEN.
We did an albums worth of demos which may or may not see the light of day..
This was a great band and I enjoyed playing drums in it.


Aucun album n'est sorti à priori...

J'ai réécouté le titre. Clairement, Adrian Smith était influencé par Bryan Adams vocalement à cette époque, et à l'époque d'ASAP (Adrian Smith And Project). En tout cas, je l'ai toujours trouvé convaincant au micro.

Je ne connaissais pas ce titre, merci.
C'est pas mal, mais c'est vrai que le chant de Smith est limité sur ce genre de hard rock.
Le groupe s'appelle The Untouchables mais je ne sais pas si ça regroupe des musiciens de Psycho Motel ou ASAP, et je ne connais pas d'album sorti à l'époque. Adrian Smith avait auditionné pour Def Leppard à la même époque.

En réécoutant ASAP et l'album "Silver And Gold", c'est davantage proche de Bryan ADAMS, BON JOVI, que de MARILLION.

Pour l'utilisation faite des claviers, le son des guitares bourré de reverb, très 80's, la production en général... disons que ça me fait penser à des titres plus directs comme Hooks In You (période Hogarth donc).
La comparaison s'arrête là. Je pense plus à un mix Bon Jovi/Marillion, mais vite fait hein.
Silver and gold n'a rien de prog sinon.

Pour compléter la réponse précédente (débris rejetés par la mer), l'expression peut aussi prendre un sens figuré (ce qui est rejeté, par la société, etc).
Peace

Trouvé sur Encyclopaedia Metallum :

"Flotsam" and "Jetsam" are nautical terms, describing goods washed overboard by waves (Flotsam) or deliberately thrown overboard by a ship's crew (Jetsam).

Il s'agit donc à l'origine d'objets qui tombent à la mer soit par accident, soit en étant jeté par les marins.

Il se trouve que ces notions apparaissent aussi souvent dans les fictions : dans un chapitre du Seigneur des Anneaux (Les deux tours), après la chute de l'Isengard, et également dans The Witcher comme noms de villes. Le groupe a choisi ce nom en fonction du chapitre de Tolkien, après avoir fait une chanson qui s'inscrit dans cet univers.

Le titre a été proposé au groupe par le producteur Ron Nevison qui allait souvent déjeuner dans un restaurant français à proximité du studio Record Plant où il mixait l'album. La chanson de Sinatra est passée une fois en fond sonore et Nevison s'est dit que ça ferait un bon titre. le groupe a acquiescé.

Merci !

Bonjour Clem,

À "Deutschland", le morceau, je mettrai 3,5 en fait. Un peu mieux qu'un bon morceau, un peu moins bien qu'un excellent morceau. C'est un bon titre, sur lequel RAMMSTEIN tente quelques trucs, mais la prise de risques est proche du néant. En revanche, le remix est vraiment pas terrible, là, c'est le 1 lapidaire. Du coup, la moyenne des deux titres fait 2,25, soit 2.

Note pour moi-même : penser à mettre la note réservée au titre principal du single.

Si tu veux te faire une idée plus précise de la qualité sonore, tu prends des CDs que tu connais très bien et tu vas dans un auditorium d'un revendeur spécialisé (c'est gratuit et tu seras bien conseillé en général). Tu auras l'occasion d'écouter ta musique sur des platines haut de gamme qui font une meilleure extraction des infos gravées sur un CD. Il existe du matériel haut de gamme accessible financièrement mais la plupart du temps les prix sont prohibitifs. Il faut donc faire pas mal d'écoute et être patient pour trouver un son de qualité car en hi-fi haut de gamme prix élevé ne rime pas avec qualité. Dans le Metal, il y a très peu de remasters réussis. Outre les SCORPIONS de 2015 que tu as pu apprécier, je te conseille "British Steel" (2010) et "Defenders Of The Faith" (2015) de JUDAS PRIEST ; "Heading For Tomorrow" (2015) et "Sigh No More" (2015) de GAMMA RAY ; les rééditions de 2018 de BLIND GUARDIAN ; "Seasons In The Abyss" de SLAYER ; "Razors Edge" d'AC/DC de 2003. Hors-Metal, les rééditions de QUEEN de 2011 sont excellentes ainsi que "The Wall" (2011) de PINK FLOYD...

@Le_vieux (chouette pseudo). J'ai eu l'original il y a... Des lustres (avant '98 donc) et ne me souviens plus trop du fait, je compare donc à ceux de '98 !

@ Napalmfred, merci pour ta réponse ! Oui, tu sembles mieux équipé niveau matos pour juger semble-t-il ! Pour le premier je suis d'accord et n'ayant acheté que celui-ci et "Piece..." qui ne m'a pas convaincu je ne parlerai pas des autres ! Je voulais acheter "Powerslave" mais "Piece..." m'a coupé mon envie ! J'ai souvent du mal à sentir la différence avec les "remasters" (OZZY, METALLICA...), les seuls m'ayant mis une baffe sont ceux des SCORPS parus fin 2015 (son, présentation, inédits parfois mieux que des titres retenus au final (surtout sur "Savage...").

Perso, le son n'a jamais été aussi bon (chez MAIDEN) que sur ces remasterisations 2018/2019 (même son que sur les vinyles de 2015). J'écoute les CDs sur un lecteur Atoll CD200 SE + ampli DueTrenta + enceintes Triangle Delta Signature + câblage supra Quadrax.
J'espérais un peu mieux quand même. "Iron Maiden", "Killers", "Somewhere In Time", "No Prayer..." et surtout "Fear Of The Dark" sortent du lot. Pour les autres je trouve une légère amélioration mais je n'ai pas encore assez d'écoute donc jugement non définitif. Les grosses caisses de Nicko sont encore négligées cette fois-ci.

Bonjour, quand tu parles d'une nette différence pour le premier album, c'est par rapport au CD original, ou au remaster de 98 ?

Le plus représentatif dur à dire ("Empath" justement ?) mais le plus facile d'accès c'est "Sky Blue". Une belle fournée de hits Pop Metal avec des refrains mémorables dès la première écoute.

pour moi aucune hésitation, le meilleur album est "Ocean Machine". je ne suis pas objectif car c'est avec lui que j'ai découvert l'artiste mais quand même... Cette fluidité dans la succession des titres... Et ces compos !!! Et puis "The Death Of Music", magistrale pour clôturer un album. Je ne parlerai pas du titre d'ouverture qui défonce tout non plus...

Le Live au Royal Albert Hall.

Pourquoi s'emmerder à choisir un album en particulier alors qu'on touche ici la perfection la plus représentative de la discographie complète du monsieur ?

De mon côté, j'hésite entre "Terria", "Ocean Machine" et "Synchestra" (que je trouve excellent même si ce n'est apparemment pas l'avis de tout le monde !).

Si je dois en choisir qu'un seul, disons "Terria" !

Et toi, tu dis avoir ta petite idée... Quelle est-elle ?

M'étant beaucoup lassé de Devin TOWNSEND je trouve toujours du plaisir à l'écoute de "Ocean Machine" et je pense donc que ce disque peut servir de porte d'introduction en séduisant des gens qui ne seraient pas forcément intéressés par SYL ou "Ziltoid" en premier lieu.

Bora, tu oublies "Accelerated Evolution" qui est pas mal pour se lancer dans l'univers de Devin. Rien que pour "Deadhead", il vaut le coup.
On va dire que c'est l'album le plus facile d’accès avec "Addicted".
Mais comme te dis Bora, Devin c'est pas évident d'y entrer.
Avant de me plonger dedans, j’étais un grand fan de SYL et je trouvais bizarre le monde qui séparait sa carrière solo et son groupe extreme.
Mais faut y aller molo, prendre le temps de découvrir ses albums et surtout ne pas juger après une première écoute.
Un album de Devin c'est comme un bon vin, il se bonifie avec l'age.
Avec le temps, je redécouvre des albums comme "Synchestra" que j'avais laissé un peu aux oubliettes.
Sa disco est vaste et très variée.

Je pense malheureusement qu'il n'y a aucun album véritablement porte d'entrée, et encore moins représentatif de Devin. Éventuellement, "Z²"/"Transcendance"/"Empath" synthétise assez bien ce qu'est Devin à l'heure actuelle. Mais je ne les trouve pas nécessairement parfaitement représentatifs de l'ensemble de sa carrière et de ses coups de génie, mais rien de surprenant vu comme c'est différent.

Personnellement, ça m'a pris plusieurs années de vraiment me plonger dans la totalité de sa disco, certains albums ayant mis un certain temps à s'ouvrir à moi : "Ocean Machine" m'a longtemps paru simplement sympathique au-delà des premiers morceaux, "Terria" chiant la moitié du temps (et je comprenais pas le génie de "Deep Peace", sans trouver le morceau mauvais pour autant), et "Deconstruction" est passé de "c'est quoi cette merde" à "c'est génial" après une poignée d'écoutes. Paradoxalement, "Empath" m'a plu dès la première écoute, et fortement latté la tronche dès la deuxième (je l'ai récemment écouté deux fois d'affilée, c'est pour ma part extrêmement rare qu'un album me fasse ça, surtout quand il est aussi long/dense).

Donc personnellement, je dirais que le plus "simple"/catchy pour découvrir l'artiste serait :
- "Infinity" (pour son début de carrière) : c'est en tout cas celui qui m'a plu dans son intégralité dès la première écoute)
- "Addicted" : très easy listening sans verser dans l'aspect Pop/Metal orchestral de "Epicloud"/"Sky Blue"/"Transcendance"
- "Ziltoid The Omniscient" qui présente pas mal de facettes différentes de Dev.

Mais faut être honnête, c'est (à mon sens) impossible de répondre à la question. Ma technique, c'est de faire le forcing en soirée pour passer un ou deux morceaux qui tue dans sa discographie, en espérant que ça plaira suffisamment pour que les gens creusent d'eux-même. Et on va pas se mentir, impossible de faire un best-of de moins d'une vingtaine de morceaux (si pas trente), donc pas trop dur de trouver quelque chose qui plaît.

Et donc moi aussi, je suis curieux de connaître vos opinions.

Problème de management, divergences musicales et personnelles, André est parti fonder SHAMAN avec le batteur et le bassiste. Le style Heavy plus classique de "Fireworks" n'était déjà pas vraiment du gout des ces trois-là.